Yves Pinguilly
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Note moyenne : 6.97/10Nombre d'évaluations : 61
0 Citations 49 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Un livre qui me rappellera toujours mon enfance.
On le lisait en classe tour à tour en primaire. En CM1, il me semble. Et puis on débattait un peu tous dessus. On en avait marre de lire, on préférait plutôt jouer dehors et profiter de la récré. Pourtant, il était bien ce petit roman, je me souviens plutôt pas mal de l'histoire encore aujourd'hui et ça m'avait beaucoup plu à l'époque.
Un livre que j'aimerai toujours parce qu'il me rappelle pleins de souvenirs.
On grandit tellement vite.
Afficher en entierUn voyage envoûtant au rythme des marées, des personnages travaillés, une aventure courte mais complète idéale pour les adolescents. On sent une vraie recherche sur le contexte historique, je le recommande vivement.
Seul point noir : l'aller-retour sans fin avec le glossaire pour comprendre tous les termes de marine ou l'argot breton. Cela aurait mérité d'être détaillé dans l'histoire et non à la fin.
Afficher en entierUn peu bizarre cette histoire... Le garçon qui devient esclave, se marit alors qu'il a genre 15 ans, retrouve son père après des années de séparations...
Je trouve qu'Emile manque de personnalité. On dirait qu'il n'éprouve rien. Ses sentiments semblent passé sous silence. ça ne fait pas crédible, désolée.
Afficher en entierLecture obligatoire pour le collège.
Ce livre ne m'a pas plu. Tout est trop résumé, il n'y a pas assez de détails. On ne peut pas raconter toute une guerre en seulement 130 pages.
Afficher en entierC'est un livre bien mais pas du tout de mon âge. J'aurais dû le lire quand j'était plus jeune. Sinon c'est un livre bien. L'héroïne est courageuse. Je n'aurais pas réussi ce qu'elle à fait.
Afficher en entierLa typoscénie de ce livre a été assurée, de main de maître par André Belleguie. D' « Être ange » (Jacques Prévert, p. 11) en passant par le miroir de Guillaume Apollinaire, « Papaaon et Pharaon » de Jacques Audiberti et jusqu'à « La grenouille » de Francis Ponge, ou « Lolie » d'André Martel, tout est impressionnant dans la mise en page (mise en scène !) de ces poèmes pas comme les autres. Il faut prendre son temps. S'attarder et guetter le moindre détail graphique. Très original ! J'ai particulièrement apprécié le « Porta-à-porte » de Michèle Métail (p. 29).
Afficher en entierAvec cette anthologie, Yves Pinguilly dresse un portrait de Guillaume Apollinaire.
Après une longue introduction dans laquelle Yves Pinguilly présente « l'esprit nouveau » d'Apollinaire (et d'autres brillants artistes de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle), le lecteur (re)découvre de nombreux poèmes retraçant les dernières années de la vie du poète, celles où il connut la guerre. Soldat dans l'artillerie et dans l'infanterie, il fut blessé en 1916, alors qu'il venait d'obtenir la nationalité française.
Ce recueil contient la transcription d'une trentaine de poèmes et d'une douzaine de lettres (écrites entre le 14 et le 25 mars 1916), tous issus de trois ouvrages : Calligrammes, Poèmes à Lou et Lettres à Madeleine ; et s'arrête en mars 1916 bien qu'Apollinaire ait vécu jusqu'en 1918...
La plupart des poèmes sont en partie ou en totalité faits de calligrammes, comme les avaient imaginés et écrits Apollinaire lui-même.
Un bel ouvrage, accessible à tous, qui rend hommage aux créations poétiques, littéraires et picturales de ce célèbre écrivain.
Afficher en entierPlus que le récit, celui d'une déportation ayant réellement eu lieu, c'est l'entretien le suivant que j'ai particulièrement apprécié. Résonnant avec l'histoire, avoir les mots exactes de l'héroïne qui revient, des décennies plus tard, sur son histoire, est vraiment intéressant.
Afficher en entierRecueil de 17 contes. Parmi eux, des histoires à propos de personnages "malhonnêtes" et futés, d'autres vertueux, des histoires sur les animaux, sur des humains et des animaux, des humains et des créatures.
Au passage, il y a de très belles illustrations.
