Yuu Watase
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Note moyenne : 7.88/10Nombre d'évaluations : 3 244
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Les derniers commentaires sur ses livres

De l'humour un peu beauf, des traits/dessins typiquement "Yuu Watase" (parfaitement reconnaissable mais avec une marge de progression), un nombre de personnages en expansion à chaque nouveau tome, un univers de fantasy. Ceux qui aiment seront séduits, les autres se laisseront distraire avant de passer à autre chose (sans être marqués plus que cela).
Le bonus "Illusions mortelles" est originale...mais itou...sans plus.^^
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Pourquoi j'apprécie la couverture ? Les cerises !!! J'adore ce fruit !
Sinon...euh...bin la Pourfendeuse de regret continue à faire voler dans les airs ceux qui n'en lnt pas...de regrets.^^
Yuba est trop chou !!!
Pour le reste, la romance continue ses avants/arrière et les dessins persistent à osciller dans les extrêmes allant du très bon au navrant. Quitte ou double donc. ;)
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"Papa" prend cher à raison ! Samon a un concurrent...et il n'y était pas prêt du tout ! XD
Un bâton qui bleuit, une dernière batzille et hop ! Les héros ont leur happy ending et se dirigent vers de nouvelles aventures que nous ne suivrons pas.
Le Bonus "Devenir une femme" est un très mignon hommage au premier émoi. ;)
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J'ai lu ce manga il y a très longtemps, j'étais au collège ou début du lycée. J'aime bien les dessins, les personnages (je trouve que le personnage principal féminin ressemble à Sakura du manga "Sakura Card Captor"!). Je conseille ce manga pour les plus jeunes qui veulent se lancer dans les mangas et ne savent pas trop par quoi commencer, "Alice 19th" est un staple, un manga que mal pas de monde à lu, en particulier les filles, car c'était plus un Shôjo avec du fantastique et de l'action.
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Un manga vraiment sympa. J'ai passé un très bon moment, même si je trouve que l'histoire d'amour traîne en longueur et finalement on a pas vraiment le temps d'en profiter... Cependant, les personnages sont très attachants et l'histoire reste agréable. Petit + pour l'histoire bonus à la fin sur Popula, j'ai adoré.
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Ce sera Lui ou rien ! Après avoir été repoussée à maintes reprises par la gent masculine, Riiko désespère de se trouver un petit ami. Le hasard la conduit à rencontrer un étrange jeune homme en cosplay, qui lui remet une carte de visite avec un lien Internet. Sur le site, elle peut commander le garçon de ses rêves…
J’ai grimacé à la lecture des premières pages. Je ne suis pas particulièrement fan de ce style de dessin, et encore moins des héroïnes semi-hystériques comme Riiko, qui hurlent et s’agitent dans tous les sens d’entrée de jeu.
L’intrigue ne s’annonçait pas prometteuse non plus. Une protagoniste dont l’unique aspiration est de se trouver un copain à tout prix, ça sent le réchauffé et le manque de profondeur.
Heureusement, j’ai revu mon jugement à la hausse au fil des chapitres, à mesure que j’accrochais de plus en plus aux personnages, à l’humour et au scénario. L’idée d’un petit ami poupée / robot / artificiel, c’est finalement assez original !
Quoique, je dis original, mais ça m’a surtout rappelé les meilleures facettes de Genesis : Le défi des étoiles, c’est-à-dire Abel l’androïde, dont « l’humanité » se développe au cours de l’histoire… et qui a également la fâcheuse manie d’offrir son corps (dans le sens le moins chaste du terme) pour tenter de résoudre toutes les situations.
Quant au triangle amoureux, j’ai beau ne pas être une grande amatrice de cette ficelle, je l’ai également trouvé prenant. Pour une fois, il n’y a pas le garçon avec qui on sait dès le début que l’héroïne va finir, et le faire-valoir insignifiant qui se fera jeter. J’aime autant Sôshi que Night, et j’ai de la peine à l’idée que l’un des deux sera fatalement écarté par Riiko.
