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La Reine veut pouvoir examiner la peau de tous les Pans, même s'ils sont morts !

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Pourquoi la Terre nous a-t-elle massivement épargnés ? Je pense que c'est parce qu'elle croit en nous. Nous sommes ses enfants, certes, des arrière-arrière-arrière - et je pourrais remonter longtemps comme ça - petits-enfants, mais l'humanité est le fruit de ses entrailles. Elle veut encore y croire.

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Ambre... sois mon ciel...

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Et pourtant, Matt était bien là, pas physiquement, mais en pensée. Pas complète car il ne pouvait se souvenir. Il lui était impossible de repenser à quelque chose de précis, les concepts mêmes de famille, d’amis avaient disparu. À vrai dire, il ne restait que l’essence de son être, et Matt sut que mourir c’était ne garder que le substrat de sa conscience et le laisser flotter à jamais dans le vide. Matt était Matt, et c’était tout.

À vrai dire, c’était trop. Il aurait préféré ne rien savoir, n’être plus rien, car cette attente sans jouir de sa conscience et sans la promesse d’une échéance le faisait souffrir. Une démangeaison. Voilà ce qu’était l’attente ici. Une démangeaison qu’on ne parvient pas à localiser et que, de toute façon, on sait ne pouvoir supporter.

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- Il y a un.... mutant comme celui du couloir là-derrière. Quand je me suis réveillé ce matin, il était là. J'ai réussi à fermer avant qu'il sorte.

Ce fut au tour de Matt d'écarquiller les yeux.

- Quoi? Tu veux dire qu'ils sont deux?

- Celui de la cuisine est moins agressif, mais il a quand même essayé de me lancer un couteau. Je crois qu'ils sont... maladroits.

Maintenant que la tension était retombée d'un cran, Tobias articulait lentement.

- Écoute, Matt, j'ai un mauvais pressentiment. Tu vois, quand je l'ai vu là, ce matin, en train de se goinfrer, la tête dans le frigo, j'ai... j'ai eu l'impression que c'était mon père.

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Ambre... même son nom avait des sonorités magiques. Matt voulut se redresser mais l'effort le terrassa et il s'effondra dans ses oreillers. La vague de fatigue s'enroula autour de lui et tout ce qu'il eu le temps de dire avant de disparaître dans l'écume du soleil fut :

– Ambre... sois mon ciel...

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- Et pourquoi pas ? Tu ne crois pas en Dieu, au diable ? Aux démons ?

- Bien sûr que non.

- Pourquoi « bien sûr » ? Ça n'a rien d'une évidence pour des millions de gens !

- Parce que le journal télé n'existait pas à l'époque où on a inventé la religion ; si ça avait été le cas, personne n'aurait jamais cru en l'existence d'un Dieu si bon dans un monde pareil !

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Matt engrangeait les informations, tissant un portrait de ce nouveau monde de plus en plus exaltant mais tellement angoissant. Les Cyniks... les Gloutons... les Pans. Que s’était-il passé la fameuse nuit où la Tempête avait frappé le monde, de quelle nature étaient ces éclairs vaporisant les gens tout autour de lui ? Comment en étaient-ils arrivés là ?

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Le jour de Noël, Matt constata avec plaisir que ses parents s’efforçaient d’être calmes et, pour un peu, il aurait pu croire qu’ils allaient se remettre ensemble. En voyant la pile de cadeaux qu’ils lui avaient offerts, le garçon fut d’abord submergé de joie avant de comprendre qu’ils le gâtaient parce que c’était leur dernier Noël tous les trois. Son sourire mourut sur ses lèvres, avant de revenir devant le dernier paquet, le plus grand. Dès qu’il en aperçut un bout, il sur ce que c’était et explosa de bonheur : l’épée d’Aragorn.

- C’est la vraie réplique ! précisa son père fièrement. Pas l’imitation remplie d’air. Celle-là, si tu l’aiguises, c’est une arme véritable ! Alors faudra faire attention, bonhomme.

Matt la sortit de son emballage et la brandit devant lui, surpris par son poids : elle était affreusement lourde ! La lame étincelait sous ses yeux, captant les lumières du plafonnier, comme des étoiles elfiques, songea-t-il. Elle était fournie avec un support mural et un étui en cuir et des sangles qui permettaient de la porter dans le dos, comme dans le film.

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Le vendredi soir sonna le début des vacances pour tout le collège. Matt rentra directement chez lui, il n’avait pas le cœur à sortir avec ses amis. Il vivait dans un appartement au 23e étage d’une tour de Lexington Avenue. Sa chambre était décorée de posters de films, Le Seigneur des Anneaux en tête. Des tablettes abritaient sa collection de figurines tirées du même film : Aragorn, Gandalf, et toute la communauté de l’anneau figuraient en bonne place, face à son lit.

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