Willy Lambil
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Note moyenne : 7.1/10Nombre d'évaluations : 1 639
0 Citations 382 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Ce tome est plein de situations drôles. Nos deux héros se retrouvent en mission et cette fois-ci dans le pays voisin, au Canada. Ils sont accompagnés d'un coureur des bois, un peu particulier.
Afficher en entierUn tome agréable à lire, quel plaisir de retrouver nos héros !
Petit bémol, j'ai trouvé quelques planches moins travaillées et certains dessins plus "brouillons".
Afficher en entierBel ouvrage. Si on peut voir une légère différence dans l'écrit par rapport à Raoul Cauvin, bien que peu perceptible finalement, cela ne perturbe en rien la trame narrative.
L'histoire en elle-même est émouvante, bien écrite et très bien dessinée. L'espace est bien pris, et on découvre ainsi religion, traditions, famille et généalogie, amitié entre divers pays.
Afficher en entierLe prix élevé est un frein à la lecture de ce livre.
Cet hommage rendu est intéressant, avec l'intervention de plusieurs auteurs de bandes dessinées. Les aquarelles de Willy Lambil sont très belles, et le livre permet de découvrir les différentes phases de création d'un tome.
Afficher en entierJ'aime bien la série des Tuniques Bleues, et ce tome ne déçoit pas particulièrement. Enfin, il est quand même relativement calme et plat, pas beaucoup d'action, mais il reste drôle.
Afficher en entierJ'aime bien ce tome ! On a pas mal de rappels d'albums précédents, mais on a surtout une bonne démonstration d'amitié de nos personnages préférés... Enfin de la part de Chesterfield, Blutch nous démontre surtout son amour pour son cheval.
Un bon cru d'une très bonne série !
Afficher en entierEn soi, le tome est assez vivant.
On ne remarquerait quasi pas le changement de scénariste tant Kris s’est parfaitement imprégné de l’esprit de la série.
Lambil est toujours épatant avec ses dessins ronds et vifs à la fois…
Cependant, ça manque pas mal d’humour par rapport aux débuts…
Quelques confrontations entre Blutch et Chesterfield, pour la forme, mais l’ensemble est assez sérieux, on a de la vraie guerre, du mort…
L’histoire avance, certes, mais plus rude que d’habitude et si c’est agréable de voir qu’on pourra toujours avoir un bon scénariste à la série, ce n’est pas le tome que je prendrai plaisir à relire…
Afficher en entierBlutch et Chesterfield rendus presque fous furieux par un coureur des bois autoproclamé, ça vaut le détour ! J'ai passé un excellent moment avec cet opus des aventures des Tuniques Bleues : les gags et les quiproquos sont nombreux et on ne s'en lasse franchement pas.
Afficher en entierUn tome plein de rebondissement, avec des personnages toujours aussi attachant !
Afficher en entierUn tome qui nous raconte enfin comment Blutch et Chester se sont retrouvés dans l'armée. Sans surprise, ils se sont encore faits avoir ! (Et plutôt deux fois qu'une). On comprend mieux pourquoi Blutch en veut autant à Chester et d'où vient cette rancoeur. On apprend aussi comment ils ont réussi à intégrer la cavalerie et pour ça, il faut avouer que Chester a fait preuve de bien plus d'esprit d'initiative et de motivation que Blutch, qui s'en serait quand même tiré à bien moindre compte sans lui.
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Biographie
Né le 14 mai 1936 à Tamines, c'est à l'âge de 16 ans que Lambil est engagé aux Éditions Dupuis... comme lettreur, après avoir suivi un an d'études à l'Académie des Beaux-Arts de Bruxelles.
Après ses études à l'Académie des Beaux-Arts de Bruxelles, Lambil entre aux éditions Dupuis comme lettreur à l'âge de 16 ans.
En 1959, il crée la série Sandy.
En 1972, après le décès du dessinateur Louis Salvérius (Salvé), il reprend avec succès "Les Tuniques Bleues", une série lancée en 1968 par celui-ci et le jeune scénariste Raoul Cauvin. Il se trouve ainsi en charge de la destinée graphique des deux truculents héros, Blutch et Chesterfield, chevauchant dans un milieu dont il ignore presque tout ! Que cela ne tienne : Lambil va se documenter et montrer une ténacité extrême pour réussir la gageure proposée. La mort dans l'âme, il sera bientôt obligé d'abandonner Sandy devant le succès croissant de sa nouvelle série.
Dans le cadre de la rubrique "Carte Blanche" de SPIROU, Lambil et Cauvin esquissent en 1973 un personnage parodique et quasiment autobiographique : "Pauvre Lampil". Le succès les contraint à en faire un début de série, qui dépeint la vie quotidienne (et les avatars) d'un dessinateur de bande dessinée et de son entourage. Nombre d'anecdotes y sont plus qu'authentiques ! "Au fil des années, confie Lambil, c'est devenu une sorte de bêtisier de tous les malheurs qui arrivent aux auteurs de chez Dupuis."
Quasiment enchaîné à sa table à dessin depuis quarante ans, il a longtemps été un des dessinateurs les plus productifs de l'hebdomadaire, réalisant près d'une centaine de planches par an. "Comme je travaille chez moi, je suis un paresseux culpabilisé. C'est pour ça que je travaille tous les jours. Le dimanche, je fais mes corrections. L'usine où je travaille, en fait, c'est ma maison !"
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