Sous ses airs comiques et un peu mièvre, ce manga se révèle moins léger qu’il n’en avait l’air de prime abord. Comme souvent dans les récits traitant d’intelligence artificielle, la question du libre-arbitre et autres conceptions philosophiques s’esquissent en filigrane, notamment à travers la volonté de Night de racheter sa propre dette.
C’est donc au bout du compte une plaisante surprise que ce Lui ou rien ! Bon, j’ai déjà lu mieux, c’est indéniable, mais j’ai quand même passé un bon moment de lecture avec Riiko, Night, Sôshi et l’hilarant Gaku. J’ai hâte de découvrir la suite, surtout après la révélation finale !
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Night et Riiko ont accepté de contribuer à récolter des données sur la gent féminine dans ce deuxième tome de Lui ou rien !, afin d’éponger la dette de la jeune fille. C’est ainsi que l’androïde intègre le lycée, où il va vite faire l’objet de toutes les convoitises.
En particulier celle de Mika, qui dévoilait son véritable visage dans les dernières pages du premier volume. Et je dois avouer que je suis un peu déçue, elle manque tellement de subtilité, de discrétion, que c’est à se demander comment elle a pu dissimuler sa nature si longtemps.
Sans parler de Miyabe, qui sort de nulle part. Le personnage n’est, en soi, pas inintéressant, mais je n’ai pas souvenance qu’on en ait entendu parler jusque-là, et voilà que, soudain, elle oscille entre fine observatrice et actrice de tout ce qui se déroule autour d’elle.
J’ai préféré une fois de plus suivre le triangle Riiko / Sôshi / Night, qui continue de se développer. Face aux problèmes (tant financiers que moraux) qui submergent sa petite amie, Night est prêt à tout pour l’aider, mais sa maladresse d’être artificiel lui attire plus souvent des ennuis qu’il ne la sert.
J’aime sa façon de se remettre en question, mais aussi de s’interroger sur le monde qui l’entoure, sur ce qu’il est et ce qu’il vaut. Il y a une réelle réflexion philosophique derrière lui, et c’est précisément la raison pour laquelle j’aimerais voir Riiko… finir avec Sôshi.
J’écrivais précédemment que je n’avais pas de préférence entre ses deux prétendants, que je les appréciais autant l’un que l’autre, et c’est toujours le cas. Seulement, puisque le principal sujet de ce manga est le libre-arbitre, que la frontière entre poupée et humain tend à s’amoindrir, qu’y aurait-il de plus impactant pour Night que de tomber amoureux, vraiment amoureux, d’une autre fille que celle pour qui il a été programmé ?
Voilà l’évolution qui me plairait pour lui, mais ayant lu les résumés des tomes suivants, je ne pense pas que le manga aille aussi loin. Ce serait bien dommage, mais bon… Pour l’heure, ça reste une histoire agréable à découvrir.
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Night a été réinitialisé dans ce troisième tome de Lui ou rien ! et s’est lié à une femme particulièrement sulfureuse. Riiko entend néanmoins le récupérer avant qu’il consomme sa nouvelle relation, et qu’il l’oublie à jamais. Pour parvenir à ses fins, elle peut compter sur l’aide (intéressée et discutable) de Gaku.
Autant j’ai bien aimé les deux premiers tomes (quoique j’avais déjà formulé un peu plus de reproches au second), autant j’ai trouvé que, dans ce volume, l’intrigue tendait vers le lourd. Le très lourd.
Le début commençait bien, pourtant. On retrouve les personnages dans la situation où on les avait laissés, et Sôshi avoue enfin ouvertement ses sentiments à Riiko. La jeune fille, quoique bouleversée et incapable de mettre de l’ordre dans ses émotions, reste focalisée sur son objectif initial : « sauver » Night.
