Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 591
Membres
1 013 010

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Livres - Bibliographie

Yves Hughes


Ajouter un livre manquant

Toutes les séries de Yves Hughes

13 livres
14 lecteurs

Valentine lançait un nouveau peintre. Mamounette tatouait des motos sur ses vieilles copines. Robin se replongeait dans Tintin au Tibet.

Parce que l'ancien maire d'une petite station de ski s'est engouffré dans une cabine de téléphérique. Là-bas dans les Alpes. Parce que la cabine l'a emporté, seul. Et qu'en arrivant au sommet : il était mort. Qu'a-t-il vu ? Quelle peur a emballé son cœur ?

J'emprunterais moi aussi le téléphérique. J'écouterais le vent siffler dans les câbles. Et je découvrirais des secrets cachés sous des épaisseurs de neiges anciennes. Mais la neige, un jour ou l'autre, ça finit par fondre. Je saurais alors pourquoi et comment avait agi l'assassin.

3 livres
8 lecteurs

" On m'avait installée dans la nacelle verte, avec mon bébé tigre sur les genoux.

J'étais censée finir mon tour de grande roue, descendre, croiser le regard du héros, articuler trois mots et me perdre dans la cohue des figurants-clients de la fête foraine.

Un rôle très important ! " Clémentine est fille de forains.

Chaque foire lui réserve des surprises...

A Rouen, elle est choisie pour jouer dans un film.

Mais son rôle tourne court : l'actrice vedette est enlevée ! Et si c'était un coup monté ? Décidément, il se trame des choses bien louches dans cette fête foraine...

Source : Rueducommerce

3 livres
3 lecteurs

Le père de Lou pilote des avions ! Cette fois-ci, il entraîne sa fille avec lui dans une bien drôle de mission, là-bas, au nord du Canada.

Lou va se faire un nouvel ami. Un ourson tout blanc, gourmand et malin. Et avec lui, elle partagera un secret que les adultes n'apprendront jamais... Envolez-vous vers la banquise à travers cette tendre histoire d'amitié.

3 livres
6 lecteurs

La mère de Basile est la vétérinaire du zoo dont le père d'Oriane est le directeur. Oriane et Basile aident leurs parents à s'occuper des animaux. Depuis quelque temps, les loups sont nerveux, la panthère noire se montre agressive et Plume, l'éléphant, ne danse plus. Une nuit, les deux enfants ont aussi aperçu une ombre qui s'enfuyait et des traces de sang sur les barreaux d'une cage.Quel danger les menace ?

Tous les livres de Yves Hughes

Une charmante damoiselle en péril, une sombre histoire de poison, un inquiétant chasseur de licornes...

Décidément, être le valet d'un chevalier détective n'est pas de tout repos ! Millefeuille et Petit-Pet, son fidèle destrier, se sont une fois de plus fourrés dans un drôle de guêpier. Mais notre trouillard au grand cœur, quoi qu'en dise son maître, a plus d'un tour dans sa besace. Suivez l'irrésistible Millefeuille dans sa nouvelle enquête et percez peut-être le fabuleux mystère de la licorne

Aujourd'hui, c'est le grand jour !

Léa va passer ses vacances de février à la rédaction de «Mon quotidien». Elle a gagné ce stage grâce à un concours de nouvelles.

Enfin son rêve va se réaliser.

Mais il se passe des choses étranges. De mystérieuses fautes d'orthographe se glissent dans les pages du journal.

Aidée par son ami Alex, un féru d'ordinateur, elle essaye de résoudre cette énigme.

Chaque mercredi, c'est Olivier, treize ans, qui ouvre la boutique. Remplie de maquettes : voitures de course, avions, navires de guerre, sous-marins, hélicoptères, elle appartient à M. Delcour. Modéliste de génie, il est en train de créer un nouvel hélicoptère radio commandé. Mais les plans ont disparu ! Espionnage industriel, détournement d'invention ? Olivier, M. Delcour et sa fille Cécile tendent un piège et mènent l'enquête. Ils sont loin de se douter de ce que préparent les voleurs...

Découvre avec Olivier et Cécile le monde fascinant des modèles réduits, et partage avec eux une aventure pleine de suspense.

Bêtes de Scènes, Yves HUGHES

On est bien loin de deviner ce qui se passe derrière les caméras lorsqu'on regarde tranquillement un film chez soi. C'est ce que vont découvrir Gaspard et Béline, qui assistent au tournage d'une série policière dans un zoo près de chez eux. L'ambiance n'est pas au beau fixe dans l'équipe, et d'inquiétants évènements se succèdent qui font craindre le pire... Cocktail de suspens et d'humour, un petit polar comme à la télé!

Un petit conseil : ne faîtes jamais le métier de valet !

Surtout quand votre maître, Hugues de Flérimont, chevalier et détective à ses heures, a décidé de résoudre tous les mystères de la création. Le voilà cette fois sur le chantier d'un château fort où se produisent de biens étranges disparitions...

