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Tous les livres de William Riley Burnett

Mais soudain, Jim se souvint de Tom Rodney, ce vieux bonhomme sale et dégoûtant, les yeux atteints de cataracte, qui bavait en parlant. Alors, en un éclair, il se vit : les portes de la prison s'ouvraient et il sortait, affaibli par le régime pénitentiaire ; ses cheveux étaient blancs, il n'avait plus de dents, portait des lunettes sur le nez et avait cinq dollars en poche. Il serait le souffre-douleur des mômes de la rue au visage sale et d'énormes femmes pleines de graisse qui puaient et penseraient qu'elles étaient trop bien pour lui... Non ! D'un geste brusque, Jim écarta Johnny et tira son pistolet...

La fin d'un gangster, vue par W.R. Burnett, l'auteur de "Romelle" et "King Cole".

James Read Cole brigue un second mandat de Gouverneur de l'Ohio. Cole se dit libéral, mais il est le candidat des conservateurs. Son adversaire, le radical "bec d'aigle" Fielding, spécule sur la crise économique et le mécontentement des paysans. Pour gagner, Cole doit agiter la menace de troubles sociaux, voire de guerre civile. Ne va-t-il pas, du même coup, provoquer lui-même la tempête ? Est-il de la race des présidents ou un fasciste en puissance ?

Par l'auteur de "Quand la ville dort", "Le petit César" et "Romelle", un thriller politique qui démonte le système électoral américain. Plus que jamais d'actualité.

Parce que je ne pouvais pas oublier votre visage, ,e suis entré un soir par hasard au Blue Evening, boire un verre. Vous chantiez. Je me suis assis, juste devant vous, et je vous ai écoutée... Quand je suis rentré chez moi, je n'ai pas pu dormir.. ". Romelle Larue, chanteuse dans un cabaret sordide, croit vivre un conte de fées. L'élégant et riche jeune homme qui, chaque soir depuis une semaine, la dévore des yeux pendant son tour de chant, la demande en mariage. Mais que cache cette précipitation ? Et quel homme est l'étrange et changeant M. Ramond ? Une fois de plus, W. R. Burnett nous a ciselé un vrai petit bijou, un roman noir psychologique qu'imprègne du début à la fin une lancinante angoisse.

Jim Turner, marginal comme tant de héros américains, est joueur amateur, puis professionnel de courses de lévriers durant les noires années de la grande dépression. Il est marié avec Marg, aimante et respectable, inespérée épouse... ­­ Mais dans chacune des courses, se rejoue en miniature le long chemin de la conquête de l'Ouest, s'illustre les vertus qui ont permis aux USA de construire une mythologie de la combativité.

Un chef-d'oeuvre du roman noir !

1886. Arizona. Un chef apache, Toriano, s’enfuit de la Réserve et sème la terreur chez les colons. Les tactiques des Apaches rendent impossible de les combattre sans l’aide d’éclaireurs. Walter Grein, dont la ténacité est légendaire, est le meilleur d’entre eux. Accompagné de sa troupe d’anciens soldats et d’Indiens, il devra capturer Toriano avant qu’il ne mette le pays à feu et à sang. Mais les Apaches sont des guerriers hors pair aux ressources insoupçonnées.

Dans l'Irlande de 1820, Michel Martin, coureur de filles et batailleur, est obligé de quitter son village, Baltimore. Il va devenir le capitaine Lightfoot, bandit de grand chemin, puis tenancier de tripot. Michel finit aussi par trouver une compagne digne de lui, Aga, qui, au moment où la vie de son mari ne tient qu'à un fil, emploie à la sauver toute l'ingéniosité et la passion d'une femme amoureuse.

Le sergent Desportes, vieux briscard aussi courageux que respecté, défend la loi dans le sud-ouest américain. Il rencontre et sauve dans le désert un étrange gamin à la jambe fracturée, Bud, dont le cheval a été blessé. Entre ces deux hommes si dissemblables naît une étrange amitié, à la fois ambiguë et teintée, chez le sergent, de sentiments paternels. W. R. Burnett s’est inspiré de Billy the Kid pour créer le personnage si moderne de Bud, ce gamin aux multiples facettes, secret et ambitieux, intelligent et roublard, qui a quelque chose du pervers narcissique. Au fil des traques s’enchaînant sans relâche, admiration et trahison s’avèrent indissociables. L’auteur de Terreur apache nous offre ici un roman haletant, tendu, elliptique, dépouillé, qui déploie toute une galerie de personnages inoubliables et offre des remarques saisissantes sur cette région encore sauvage et cette époque de violences.