Un sauvetage qui prendra des airs de remplissage, étant donné la façon dont les choses rentrent (trop) facilement dans l’ordre. M’enfin, dans le genre sous-intrigue superficielle, j’ai vu pire. Le problème de celle-ci, c’est qu’elle sert à appuyer un élément déjà évoqué : pour que Night appartienne définitivement à Riiko, et que plus rien ne risque de l’en détourner, ils doivent avoir une relation sexuelle.
Et ce qui était depuis le début un gag acceptable prend des proportions vraiment gênantes, cette fois, en plus de cracher sur tout le développement visant à humaniser Night. À mes yeux, il est plus poupée que jamais dans ce volume, puisque 50 à 70% de ses interventions consistent à demander à Riiko quand / s’ils peuvent faire l’amour.
Euh… Ce ne serait pas un robot, on l’aurait déjà castré chimiquement, je pense, parce qu’on est au-delà du harcèlement, à ce niveau. Idem, il rend la pareille à Sôshi après que ce dernier lui a dit vouloir se battre loyalement, sans coup bas, pour l’amour de Riiko, au point de l’emmener avec eux sur une île paradisiaque… pour finalement séquestrer la jeune fille loin de son ami d’enfance. Y a un problème, là, et un sacré !
J’aurais bien dit « Heureusement, Night finit par s’apercevoir de ce en quoi son comportement est déplacé »… sauf que changement de chapitre / de décor, et on remet ça ! « Eh, Riiko, on fait l’amour ? »
Une perspective qui, accessoirement, n’a plus autant l’air de rebuter la demoiselle. Tant mieux pour elle, je suppose, moins pour l’image que véhicule le manga. En tout cas, moi, à sa place, je crois que cette pression et cette insistance m’auraient dégoûtée irrémédiablement.
Du coup, team Sôshi à 100%, pour ma part. Même s’il a embrassé Riiko par surprise et a tendance à lui tourner un peu trop autour, il est quand même bien plus sain à mes yeux qu’un Night dont la programmation (et Gaku) tire toutes les ficelles.
Je ne sais pas pourquoi, j’ai vraiment peur pour la suite…
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Les sentiments de Riiko sont mis à rude épreuve dans ce quatrième tome de Lui ou rien !. Elle a réussi à « reconquérir » Night, mais Sôshi lui a entre-temps révélé ce qu’il éprouve à son égard. Et comme si ça ne suffisait pas, voilà que son premier amour refait surface… et se montre de surcroît très entreprenant !
Déjà que le tome précédent étant en-deçà des deux premiers, on creuse en direction du fond, me semble-t-il. On avait pourtant un scénario prometteur, sur l’humanisation d’un être artificiel, et un triangle amoureux pour une fois un intéressant, avec le dilemme de l’homme réel ou de la poupée parfaite, mais tout est en train de partir en quenouille !
Ne serait-ce qu’en raison du triangle qui confine au carré. Et avec qui ? Un ami /amour d’enfance ! C’est bon, on avait déjà Sôshi dans le rôle. Et surtout… Non, je n’en révèle pas plus, je vous laisse le soin de découvrir (ou pas) par vous-même ce qui se cache derrière tout ça.
Le point positif, c’est que Night apparaît un peu moins forceur dans ce volume que dans le troisième… probablement parce qu’il apparaît moins tout court. Et il n’y a pas vraiment matière à se réjouir, puisque Riiko se retrouve dans une situation où on s’aperçoit qu’elle peut se faire violer au calme.
Si, si, je vous assure. Après avoir perdu connaissance, elle se réveille nue dans le lit d’un gars qu’elle (pense avoir) côtoyé quand elle avait… huit ans ?, et qu’elle a retrouvé deux jours plus tôt, et sa seule réaction, c’est : « Quoi ?! J’ai couché avec lui ? Bon sang, comment je vais le dire à Night ?! »
PARCE QUE C’EST TA PRINCIPALE PRÉOCCUPATION, MA PETITE ?! Ça, et le fait que tu n’apprécies pas qu’on te balance à la tête que tu serais prête à prendre n’importe quel petit ami, que tu en veux juste un, peu importe de qui il s’agit ?
