Commentaires de livres faits par Aventuri
Extraits de livres par Aventuri
Commentaires de livres appréciés par Aventuri
Extraits de livres appréciés par Aventuri
Et je l'aimais parce qu'elle le prenait en pitié."
Ma belle, voie la pluie, la pluie s'approcher."
D'effrayants nuages l'enveloppent dans l'obscurité.
Devant elle, Atlas se tient droit qui,sur ça tête
Et ses bras infatigable soutient fermement le vaste ciel,
Où la Nuit et le Jour passent un seuil de bronze
Avent de se rapprocher et de se saluer."
Ires face aux noirs secret, Cécité et sudité...
hors les ans, hors l' univers,
le non-choix, mort ou bien né,
terr' guettée par jour brisé...
Qui transporte ces ombres de votre monde
dans les prochain.
Sais ta pert', restent les pleurs
Il paraît et tu l'attends
Dix-sept lunes, dix sept pleurs...
avent l'heur' surgit la lune,
astres éteint,coeur suivis,
l'un briser, l'autre tari...
Je sais.
Dans le noir, j'ai aperçu ses paupière qui ce sont soulevaient révèlent la lueur dorée,les pupilles de la malédiction.
Des yeux bleus et une chevelure blonde...
mort triste, honte de pleur,
vois le signe et marche un mille,
dix sept ne connaît qu'exil...
yeux noirs brûlants comme un four,
le temps presse, une encore plus,
dans le feu la lune et mue ...
personne n'abandonne et personne ne donne
personne ne m'entend juste personne s'en soucie
personne ne me craint personne juste me regarde
personne ne m'appartient et personne ne reste
aucune personne ne connait rien a rien
il ne reste rien que des riens et des riens
personne et personne
j'ai posé ma tête sur sa poitrine et j'ai pleuré parce qu'il avait vécu
parce qu'il était mort
un océan asséché,un désert d'émotion
triste heureuse ombre lumière joie chagrin m'ont submergée,engloutie
j'ai perçu le bruit mais je n'ai pas saisi les mots
puis j'ai compris que le bruis était moi qui me cassai
en un instant,j'ai tout ressenti et je n'ai rien ressenti
j'était brisée,j'était sauvée,j'avais tout perdu,
j'avais reçu
tout le reste
quelque chose en moi était mort, quelque chose en moi était né,je savais seulement que la fille était partie
qui que je sois désormais,je ne serais plus jamais elle de cette façon
ainsi s’achève le monde sans éclat mais sur un cri plaintif
appelle toi toi même appelle toi toi même
appelle toi toi même appelle
la gratitude la rage l'amour le désespoir l'espoir la haine
d'abord le vert est or mais rien de ce qui est vert ne perdure
n'essaye
pas
rien
de
ce
qui
est
vert
ne perdure
sans nuage et dans le ciel étoilé."