On l’a surnommé Saint Johnson, par admiration, par dérision – parce qu’il ne vit et ne jure que par la loi. Wayt Johnson, propriétaire du saloon Golden Girl et marshal de son état, n’a qu’un idéal : celui de faire régner la paix et l’ordre dans cette bourgade de l’Arizona. Quitte à y interdire le recours aux armes. Rêvant de devenir shérif, il doit commencer par faire la police au sein de sa propre famille : son frère Jim, qu’il protège envers et contre tout, se laisse embarquer dans une attaque de diligence. Sur fond de luttes de pouvoir, une querelle légendaire éclate entre deux clans, les Johnson et les Northrup. Qui imposera sa loi ?

À peine sorti de prison, Riemenschneider rencontre Cobby, un bookmaker, pour lui soumettre un plan audacieux : le braquage de la plus grosse bijouterie de la ville.

Cobby le met en contact avec plusieurs personnes pour exécuter le coup : Gus, un restaurateur italien au courant des faits et gestes de la police ; Dix, un tueur froid mais fiable ; Louis, un serrurier hors pair, et Emmerich, un avocat influent qui avancera les fonds.

Ce dernier ne plaît guère à Riemenschneider et le plan, pourtant soigneusement mis au point, va bientôt déraper.Dans ce classique du roman noir plusieurs fois porté à l'écran, Burnett dépeint magistralement le milieu des gangsters et l'opacité de la ville de nuit qui semble s'abattre sur eux comme une chape de plomb pour les entraîner vers une chute inexorable.

Mais ce qui frappe reste la psychologie des personnages qui, au-delà de leur aspect pittoresque, montre la subtilité du romancier. Un livre qui n'a rien perdu de son actualité.--Nicolas Mesplède

Abilene ! Ce seul nom évoquait la grande épopée du Far-West. C'était plus qu'un homme : c'était une légende vivante. Et n'y a-t-il pas une Dalila qui sommeille au coeur de toute femme? Elle s'appelait Mary... Et c'est dans les bas-fonds d'une ville de l'Est qu'on repêchera l'épave du héros. Qui ne sera plus jamais tout à fait un homme...

Source : Gallimard

Alors qu'est-ce qu'il s'imaginait, le Grand Davec son oeil bleu et rieur, son cigare et ses millions?

Que Clinch allait se laisser posséder ? Qu'il accepterait la main tendue? Qu'il se départirait de sa haine, de sa rogne et de sa circonspection, parce qu'un gros rupin désoeuvré lui a souri sur un lit d'infirmerie?

Source : Gallimard

« Vettori se félicita d'avoir su choisir de si précieux collaborateurs : Rico - le meilleur tireur de la Petite Italie. Otero - tellement fou de Rico qu'il suivra Rico partout, fera tout ce que Rico lui dira. Et de première bourre au revolver. Hé ! hé ! Pas mal pour un mexicain. Quant à Joe Massara, ça c'est un type ! Un Italien élégant comme pas un et qui est chez lui partout. Il s'était fait passer pour un comte et avait plumé une riche veuve en moins de deux. Parfaitement. Voilà pour Joe. Et Tony ! Il vous aurait fait grimper l'Empire State Building à cent à l'heure dans sa bagnole ! »

Chicago 1928. Un flic mélancolique apprend que sa femme, depuis longtemps partie sans laisser d'adresse, a été retrouvée morte dans le lac, probablement à la suite d'une overdose.

Il en apprendra bien d'autres, par l'intermédiaire d'un ancien copain d'école devenu voyou, mais au cœur encore tendre : les policiers, les politiciens, les avocats corrompus, la réorganisation ultra-efficace des bordels de toutes catégories.

Tandis qu'une simple vendetta dégénère en véritable Saint-Barthélémy, pour couronner le tout.

«Dans les années 1920, dit l'excellent journaliste Ben Reisman, on savait s'amuser : les bootleggers se mitraillaient en plein jour.»

Tout à l'heure, Reisman va sentir, comme au temps béni de sa jeunesse, un chatouillement prémonitoire au creux de l'estomac : ça sent le roussi en ville.

Reisman ne sait pas encore qu'il se prépare à la plus grande émotion de sa vie de journaliste blasé...

En publiant son premier roman, Little Caesar (1929), William R. Burnett (1899-1982) a ouvert une brèche dans le monde du polar et imaginé un genre nouveau : le roman de gangsters. Il renverse la perspective, ses romans noirs plongent dans l'underworld – la pègre à l'âge de la Prohibition, la corruption qui gangrène toutes les strates de la société au grand jour – et font des criminels professionnels leurs personnages principaux. Servies par des intrigues élaborées, un style concis, un sens inné du dialogue, ses histoires livrent une fresque historique et sociale des États-Unis. Burnett y a inventé une subjectivité – criminel, le malfrat n'en est pas moins un être humain en proie à des doutes, des rêves et des cauchemars – et offert «une image du monde vu par les yeux d'un gangster».