La critique effectue d’ailleurs un bout de chemin dans l’esprit de Riiko, mais ce n’est pas ce qui rend plus valide son comportement, ni celui des garçons qui l’entourent, au demeurant. Il n’y en a pas un pour racheter les autres, pas même elle, puisqu’elle ne sait plus où en donner de la tête.
Bref, autant ce manga commençait bien, autant il me déçoit de plus en plus. Terminées les réflexions un tantinet philosophique sur l’humanité / l’artificialité, on bascule sur le comique pur et dur, un euphémisme pour lourd, qui atteint le paroxysme de l’absurdité dans la scène finale…
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Night est revenu auprès de Riiko… au format poupée. En effet, son corps est en réparation dans ce cinquième tome de Lui ou rien !, et sa société a fourni un modèle réduit à la jeune fille en attendant qu’il soit remis à neuf. D’ici là, Sôshi a décidé de s’installer avec eux.
On s’enfonce toujours plus dans le poknawak magistral, et on se rapproche davantage de Retour vers le futur et de Terminator que d’un shojo lambda. Je n’aurais jamais cru dire ça un jour, mais j’aurais préféré une intrigue beaucoup plus classique.
Là… C’est original, c’est sûr, mais en mal, vu que ça part dans tous les sens au point de n’avoir plus ni queue ni tête. Night est en réparation, mais ne peut plus être réparé, et il faut le récupérer à tout prix, mais ce sera pour le détruire, et il n’y a plus de modèles de ce genre, mais en fait il en reste un, et les nouveaux androïdes sont plus performants, sauf qu’ils sont nuls aussi…
Pff… C’est d’un looouuurd ! Quant au triangle amoureux, qui aurait pu être, POUR UNE FOIS, la meilleure facette de cette œuvre, eh bien, que nenni ! Riiko a fini par faire son choix (quel suspense, on ne le sentait pas du tout venir depuis deux tomes), et RIP le cœur et les sentiments de Sôshi, mais en même temps, tant mieux pour lui. Il était trop bien pour une histoire aussi cinglée.
Allez, plus qu’un tome. J’ai hâte d’en finir !
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Yuu Watase
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Tonkam : 55 livres
Shogakukan : 28 livres
Glénat : 24 livres
Kurokawa : 24 livres
Kana : 12 livres
Viz Media : 9 livres
Delcourt / Tonkam : 2 livres
Pika : 1 livre
Biographie
Yuu Watase est née dans la ville de Kishiwada, à Ōsaka, le 5 mars 1970.
Elle commence sa carrière de mangaka à l'âge de 18 ans après avoir proposé l'une de ses nouvelles à l'éditeur Shojo Comics. Elle évite le fastidieux stade de l'assistanat qui est quasiment le passage obligé pour devenir mangaka. Après plusieurs série courtes ne dépassant pas 3 tomes, elle lance sa première longue série qui est Fushigi Yuugi avec qui elle connait le succès. Elle confirme avec Ayashi no Ceres qui est aussi une série à succès.
Ses histoires entrent dans la catégorie des shōjo manga et mèlent le plus souvent humour et fantastiques.
Mangagraphie :
- Alice 19th (Arisu Naintinsu)
- Appare Jipangu
- Ayashi no Ceres
- Fushigi Yuugi
- Fushigi Yuugi - La Légende de Genbu
- Imadoki
- ミントでKiss me (mint de kiss me) (recueil de nouvelles)
- パジャマでおジャマ (pajama de ojama) (recueil de nouvelles)
- 絶対彼氏 (zettai kareshi) (Lui ou rien ! )
- エポトランス!舞 (epotoransu ! mai)
- Dessinez le manga avec Yuu Watase (Watase Yuu no Shoujo Manga Nyuumon Manga Yuugi)
- Lui ou Rien (Zettai Kareshi)
- Arata
- Contes d'Adolescence
- Sakura-Gari
- Yuu Watase The Best Sélection
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