Yoichi Takahashi

Le colosse Dieter Muller apparaît enfin et le Japon se rapproche dangereusement de l'affrontement final contre l'équipe allemande qui a presque survolé les premières phases du tournoi. Mais pour l'heure, c'est un match haletant contre la sélection française qui nous est offert.

Un match trépidant porté par un arbitre désastreux dont les décisions ne cessent de mettre des bâtons dans les roues à l’équipe japonaise. Même si la fréquence des décisions contestables était un peu trop élevée, c’est un ressort qui n’avait pas encore été exploité dans la série et qui était donc le bienvenu.

Une fin de match palpitante et rudement bien menée par chacune des deux équipes. La sélection française ne déméritait pas et il est assez dommage de voir qu’encore une fois, elle a eu le dessus notamment en raison des blessures des joueurs japonais. Vivement le final !

Un début de finale mouvementé qui promet un match très disputé. C'est un vrai plaisir d'enfin retrouver Wakabayashi dans les buts de la sélection japonaise !

Un match extraordinaire porté par des actions aussi improbables les unes que les autres mais dignes d'une fin de compétition. La sélection japonaise souffre et patine face aux prodiges allemands mais l'issue reste assez certaine.

La fin d'une bataille rudement menée par la sélection japonaise et un tranquille retour à la vie étudiante. Un peu de légèreté sur la fin du tome avec les retrouvailles entre Tsubasa et Sanaé, c'est mignon et ça fait du bien !

Une conclusion pleine de bonne humeur et de bienveillance. Ça m'a fait un bien fou de replonger dans l'univers de Captain Tsubasa après toutes ces années. L'intrigue est certes très lisse et prévisible de manière générale mais constitue tout de même un bon divertissement entre deux lectures plus sérieuses.

Série que je regardais enfant

Quel plaisir de la lire maintenant

jec

Ça faisait longtemps que je voulais lire ce livre sans trop savoir à quoi m'attendre. J'ai toujours suivi l'animé de Captain Tsubasa, mais jamais lu le manga. Plus jeune, je râlais de sa diffusion, 128 épisodes à chaque fois, c'était long, puis Road to 2002 et enfin l'année dernière, j'ai regardé le dernier remake de la série et j'ai aimé. Je ne m'étais jamais rendu compte à quel point j'appréciais cette série, et à quel point elle faisait partie de ma vie depuis tant d'années. J'ai beaucoup aimé cette autobiographie et j'ai souvent eu les larmes aux yeux en la lisant. L'auteur ressemble beaucoup à Tsubasa (Olivier), quelqu'un de positif, d'enjoué et qui, malgré les obstacles, n'a jamais abandonné son rêve de devenir mangaka. Un grand merci aux éditions Omaké de nous avoir fait parvenir la traduction de cette œuvre. Tout ça m'a donnée envie de me lancer dans la lecture du manga pour continuer à prendre plaisir avec cette série culte.