En proposant pour la première fois en français des traductions intégrales et révisées, cette édition invite, à travers une trilogie – The Asphalt Jungle (1949), Little Men, Big World (1951) et Vanity Row (1952) – augmentée d'Underdog (1957) et de The Cool Man (1968), à plonger dans l'univers du Milieu et du syndicat, où les mitraillettes ont fait place à la corruption, à la menace et au chantage.

Scénariste réputé de Hollywood, Burnett est avant tout un écrivain. Inédits, des extraits de son Journal et le témoignage de son fils révèlent un homme érudit qui constelle son œuvre de références aux classiques (de Virgile à Casanova, de Byron à Fitzgerald, de Balzac à Anatole France). Si la postérité ne semble retenir que le versant hollywoodien de son œuvre, William R. Burnett, figure importante du premier roman noir, n'en fut pas moins l'inventeur d'un univers narratif dans lequel beaucoup ont puisé.

«Aux États-Unis, il y a un snobisme littéraire. Si c'est un roman de gangsters, ça ne peut pas être de la littérature», affirmait-il. Et cette nouvelle édition de nous prouver qu'il avait tort.

Les filles à cent dollars, les hôtels de grand luxe, les bagnoles dernier modèle... depuis cinq ans Willie Madden menait la grande vie, et ni les flics ni ce dingue de Carl, seul survivant de la bande, n'avaient réussi à retrouver sa trace. Jusqu'au jour où il s'amouracha de la chaste et pure Dorothy. S'il avait vu toutes les ombres qui rôdaient autour de Dorothy, il serait reparti en quatrième vitesse, sans demander son reste.

Il s'appelait Roy Hargis.

Il était flic.

On l'appelait «le bourreau».

Son chauffeur, Boley, affirmait qu'il ne se laissait jamais avoir. Et Wesson, le reporter, avait composé une chanson en son honneur :

L'est pas heureux,

L'est pas humain!

Hargis mena rondement l'enquête sur le meurtre de l'avocat Hobart. Une affaire politique, murmurait-on.

Et quand il fallut un bouc émissaire pour rassurer l'opinion, il le trouva promptement : Ilona Vance, une grande fille taciturne, embarrassée, dépassée par sa propre beauté.

Pas heureux, Roy Hargis ? Pas humain ?

À voir !

Il y a les vieux de la vieille : truands puissants, respectables et débonnaires. Ces dictateurs rassis ont oublié le goût du sang. Ils sont dangereux quand on les force à l'être.

Et puis il y a les jeunots qui n'attendent pas, pour entrer dans la carrière, que leurs aînés n'y soient plus. Stupides et cruels, ils sont dangereux même quand ils dorment.

Entre les deux, comme entre l'arbre et l'écorce, il y a Mike Conant.

Il voudrait bien survivre.

Devant «Chez Volari», trois hommes se dissimulaient dans l'ombre. Deux silhouettes sortirent de l'établissement. L'une d'elles portait une malette. Elles se dirigèrent vers une voiture et y montèrent.

Le trio de guetteurs convergea sur l'auto. On entendit un cliquetis de pistolets qu'on armait.

– Faites pas de pet, les potes, murmura une voix. C'est pas des flingues pour rire.

La voiture s'évanouit dans la nuit.

Ray reprit peu à peu ses esprits. La première chose qu'il remarque, ce fut qu'il avait la bouche en feu; puis, se rendant compte qu'il était allongé sur un canapé, il se demanda ce qu'il faisait là. Tout lui revint soudain ...

Grâce à son oncle, le jeune Johnny Seton va pouvoir entrer dans le cabinet de l’influent avocat Jim Wade. A la clé une situation, et la respectabilité aux yeux des McCloud, dont il convoite la fille, Mary.
Mais c’est sans compter sur Polk Cantrell. Redouté dans plus de six comtés, l’homme, qui se cache des Missouriens depuis qu’il a tiré sur un shérif pro-esclavagiste, est venu se réfugier à Pleasant Hill, Ohio. Le cœur de Mary ne tarde pas à balancer, déclenchant l’engrenage d’un duel sans merci.
Avant le western éponyme de Raoul Walsh, L’Escadron noir est d’abord un formidable roman psychologique et un tableau vibrant du « Bloody Kansas », cette série de conflits entre esclavagistes et abolitionnistes qui mènera directement à la Guerre de Sécession.

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