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Extrait ajouté par M-lire 2016-05-21T22:58:32+02:00

- Tu peux tout me dire, ai-je poursuivi, mon cœur battant de plus en plus fort. Je ne partirai pas.

- Tu n'en sais rien. Tu n'es pas prête à l'entendre.

- Rien de ce que tu me diras ne me fera fuir. Plus maintenant.

J'ai fait un pas en avant pour franchir le mur qui nous séparait. J'ai plongé mes yeux dans les siens, sans crainte, ni doute, ni inquiétude.

- Je t'aime.

Handel a ouvert la bouche. Je croyais qu'il allait me dire ce qu'il avait sur le coeur, ce qui le tracassait et qui, peut-être, l'effrayait. Mais il l'a refermée, sans un mot.

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Extrait ajouté par Edith972 2016-03-29T04:48:04+02:00

Depuis cette nuit de février, j’avais voulu que ma chance tourne et ma chance était sur le point de tourner. Avec Handel Davies. Je savais que ce serait avec lui. Je le sentais. J’ignorais encore de quelle façon et, à cet instant, il ne m’est pas venu à l’esprit que la chance pouvait aussi, parfois, nous jouer des tours.

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Extrait ajouté par fleurbleue1983 2016-03-31T22:37:56+02:00

Il y a tant de façons d’aimer quelqu’un, parfois juste avec des mots .

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Extrait ajouté par ge39 2016-03-26T14:27:30+01:00

Avant qu'il ne se mette à pleuvoir, nous avons décidé de rentrer.

Je n'arrêtais pas de me demander si Handel allait m'embrasser. Et quelle serait ma réaction s'il essayait.

- Je te raccompagne ? a-t-il proposé.

- tu n'es pas obligé.

- Bien sûr que si.

- Ce n'est pas comme si j'étais en danger, ai-je répliqué avec un rire étranglé.

Mais le mot "danger" était resté coincé dans ma gorge, car je n'étais plus sûre que ce soit vrai - surtout avec Patrick McCallen de l'autre côté de la plage.

- Je suis venu te chercher, alors je vais te ramener, a insisté Handel avant de m'adresser un sourire qui a aussitôt chassé mes craintes.

Nous avons remonté la plage jusqu'aux quais, et je me suis arrêtée sous un lampadaire pour remettre mes sandales. Quand j'ai relevé la tête, ses yeux étaient posés sur ma taille. Une fine bande de peau y était exposée et quelques grains de sables étaient venus s'y loger. Handel les a balayés du bout des doigts, son toucher aussi léger qu'un murmure.

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Extrait ajouté par lilas16 2016-03-24T19:59:39+01:00

19 Février :

La lame appuyait contre ma gorge.

Je restais immobile, paralysée par la peur, mais aussi parce que je savais qu'au moindre mouvement, elle s'enfoncerait un peu plus dans ma chair. Mon agresseur la maintenant fermement. Il se tenait derrière moi, pressé contre mon dos. Je ne voyais pas son visage. Je ne voyais rien, hormis le bout de sa chaussure droite, renforcé d'une plaque de métal et couvert de neige fondue.

- S'il vous plaît, ai-je chuchoté. Laissez-moi partir.

Mais il m'a ignorée. Du moins au début. L'homme - je ne savais pas s'il était jeune ou vieux - aboyait des ordres aux autres, son horrible voix s'élevant par-dessus le vacarme des chaises qui volaient en éclats et des livres qui s'écrasaient sur le sol.

Dehors, la neige tombait à gros flocons. La vue ressemblait à un décor de carte postale, si paisible, à des années-lumière de ce qui se passait dans la maison.

Un vase s'est brisé. Je n'ai pas pu m'empêcher de sursauter.

Page 7

Source : http://www.lamartinierejeunesse.fr/ouvrage/avec-ou-sans-toi-donna-freitas/9782732472034

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Extrait ajouté par weareallmadhereokay 2017-02-07T21:08:03+01:00

A l'époque où je ne connaissais rien à l'amour, je croyais qu'on tombait amoureux comme une feuille tombe d'un arbre, avec grâce et légèreté. Je n'aurais jamais pensé que cela puisse être violent. Dangereux. Si on m'avait dit avant de rencontrer Handel, qu'aimer quelqu'un pouvait être dangereux, je ne l'aurais jamais cru. J'étais trop romantique.

Aujourd'hui, je le savais.

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Extrait ajouté par Ceinia 2018-05-10T01:51:57+02:00

J'ai fermé les yeux.

-Toi aussi, tu me rends folle.

-Tu me croirais, si je te disais que je suis en train de tomber amoureux de toi? Ou peut-être... peut-être que je le suis déjà.

Nous nous sommes allongés sur la couverture, l'un contre l'autre, et j'ai rouvert les yeux.

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Extrait ajouté par weareallmadhereokay 2017-02-07T21:09:17+01:00

C'est une jeune fille si adorable, Molly, mais ses yeux... ils sont si tristes.

J'ai refermé la porte d'entrée d'un mouvement brusque, laissant ma mère et Mme McIntyre à leurs cancans. Ses mots, cependant, me suivaient comme mon ombre, comme la traîne de cette horrible robe de mariée.

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