Avatar, le dernier maître de l'air, Tome 3 : Le Désaccord

C'était intéressant de voir comment Toph avec son fort caractère arrive quand même à s'entendre avec Aang. Ce sont des amis qui peuvent s'énerver et s'expliquer. Je ne m'attendais pas à revoir le père de Toph, c'était une bonne idée.

Un troisième tome plutôt chouette qui tourne autour des thèmes du développement industriel et de la conservation des traditions.

C'est toujours un plaisir de retourner dans cet univers et de retrouver ces personnages que j'aime temps. Même si je trouve ce tome légèrement en dessous des précédents, j'ai beaucoup aimé l'histoire et surtout voir Toph mise en avant. Juste un peu déçu de l'absence de Zuko, qui est mon personnage favori, j'espère le revoir dans le prochain tome.

Un bon tome même si je l'ai trouvé en dessous des tomes précédents.

On retrouve Aang et ses amis pour une nouvelle aventure qui se fera, cette fois-ci, sans Zuko. Ensemble, ils entreprennent un voyage pour célébrer une fête traditionnelle des nomades de l’air qui n’a plus eu lieu depuis plus de cent ans. Lors de ce périple, Aang, contacté par l’esprit de l’Avatar Yangchen, découvre avec stupeur qu’une raffinerie a été construite sur la terre sacrée où doit se dérouler le festival.

C’est évidemment toujours un plaisir de retrouver ces personnages que j’aime tant et cette fois-ci Toph est bien plus au centre de ce nouveau conflit (elle m’avait manquée dans La Recherche). J’aime beaucoup Toph avec son caractère bien trempé et son scepticisme. Ici le désaccord concerne Toph et Aang qui n’ont pas le même point de vue de la sacralité. Toph n’est pas intéressée par le festival de Yangchen et le fait savoir sans prendre de gants. Aang lui est profondément bouleversé par cette raffinerie qui vient balayer sa terre sacrée.

J’ai bien aimé l’intrigue de ce tome qui pose des questions sur les traditions et les rituels. Faut-il préserver une tradition qui n’a plus de sens et dont on ignore même l’origine pour le simple fait que c’est sacré ? Pourtant j’ai trouvé que ce pan de l’histoire n’était pas assez développé au profit de la relation entre Toph et son père et de la recherche de l’origine du Festival de Yangchen. Bien que ces deux arcs soient très intéressants, j’aurais préféré que le tome se concentre un peu plus sur la problématique amorcée au début de la BD.

Malgré ça, on plonge toujours dans une histoire passionnante, rythmée par des combats palpitants, une intrigue enrichissante et une conclusion satisfaisante qui répond très rapidement à la problématique de la perpétuation des traditions. C’est dommage, mais ça n’enlève pas pour autant le plaisir que j’ai eu à lire ce tome. J’ai tout de même une préférence pour le 1er tome.

Toujours ravie de retrouver la team Avatar que j'affectionne tant, même s'il demeure certains défauts qui ne me permettent pas d'apprécier les comics autant que la série animée.

Ce troisième tome aborde la question du développement industriel qui se répand de plus en plus à travers les différents peuples. Il pose également la question d'une union entre eux et entre les maîtres et non maîtres, afin d'améliorer le travail effectué et ainsi forger une véritable alliance.

Zuko est absent de ce tome, à mon plus grand désarroi. Toph en revanche est de retour. La fondation de son école pour apprendre la maîtrise du métal trouve ici tout son intérêt et fournit une explication au développement exponentiel de la maîtrise du métal qui a eu lieu dans La légende de Korra.

Ce tome fait également pressentir les bases de ce qui deviendra Republic city, et trouve un nouvel écho dans Imbalance (le tome 6).

Ces comics sont à la fois très bons et très frustrants, parce que je suis ravie de retrouver ces héros que j'adore tant mais je suis également peu satisfaite par certains des évènements.

Un bon comics, mais qui n'atteint pas le niveau exceptionnel de la série animée.