Yūki Hotate

Je ne savais pas trop à quoi m'attendre en lisant ce manga, mais c'est finalement une bonne surprise !

J'ai bien aimé le cheminement et les particularités des deux personnages principaux. Étonnamment, j'admets être (a priori) moins emballée par la tournure que risquent de prendre les évènements. Certes, on sent bien tout au long de la lecture que "quelque chose cloche" sans savoir quoi. Mais cette histoire de parasite dans le crâne... A voir. Je ne sais pas si je poursuivrai l'aventure, mais dans le pire des cas, je resterai avec une excellente première impression !

Pas mon préféré de cet auteur, et j'avoue avoir une préférence pour la Light Novel car toutes les explications sur les parasites peuvent rapidement devenir indigeste avec ce type de format. Malgré tout j'ai beaucoup aimé la lecture et je continuerai d'acheter des livres de cet auteur !

J'avais beaucoup aimé le premier tomes et il était beaucoup plus axé sur la marginalisation des deux personnages. A présent on sait à quoi est dû cette marginalisation et ce tome 2 passe dans un registre un peu plus SF mais j'aime tout autant. Ces parasites qui prennent le contrôle des vie de leurs hôtes... je trouve l'idée géniale, vraiment. On sent bien que l'auteur à fait des recherche et à penser à chaque détail. C'est cohérent, glaçant ... les personnages sont attachants malgré leur inadaptabilité sociale. J'ai vraiment hâte de lire le dernier tome, qui clôturera a priori cette série.

Un concept assez insolite, mais très accrocheur. Et d'après moi, Spoiler(cliquez pour révéler)Kôsaka n'est pas le seul à avoir une bibitte dans la tête.

Ah, on comprend bien mieux maintenant. Quoi que j'aurais bien aimé voir ce qui s'est passé durant les vingt jours entre l'appel et la mort.

À mon avis, la fin est un peu brève. Il manque des planches et c'est un peu ambiguë.

Un manga pour terminer ma journée, il n’y a presque rien de meilleur qu’une bonne découverte littéraire. Ca fait des années que je n’avais pas lu un manga, je suis content de retrouver ce format.

Déjà j’aime beaucoup les dessins, c’est classique mais ça fonctionne, j’aime toujours autant les onomatopées inscrites en japonais, ça me met tout de suite dans l’ambiance. Une rencontre pas si fortuite va réunir un homme au chômage et une femme étudiante, il se passe pas mal de chose dans ce premier tome, il y a une vraie profondeur dans l’écriture. Je vous laisserais découvrir l’intrigue, sachez qu’on est loin d’une simple histoire d’amour. J’ai horreur des histoires d’amour en littérature, c’est trop souvent cucul, utopique, forcé, ici ils seront des pions de quelques choses qui les dépassent, et j’ai adoré.

Le personnage principal est un gros reclus, paranoïaque du moindre microbe et je l’aime beaucoup, il est touchant à sa façon. La façon dont la relation se construit est original et les petites bêtes sont une excellente idée narrative. Une belle découverte que je recommande.

J'ai beaucoup aimer ce premiers tome !

J'ai trouver ce manga original et plutôt accrocheur, hâte d'avoir le tome 2 !

Pourquoi absolument faire une relation entre une enfant de 17 ans et un adulte de 27 ?? Ça n'apporte rien de plus et je ne comprends pas l'intérêt en plus de me mettre mal à l'aise. J'aurai préfère que le protagoniste masculin soit plus jeune. Dommage parce que l'histoire est intéressante.

Chronique complète :

https://sunread26.wordpress.com/2023/04/01/parasites-amoureux-tome-2/

Extrait :

La série traîne depuis un petit moment dans ma PAL, et comme j’essaie de lire plus régulièrement à commencer par les séries courtes ou presque fini, j’ai fini par lire la suite. J’avais adoré le premier tome, l’intrigue étant un peu décalée des normes, même pour un slice of life. Les personnages et le côté scientifique m’intriguait déjà pas mal on va dire.

Pour le côté scientifique, il prend son essor avec ce nouveau volume, son importance n’est pas à remettre en cause, bien au contraire, elle permet d’expliquer pas mal de choses. Mais aussi de montrer que nos deux protagonistes ne sont pas les seuls touchés, et que, malheureusement, leur « maladie » peut être mortelle. Ils sont tous deux infectés par des parasites ayant atteint leur cerveau, ceux-ci semblent d’ailleurs contrôler une bonne partie de leur hôte… et ça fait un peu froid dans le dos. Même leurs sentiments pourraient bien être qu’une pure fiction, et cela semble effrayer Hijiri, qui semblait avoir enfin trouvé quelqu’un à qui parler, mais est-ce son ressenti ? Ou ce que souhaite lui faire croire le parasite ?

Ses parasites ont d’ailleurs déjà fait des victimes, deux de sûr, mais il semblerait que les parents d’Hijiri, ainsi que la mère de Kengo, en ont aussi été victimes. Pour eux, cela reste toutefois que des hypothèses, liées à des changements brusques de comportements par exemple. Le grand-père d’Hijiri, qui est désormais son tuteur semble-t-il, est également médecin, et même s’il n’est pas spécialisé en parasites, il souhaite aider sa petite fille. Les choses avancent donc, Kengo et elle doivent être séparés pour leur survie, et ils doivent également suivre un traitement pour éliminer le parasite.

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