Et naturellement, quand le danger pointe le bout de son nez, c'est toujours sur moi que compte mon cher maître.

Rien ne va plus chez le seigneur de Branchecourt : on a enlevé sa fille unique Ludivine ! Seul Messire Hugues de Flérimont, le chavalier errant, peut la retrouver. Son joker ? Le jeune page Millefeuille et son irrésistible maladresse. Juché sur Petit-pet, son fidèle déstrier, voilà notre apprenti détective lancé sur la piste semée d'embuches de ce drôle de rapt à Branchecourt...

Mon bon maitre,je vous avais pourtant prevenu:quelle idee de passer la nuit dans l'antre d'une sorciere! Maintenant que vous voila transphorme en crapaud, c'est encore a moi, pauvre Millefeuille, de nous tirer d'affair... Sauf votre respect, messire, vous ne trouvez pas que vous poussez un peu?

C'est demain la rentrée des classes, les occupants de la trousse ont du mal à fermer l’œil...Le compas tourne en rond. La colle se liquéfie de peur. Les ciseaux vagabondent. L'agrafeuse claque des dents. Le trombone s'entortille. La calculette clignote. Dans quelques heures, tous devront être fin prêts !

Il est dans l’hiver glacé du Québec, elle dans la chaleur d’une île, là-bas, en Océanie. C’est le matin pour lui, la nuit pour elle. Décalage. Celui des heures et celui d’une vie.

Quand ils étaient jeunes et qu’ils vivaient à Paris, ces deux-là s’aimaient. Et puis chacun a repris son chemin.

Ce soir, ou peut-être ce matin, un coup de fil les réunit. Leurs voix tracent des souvenirs comme le pinceau d’un peintre.

Lequel des deux est la mémoire de l’autre ?

Lequel des deux est l’avenir de l’autre ?

Comme au billard. Deux billes blanches et une rouge. Les deux billes blanches : le flic et l'assassin. Le jeu : qu'elles se rencontrent. Pour cela, la première bille blanche a besoin de la rouge. Et cette bille rouge, c'est la victime. Valentine avait le bras dans le plâtre, Mamounette écrivait des haïkaï, Robin s'inquiétait pour les Dupondt. Et moi je partais à la recherche de la vérité... entre les murs de l'hôpital Boucicaut... entre la solitude d'un homme et son chat... et en rebondissant sur un ancien casse de bijouterie qui datait de treize ans, avec sous les yeux le costard pied-de-poule d'un vieux truand ringard et ses chaussures en croco.

Lila est danseuse. Cyril est amateur d’arbres, et muet. Ils vivent côte à côte dans leur grande métairie des environs de Paris et communiquent en s’écrivant. Des mots distribués au hasard, sur les tables, dans les tiroirs, les meubles, la voiture. Ça n’aide pas toujours à se comprendre. Il y a parfois des malentendus. Pourquoi, par exemple, les jeunes gens qui passent dans le coin ont-ils tendance à disparaître corps et biens ? C’est ce qu’aimeraient savoir le commissaire Poinson et le lieutenant Serralongue. Et aussi Philémont, détective au side-car King Road, obsédé par les chaussures. Ainsi que l’énigmatique et envoûtante Gladys. Le tour d’autos tamponneuses dans lequel tous ces personnages se retrouveront, un soir de fête foraine, résume la valse sourde, funeste et débridée, grave et légère, qu’ils ont entamée presque malgré eux.

Elle. Lui. Et puis l’enfant : Nadège. Et Le Chien

Entre Paris et un lac. Avec la pluie par-dessus tout ça. Une histoire d’amour faite de silences, de rires, d’insouciance et d’eau. Sous cette pluie insistante, témoin et actrice des destinées.

« Le silence des eaux dormantes comme celui des sommets enneigés donnent raison au langage des signes, complicité muette plus forte encore que les cris du désir. » (Philippe-Jean Catinchi. Le Monde.)

« Ce récit est aussi bouleversant que L’Écume des jours de Boris Vian. Magistral ! » (Michel Lafarge. Ramdam, Midi-Pyrénées.)

« D’une plume nette et vibrante, Yves Hughes, par petites touches, entraîne vers la tragédie… » (F.L. L’Yonne républicaine.)

« Même la pluie est un roman écrit par un poète. C’est une histoire belle, étrange, dure. » (Françoise Xenakis.)

« Yves Hughes apprivoise les sensations. Il redit les mots. Il engouffre les phrases. Alors on est saisi. Emporté doucement. Et on se laisse aller dans ce roman tout en réminiscences. » (Xavier Houssin. Point de vue.)

Moi, Salpico, je suis de la race fameuse des toros bravos. J'ai été élevé en Andalousie. Le jour, nous luttons, corne à corne, avec mes frères. Et la nuit, des gamins viennent nous défier en brandissant leurs couvertures tremblantes. Aujourd'hui, je vais poser mon sabot sur le sable des arènes de Séville. C'est là que m'attend le matador. Il m'offrira sa muleta et je chargerai, comme l'ont fait avant moi des générations de toros bravos...