Je retiendrais "Chehem et la fille du Sultan" qui raconte l'histoire d'un homme fou amoureux d'une princesse déjà mariée. Cette dernière, fûtée, réussira à se débarrasser de son époux pour partir avec Chehem.
"L'esclave qui avait abolit son esclavage", je l'ai trouvé bien au départ. L'homme était plutôt astucieux. Mais plus tard, après avoir tué ses maîtres, il assassine froidement des moines innocents et incrédules pour s'installer chez eux. Étrange !
"Fortune et infortune pour Wadadjé" est aussi l'un de mes favoris. Comment se faire rouler en essayant de rouler les autres ? Pour une fois la malhonnêteté n'est pas récompensée.
Puis il y a plusieurs petites histoires sur le Lion, Libâh, roi des animaux, de Dayo le chacal rusé et mauvais, et bien sûr la hyène, cet animal bien souvent détesté, Ouraba. Pourquoi ses yeux sont injectés de sang ? Parce que un coup de patte de Libâh ! Pourquoi marche t-elle de travers ? Parce que Dayo, ce fûté, a prescrit à Libâh, aux portes de la mort, de se guérir en dévorant une cuisse de hyène… Je crois que j'ai fini par apprécier ce pauvre animal, malchanceux et sot.
Mais si je devais choisir un conte parmi ces 17, alors ce serait certainement "Ayan et Libâh". Ce grand lion dépeint vorace, roi, qui a toujours le dessus, pas toujours juste, et d'une grande fierté, se montre sous un nouveau jour.
Ayan, blessée par balle, est seule livrée à elle-même dans son village. Libâh est nourrit par elle chaque soir, jusqu'à ce qu'elle n'ait plus de réserves. Surprise ! Chaque soir, c'est au tour de Libâh d'apporter à la jeune femme de quoi manger. Une belle amitié est née !
Afficher en entierUn petit livre sympathique, un conte meme, très drole et enfantin, fait beaucoup rire les enfants et pas que.. J'ai beaucoup aimé l'ingenuosité de Farara
Afficher en entierOn parle de Yves Pinguilly ici :
2015-12-01T04:57:14+01:00
2015-06-25T22:45:02+02:00
Les gens aiment aussi
Dédicaces de Yves Pinguilly
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Oskar Editions : 7 livres
Nathan jeunesse : 4 livres
Casterman : 4 livres
Nathan : 4 livres
Rageot : 4 livres
Milan : 3 livres
Magnard jeunesse : 2 livres
Rue du Monde : 2 livres
Biographie
Yves Pinguilly est né à Brest en 1944.
Breton de souche, amateur de beurre salé et de galettes de blé noir, il a quitté l’école à quatorze ans. Embarqué à quinze ans sur un liberty ship, il boucle son premier tour du monde à seize ans et demi, avant de naviguer sur l’Atlantique Nord. Quand il pose son sac à Paris à vingt et un ans, il apprend le métier de bibliothécaire qu’il exercera quelques années.
Depuis 1981, il a cessé toute activité salariée et vit de son écriture.
Aujourd’hui, il est ancré en Bretagne, dans les Côtes d’Armor où il est installé avec la femme qu’il aime. Mais il séjourne régulièrement en Afrique… et cela depuis plus de trente ans. Pas étonnant donc que sur ses quatre-vingt-quinze livres publiés, on trouve trente-cinq titres africains.
Quelle que soit la saison, Yves Pinguilly aime se promener sur les grèves, marcher sur les goémons ou rêver dans les chemins creux, à l’ombre des noisetiers. Si un jour vous l’y croisez, il sera certainement en compagnie d’une jeune fée aux dents de lait. Dans ses livres les romans sont majoritaires, mais les albums aussi sont très nombreux. À cela s’ajoutent quelques livres d’art, des contes et de la poésie.
Yves Pinguilly a longtemps été critique de littérature de jeunesse. Il a aussi été lecteur pendant douze ans dans une grande maison d’édition parisienne. Ses livres de rêve et de contestation sont traduits dans une quinzaine de langues. Bien qu’ayant les cheveux presque blancs, il garde dans la bouche le mors aux dents des mots… Yves Pinguilly se méfie des gens qui ne pleurent jamais au cinéma.
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