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Les oiseaux du soir, aux cris tristes, commencent à se faire entendre. Je vais aller dormir et demain, dès l'aube, je prendrais le chemin du bois pour manger comme aujourd'hui, reprendre des forces et être heureux le soir.

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Une angoisse formidable me barre la poitrine ; ma gorge se serre, je sens parfois des larmes me brûler les yeux. Je sens que cette appréhension est la peur de la solitude à laquelle je me contrains.

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Oh ! si j'étais chez les Indiens, combien cette coute aurait été belle, sachant qu'à sa fin il y a un village et des hommes dont j'aime à partager la vie. Je rêve de leurs feux de camp, de leurs danses, du train-train quotidien, de l'odeur du "roucou", celle du "génipapo".

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Souvent je me désespère d'être désespéré, mais il n'est pas facile de garder toujours le sourire. Cependant j'essaie de vaincre cette tendance au découragement et j'y réussis fort bien, tout simplement en écrivant et en analysant les raisons de cet état.

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J'écris, de manière décousue, ce qui me passe par la tête. C'est ainsi tous les soirs, comme une discipline que je m'impose mais qui est en fait un plaisir. J'ai l'impression de causer avec quelqu'un. Ça me délasse...

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Caravane réduite, mais les chiens sont toujours là. On m'a pris aussi pour un fou dangereux. Il vaudrait mieux, aux dires de certains, que je crève en forêt...

Que de bruit autour de ce départ ! Qu'y a-t-il donc à cacher aux Tumuc-Humac, ou sur ma route ?

- Pas une chance sur mille ! a confié un planteur d'ananas, vieux broussard.

- Il ne reviendra jamais !

Pessimisme partout ; les adieux sont funèbres. On essaie encore de me décourager.

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