« Combien de fois l'homme avait-il déchaussé les pieds de sa femme ? Combien de fois les avait-il regardés marcher sur la moquette de leur chambre, et sur combien de trottoirs, dans combien de rues et d'escaliers oubliés ? Et dans combien de ses rêves, aujourd'hui, ces pieds-là revenaient-ils bouger la nuit ? Laisse-toi faire, répéta-t-il à Fred. Qu'aurait-elle pu savoir de tout ça, elle, avec son pied qui ne saignait qu'un sang de vingt ans ? Un pied qui avait encore tant de rues et tant de marches à affronter ? »

Ancien comédien confronté à une jeunesse pour son dernier tour de piste.

Écrivain raté aux prises avec sa mythomanie et ses impuissances. Voisins de lit d'hôpital en quête d'un fantôme de femme. Jeunes ou vieux enfants qui jouent, trichent et souffrent de vivre. Des personnages bousculés par leur propre existence, acteurs de leur déroute, et qui deviennent touchants à force de courage ou de faiblesse. Chacun traversera son Intérieur nuit. Et ne pourra éviter de susciter une certaine compassion, grinçante ou souriante, dure ou tendre.

Mortimer n'a jamais su déchiffrer l'expression du visage de sa mère, ni d'aucun être humain. Il souffre du syndrome d'Asperger et a 36 ans. Il partage une vie ritualisée entre Paris et la Normandie. Chaque week-end, il rejoint un hameau près d'un méandre de la Seine et y retrouve deux couples de voisins qui élèvent poules et oies. Il nage tous les jours, va voir passer le même train, à heure fixe, écoute Khatchatourian et lit Pascal.

La vie se décline paisiblement. En tout cas en apparence. Cette existence un peu mécanique, sans affect, n'a pas encore basculé. Jusqu'à ce qu'il rencontre un ancien copain de lycée qui entraîne une équipe de badminton. Mortimer va se découvrir une véritable fascination pour le volant aux trajectoires singulières qui le ramènent à la philosophie de la géométrie de Pascal. Cette fascination va bientôt obséder Mortimer et le pousser à changer de vie.

Avant de sombrer dans une folie aussi discrète qu'effrayante et de commettre l'irréparable.

Lukas ouvrit la première valise et leur mit la loutre entre les mains. Les deux vieux caressaient le poil un peu sec, sans répulsion, avec même une tendresse dérisoire. Lukas était rassuré. Parfois ça s'effondre d'un bloc en voyant les premiers échantillons. Là, non. au contraire. Les mains semblaient curieuses autour de la loutre empaillée.

- C'est évidemment un article rural, dit-il. À Paris ça se fait peu.

Chez le montagnard elle est remplacée par la marmotte. Tendance régionaliste.

Il se sentit en confiance. Ces deux-là ne poseraient pas de difficultés.

Et il sortit de la valise un article moins évident. Pour tester.

- L'iguane d'Egypte. Ni lézard ni varan, le milieu. Deux couches de vernis doux.

Un soupçon de patine pour la vie. À peine poussiéreux.

Echange de regards entre les deux fauteuils.

- "Un soupçon de patine pour la vie."

- "À peine poussiéreux." C'est beau.

Les deux vieux étaient aux anges.

- Monsieur au téléphone m'a parlé de "petit compagnon familier" ?

Il attendait.

- Mon drôle d'oiseau.

- Ma petite chatte.

Lukas finit son verre de grenache sans faire la grimace.

- Pardon ? vous voulez dire que...

Les deux vieux le fixaient en souriant.

- Attendez attendez. Vous voulez que j'empaille ?

... La réponse claqua dans le silence trop épais du salon.

- Lui : mon Léonce.

- Elle : ma Charlotte.

Une relation étrange allait s'instaurer entre le taxidermiste et ses deux clients. Tendre et féroce, drôle et noire. Une complicité fantasque et très intime, faite de fantaisie, de tendresse et... d'amour ? Enthousiastes, tous les trois se passionneraient pour ce projet. Et bientôt chacun allait en faire un peu trop.

Le jeune marionnettiste du théâtre de Guignol du parc de la Tête d'or à Lyon est retrouvé assassiné sur l'île Barbe, au milieu de la Saône. Les marionnettes étaient toute sa vie. C'est donc dans son cercle familier qu'Alice Amelin, commandante de la PJ chargée de l'enquête, cherche une piste : parmi les habitués des allées du parc, de son Guignol mais aussi de son zoo, dont La vénérable éléphante Clochette fascine tant les enfants - à commencer par le fils d'Alice, Eliott.

Rien de bien concluant jusqu'à ce qu'Alice découvre, chez un sculpteur sur bois du Vieux-Lyon, une marionnette de femme aux yeux verts, en sweat-shirt et en jean, que le jeune homme avait, peu de temps avant sa mort, spécialement commandée. Ce personnage, bien éloigné du répertoire classique de Guignol, a-t-il joué un rôle dans la triste fin du marionnettiste ?

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode