Un dernier tome qui clôture en beauté cette trilogie.

Comme le tome 2, me remettre dans l’histoire a été un peu difficile à cause de la multitude de personnages. Heureusement, ceux-ci se séparent et finalement c’est le point positif du livre. Grâce à ça, l’action ne manque pas et nous revenons sur les différentes intrigues qui se sont créées au fur et à mesure. Cela permet aussi de nous concentrer sur des personnages qui n’ont pas forcément été mis en avant jusque-là. J’ai particulièrement apprécié ce qui tournait autour de Holly, ses soucis de santé causés par la mère de Lénia. c’était vraiment bien pensé.

En bref, j’ai adoré du début à la fin, des surprises nous sont réservées tout du long. Je regrette simplement la façon dont un des personnages est mort. Certes, son décès sert l’histoire, mais ça manquait d’émotion. C’est venu de nulle part, on ne s’y attendait pas et j’ai trouvé qu’au final c’était dommage parce que ça donnait l’impression que son rôle se résumait à mourir.

À part ça, je n’ai rien à dire. Cette série vous embarquera dans de folles aventures et vous fera stresser pour le sort de chacun.

J'ai trouvé ce tome un peu moins bon que les précédents. Il ne se passe pas grand-chose pendant une bonne partie du livre et une fois qu'une mission se prépare, celle-ci se déroule facilement et ne propose pas vraiment de gros rebondissement.
Heureusement, la fin rattrape le coup et donne envie de poursuivre.

La mythologie grecque étant un sujet que j’adore, ce livre était pour moi, d’autant plus que la couverture est magnifique et hyper attirante !

On suit les aventures de Sophia, une Athénienne, qui a hérité de quelques points communs avec son ancêtre : elle aime mettre le doigt sur la vérité et, surtout, en tant que stratège, elle est sans cesse en pleine réflexion, se demandant quel est le meilleur choix à faire. Autant vous dire que ça lui cause pas mal de problèmes dans sa vie de tous les jours, par exemple, elle va mettre des heures à se décider entre deux tenues vestimentaires ou deux restaurants. Les ennuis lui tombent définitivement dessus lorsque son ami Albert est assassiné et qu’elle est accusée du crime par les dieux eux-mêmes. La demoiselle ne se laisse pas faire et se dit non-coupable. Les dieux lui donnent un mois pour résoudre l’enquête et même si rien n’est fait pour lui faciliter la tâche, elle n’abandonne jamais.

Alejandro lui colle aux basques et, hélas, leur relation n’est pas au beau fixe. J’ai trouvé que ce personnage était le moins bon : il est censé être un descendant d’Ares, dieu de la guerre et j’ai trouvé qu’il lui manquait ce côté bad boy, certes présent au début, mais trop vite oublié. En outre, la relation entre eux se fait trop en douceur, ça aurait carrément pu être plus pimenté. Cela dit, ça n’a pas altéré ma lecture, car ce n’est pas ce sur quoi repose entièrement l’intrigue.

Sinon, rien à redire sur le reste. L’histoire est prenante, l’enquête nous mène sur de fausses pistes et jusqu’à la fin, l’auteur parvient à garder le suspense. L’univers créé est vraiment pas mal, bien expliqué, et pas complexe, de sorte qu’on plonge très vite dans le livre. Gros plus pour la petite touche d’humour qui ne tombe pas dans le risible. Elle est dosée à la perfection.

Ce livre se dévore. On ne voit pas les pages passer. J’ai adoré du début à la fin. Allez-y, vous allez adorer.

Honnêtement, j'ai adoré. Ce n'est pas le meilleur de livre l'auteur à mes yeux, je lui trouve pas mal de petits défauts, notamment un manque d'explication, d'approfondissement et une fin qui me laisse un sentiment presque d'inachevé. On reste quelque peu dans le flou concernant l'avenir des personnages. Hormis ça, j'ai passé un bon moment, l'histoire reste originale, avec une ambiance vraiment particulière, unique.

Comme les précédents tomes, j'ai aimé, mais quelque chose a fait que je n'ai pas totalement accroché. Honnêtement, je pense que c'est la note humoristique... Une fois sur deux, je trouvais les pensées de l'héroïne stupides.

Par contre, il est navrant de constater autant de coquilles ! Quelques unes, ça passe, là, franchement, il y en avait beaucoup trop !

Après un premier tome exquis, j’avais hâte de découvrir le dernier tome de cette duologie. Moins axé romance, il reste tout aussi bon.

Cerise reste fidèle à elle-même, tout en se familiarisant avec la Princesse qu’elle était avant d’être envoyée sur Terre. Elle s’affirme, prend des décisions, s’impose. Elle est moins en retrait des événements dans ce tome et joue enfin son rôle.
Sa relation avec Zellon est loin d’être lisse. Ils connaissent des hauts et des bas, à cause de leurs idées divergentes, mais parviennent à rester unis.
Dans ce second tome, de nouveaux personnages font leur apparition, de nouveaux paysages nous sont décrits, partie un peu longue, mais nécessaire à la construction de l’univers. On fait également connaissance avec de nouvelles espèces : dragons, géants de pierre.

L’histoire tourne principalement autour de la paix que Zellon veut instaurer avec les différents peuples des Terres Perdues, notamment les Astériens, leurs ennemis jurés. Les Astériennes, je peux vous dire, je ne les porte pas dans mon cœur. Leur système est basé sur celui des Amazones : elles ont en horreur les hommes et, têtues comme elles le sont, compromettent les plans des nouveaux arrivants. L’action est mise de côté, au profit de la diplomatie, autant dire que parfois on frôle la catastrophe. Ça change des guerres, des batailles sanglantes des livres de fantasy, Cerise a de toute façon fort à faire avec son ultime combat contre Asphobia. J’ai d’ailleurs beaucoup aimé ce dénouement, original.

La plume de l’auteur est toujours de qualité et les pages se tournent à vitesse V. La fin, elle, donne envie d’en savoir plus sur le devenir de certains personnages secondaires. J’ai hâte de découvrir les spin off. Une duologie du tonnerre qui plaira à beaucoup !

Je sors quelque peu déçue de cette suite. J'ai trouvé les personnages, surtout James, pénibles, antipathiques, exécrables. Les paroles de James étaient tellement blessantes que je ne comprends pas pourquoi Carah succombe aussi vite quand il se présente à elle dans le but de la reconquérir. Une fin bâclée à mon goût.

Pour avoir déjà apprécié la plume de Violette Subros, je ne m’inquiétais pas pour Dreamcity. Le livre m’intriguait et il ne m’a pas donné le choix : je l’ai lu.

On suit Eliott, policier chevronné, marié à une jeune femme dont il est éperdument amoureux mais dont l’endométriose complique leur vie de couple. Eliott en souffre beaucoup, il n’a pas beaucoup de solution pour l’aider et cela le ronge. Cela se complique quand Ela fait son apparition. Belle, il entretient des pensées qui l’amènent doucement sur une pente glissante. Succombera-t-il ? Au début, j’avoue que cette romance me laissait perplexe. Je ne m’étais pas vraiment attachée à Ela et même si sa femme Abby avait un comportement qui n’aidait pas non plus à l’apprécier, tromper reste pour moi une faute impardonnable. Aussi, je ne comprenais pas le choix de l’auteur de partir sur cette voix-là... et puis, les révélations arrivent, cette liaison sert l’histoire comme il faut et on se dit que c’est génial, tout est parfaitement orchestré.

Honnêtement, je ne trouve aucun défaut à ce livre (hormis le côté lourdingue de Lou, le coéquipier d’Eliott). Vous trouverez du suspense, du mystère, du sadisme, un thriller qui bascule vers le fantastique. Des personnages plus vrais que nature, avec leurs défauts et qualités. Une fin qui vous met la rage, qui secoue !
J’ai été happée par l’intrigue, ces décès en cascade. On ne s’ennuie pas, les pages se tournent rapidement grâce à la plume dynamique de Violette. Comme nos héros, nous sommes bousculés par les événements incompréhensibles qui surviennent à Dreamcity. L’auteur a réussi un tour de force : il vous sera impossible de découvrir ce qui se passe vraiment !

Vous cherchez un livre addictif, celui-ci conviendra parfaitement.

Le livre commençait plutôt bien. Mais après 100 pages, j'ai commencé à m'ennuyer ferme. L'enquête reste au point mort, le père Draven la bloque avec son silence. Bryce est pour sa part tellement agaçante. Elle est journaliste et j'ai détesté son caractère, elle ne pense souvent bien qu'à elle, espérant secrètement que Dash lui mentira pour révéler ses noirs secrets. Je ne parle même pas de son avis tranché sur l'affaire de meurtre. Pour elle, Draven est coupable, basta. Dash n'a pas réhaussé le niveau. Bad boy, motard... je l'ai trouvé bien gentil.
Et cette fin... très chaotique. L'auteur a choisi de faire durer l'intrigue sur plusieurs tomes, très bien, pas de soucis... mais dans ce cas, pourquoi balancer un épilogue qui se pose un an plus tard ? Des réponses restent sans réponse, une relation s'est formée sans qu'on sache comment. Je me doute que ce sera le sujet principal du tome 2, en attendant, je trouve ça très mal amené.

J’avais beaucoup aimé Sorcery of thornes de la même auteur. Aussi, quand Vespertine est sorti, je n’ai pas hésité longtemps. Je l’avoue : la beauté de ce livre a lourdement pesé dans la balance.

Artemisia est une nonne, douée de la Vision : elle voit les esprits et cela a des conséquences, elle peut être possédée par eux. Entraînée à les combattre et les repousser, elle voit sa vie basculer le jour où une armée de possédés attaque son couvent dans un but précis. Au cours de la bataille, on lui lègue une relique importante. Après ça, elle cohabite avec un revenant, autant dire que ça la met dans de beaux draps. Pourchassée par la Clergie, notamment par un certain Léandre qui saura instiller le doute concernant ses intentions, et en même temps adulée par le Peuple, Artemisia va devoir résoudre le mystère de ses nombreuses possessions qui sévissent et menacent de tuer tout le monde. Ce n’est pas mon héroïne préférée, mais elle se démarque des autres de par son histoire, son caractère.

Les saints ont leur importance dans ce livre, cela vous fera peut-être penser à la série Grisha. Hormis cela, l’auteur a su créer son univers. D’ailleurs, ce que j’ai le plus aimé, c’est l’ambiance lugubre, sombre, glauque du livre. Des corbeaux, des esprits, des revenants, des possessions et des maladies mortelles. Ajoutez ça à un peu de magie, et c’est tout bon ! Pas de romance, mais le livre se focalise sur les relations de confiance, l’amitié.
En bref, j’ai adoré. Le début démarre sur les chapeaux de roue, il y a peut-être des passages un peu plus longs par la suite, mais la fin tient en haleine et même si elle se suffit à elle-même, je ne serais pas contre une suite.

Ce livre trainait dans ma PAL depuis plusieurs années et je l'ai sorti à l'occasion d'un challenge littéraire sur facebook. J'adore la fantasy et ça aurait pu le faire, mais ça ne l'a hélas pas fait, la faute à des situations incohérentes à mes yeux, une plume fragile (ce que je peux encore pardonner vu qu'il s'agit du premier livre de l'auteur), une mise en page pas terrible et trop de bons sentiments qui m'ont fait lever les yeux au ciel. Au final, il ne se passe pas grand-chose et j'avoue, je me suis ennuyée ferme, me demandant même si je n'allais pas abandonner ma lecture. Les personnages n'ont pas eu grâce à mes yeux, hormis peut-être Dawn, mais bon.... 3 femmes, 3 hommes, 3 couples en perspective, c'est trop facile à mon goût. Dommage, il y avait de bonnes idées dans l'ensemble. Je n'étais peut-être pas dans la bonne période pour le lire.

Je voulais tenter un MM et j’ai fait confiance à des amies pour me lancer dans la série THIRDS. Il a traîné presque deux ans dans ma PAL avant que je me décide à le sortir à l’occasion d’un challenge littéraire.

On fait la connaissance de Dex, inspecteur chez les FPH (Forces de police humaine). On voit un personnage fatigué, las, en plein enfer après avoir dénoncé son coéquipier dans une sale affaire. Pour avoir dit la vérité, le pauvre se fait tabasser, harceler par les journalistes. Pourtant, à son intégration au THIRDS, sa personnalité change du tout au tout et ça m’a fait bizarre, parce que j’avais vraiment l’impression que ce n’était plus la même personne. Il est taquin, franchement gamin, fait sens cesse des sous-entendus graveleux et lance des avances à tout-va à ses coéquipiers (surtout à l’un d’eux). Je l’ai adoré, il m’a tellement fait rire que je ne pouvais pas faire autrement.

À côté, il y a Brodie Sloane, très mystérieux sur son passé et souvent qualifié de connard. Au début, en effet, il l’est, mais il a ses raisons. Avoir perdu un coéquipier le pousse à éloigner les nouveaux et Dex n’est pas épargné. On devine quelqu’un de sensible au fur et à mesure, qui peine à refermer ses plaies. Je l’ai trouvé touchant et me suis attachée à lui, d’autant plus qu’il s’ouvre peu à peu au fil du récit. J’ai hâte d’en savoir plus sur lui.

Concernant leur relation, j’avais peur au début que ça aille trop vite. En effet, Dex n’hésite pas à montrer son intérêt, même si c’est sur le ton de la plaisanterie. Et forcément, il se passe des choses dès ce premier tome, mais honnêtement ça ne m’a pas dérangée, leur rapprochement sert l’histoire.

Au niveau de l’enquête, j’avoue avoir vu venir plusieurs trucs, dont le meurtrier et la façon dont il s’y prenait. Pour autant, j’ai passé un super bon moment. C’est une lecture qui n’a pas de temps mort : de l’action, de l’humour et des personnages aussi intéressants qu’attachants.

Moi qui avais peur de me lancer dans un MM, au final, je vous recommande ce livre à mon tour. C’était génial !

Après trois tomes géniaux, j’étais impatiente de lire le tome 4, d’autant plus que Connor avait été parfaitement introduit par l’auteur jusque-là, donnant envie de découvrir son histoire.

Connor n’est pas aussi confiant qu’il le laisse paraître. Il vient d’un milieu pauvre et depuis que sa mère s’est mis en couple avec Max, sa vie a radicalement changé. Aussi, il y a l’ombre de l’ancien lui qui plane et il ne se sent pas légitime d’être à Briar, encore moins quand le passé le rattrape. Malgré ça, je n’ai pas eu le coup de cœur sur lui comme je le croyais. Il est cool, charmant, mais je n’ai pas eu le petit plus qui aurait fait de lui un bookboyfriend, comme Jake (lui, il m’a marquée).

Psychologiquement Taylor lui ressemble beaucoup. Elle est complexée, elle n’aime pas son corps et à la moindre remarque, elle se referme comme une huître. Son personnages est assez déstabilisant parce que les personnes qui l’aiment et parlent d’elle dressent un tableau complètement différent de ce qu’elle pense d’elle-même. En gros, on imagine deux femmes différentes et je n’arrive pas à déterminé si c’est un coup de génie de l’auteur.

Ce tome repose sur le chantage, le harcèlement. Connor va souffrir du premier, Taylor du second. Dès qu’ils sont face à un problème de taille... c’est la fuite plutôt que d’expliquer à l’autre ce qui ne va pas. C’est ce qui m’a dérangée en fin de compte. Ils ont la même réaction en l’espace de même pas 100 pages et j’ai trouvé ça redondant. À côté de ça, après un milieu plat, la fin était vraiment addictive, parce que le second problème, je ne l’ai vraiment pas vu venir.

Pour conclure, ça n’a pas été mon tome préféré de la saga, ni le plus drôle (on ne pouvait pas faire mieux que le tome 3), mais j’ai passé un très bon moment quand même. J’étais même contente de voir le coach Jensen dans sa vie privée et le voir lui aussi galérer dans les relations amoureuses. Il a été un personnage important tout au long des séries Off-campus et Briar et je suis contente qu’il n’ait pas été oublié.
Franchement, j’ai adoré ces deux séries. Niveau romance, elles se placent vraiment dans le podium.

Mon premier livre de l'auteur et j'ai beaucoup aimé. Jusqu'à la dernière page, les rebondissements vous surprennent. Niveau personnage, c'est pas ce que j'ai préféré, surtout Hastings que j'ai trouvé fort idiot.

J'avais hâte de lire ce tome, le personnage de Kaleb m'a toujours attirée, mais finalement, je sors mitigée. Je me suis ennuyée durant un bon moment, quand bien même l'histoire de fond est top, différente de ce que les autres tomes offraient. Heureusement, les 100/150 dernières pages ont été plus dynamiques, offrant un beau final.

Après un très bon premier tome, j’avais hâte de replonger dans cette histoire unique.

Le début a été un peu difficile. Il y avait tellement de noms de personnages à retenir qu’il m’a fallu quelques dizaines de pages pour me souvenir de leur rôle. L’histoire était géniale, mais aussi complexe, du coup, ce fut pareil de ce côté-là. Heureusement l’auteur revient sur certains événements.

Dans ce second tome, Lénia est confrontée à elle-même, le rendant plus sombre que le premier. Entre présent et passé, des pans de son histoire nous sont révélés et avec tout ce qui se passe, le futur reste incertain. Va-t-elle pencher du mauvais côté ?
Ce qui est certain, c’est qu’elle peut compter sur son âme sœur et ses nombreux amis. Encore une fois, la relation amoureuse entre elle et Tristan ne m’a pas fait vibrer plus que ça, ça manque de dynamisme, ils sont vraiment trop lisses à mon goût. En revanche, j’adore le travail réalisé par l’auteur sur toutes les autres relations, qu’elles soient amicales ou amoureuses. On les voit évoluer, se disputer, se réconcilier, et grâce à eux, le récit est plus mouvementé.
L’histoire est riche en action, révélations, interrogations. Ce tome a même réussi à me faire verser quelques larmes.

Ce tome2 est aussi bon que le premier, voire meilleur. On ne s’attend jamais à ce qui va se passer, c’est un gros point positif. Le suspense reste en place et le tome 3 promet son lot de revirements !

Je suis fan de Mariana Zapata. jusqu’à maintenant, ses livres sont des coups de cœur et s’ils ne le sont pas ils s’en rapprochent fortement. Qu’en est-il du petit secret de Luna ?

Luna est une jeune femme qui est partie de chez elle depuis 10 ans après avoir été rejetée, maltraitée, par son père. Aujourd’hui, elle positive et préfère voir le bon côté des choses, si bien qu’elle se répète sans cesse quelques petites phrases qui l’aident à aller de l’avant. Elle ne s’énerve pas, même quand elle le devrait. Je n’ai pas été très transportée par son personnage, parfois j’avais vraiment envie de la secouer pour la faire réagir. À côté de ça, sa bonne humeur la rend sympathique et on a de l’empathie pour tout ce qui lui arrive.

Ripley, lui, est un homme peu bavard et même si c’est souvent l’une des caractéristiques des personnages masculins de l’auteur, ici, j’ai eu du mal à vraiment m’attacher à lui. On dirait une statue qui décore. On a du mal à savoir ce qu’il pense, ressent. C’est très étrange.

Leur relation ne m’a pas convaincue plus que ça. J’adore les romances slow burn de Mariana Zapata, celle-ci pourtant ne m’a pas vendu du rêve. En fait, on parle très peu, voire pas du tout, des sentiments ou de l’attraction qu’ils ressentent, même Luna vis-à-vis de Ripley. C’est difficile d’y croire et j’ai vraiment eu l’impression que tout se jouait sur les trente dernières pages. Je n’ai pas vibré, comme avec mes précédentes lectures, comme Cultissime.

Du côté de l’histoire, je cherche encore la signification du titre. Je m’attendais à un secret de ouf, au final je l’ai vu venir dès le début et ça n’a pas instauré le suspense que je m’attendais à éprouver.

Malgré tous ces petits défauts, je ne peux pas dire que ce fut mauvais. C’est une petite déception, dans le sens où j’ai tellement aimé les autres romans de l’auteur que j’avais placé la barre très haute. Cela dit, j’ai quand même apprécié ma lecture, mais il est certain que ce n’est pas le meilleur livre de l’auteur.

J’avais adoré le premier tome, mais pour x raisons, j’ai tardé à lire cette suite. Par chance, je me souvenais assez bien du tome 1, aussi, ça n’a pas été très compliqué de me remettre dans le bain.

On retrouve Grace, et on est aussi perdu qu’elle au début du livre. Elle se réveille après plusieurs mois passés dans son autre forme. Sa nouvelle identité va d’ailleurs être au cœur de ce tome, car elle est la seule de son espèce à être encore en vie. Autant dire, que ça ne lui vaut pas que de l’admiration ou de la sympathie. Certains voudraient bien la voir disparaître, à commencer par le père de Jaxon, l’un des vampires qui siègent au Conseil. Grace a été géniale dans ce tome, j’ai beaucoup aimé sa capacité à se faire son propre avis et à le défendre.

Un nouveau personnage devient principal, Hudson, le frère de Jaxon, celui que tout le monde considère comme le gros méchant de l’histoire. Eh bien, attachez bien votre ceinture, ce livre promet des retournements de situation auxquels vous ne vous attendez pas. Je ne m’attendais pas à ce que les événements prennent une telle tournure. Hudson est arrogant, fait des petites piques, critique autrui, mais on sent qu’il n’est pas comme le perçoivent les créatures surnaturelles. Et Grace commence à voir clair en lui, n’hésitant à le défendre... En gros, je l’ai tellement adoré qu’il a détrôné Jaxon.

La romance prend un tournant inattendu et ça ne m’a absolument pas dérangée, au contraire, ça fait de cette suite quelque chose d’addictif, osé, et non de répétitif, niais. Jaxon contrôle, il n’est pas parfait et ça agace autant Grace que le lecteur.

L’histoire reste très bonne. On ne s’ennuie pas, il y a de l’action, on ressent du stress pour les personnages. Ils sont en effet confrontés à des situations qui font froid dans le dos. Attention aux nombreux ennemis qui leur veulent du mal. Sous fond de jeu-tournoi, ce deuxième tome met en scène divers personnages, apportant une dynamisme et une camaraderie que j’ai toujours appréciés dans les livres.

Pour tout dire, ce deuxième livre est un franc succès. Il est tellement inattendu dans tout ce qui se passe que je salue le travail de l’auteur. J’ai tout aimé et cette fin ! Mon dieu, cette fin ! Je n’ai qu’une hâte : lire la suite au plus vite. Et si vous pensez avoir affaire à un YA classique, sachez que non, cette suite le prouve et s’éloigne de tout ce qu’on lit en règle générale.

J’ai craqué pour la couverture mais aussi son résumé qui promettait un bon ennemies to lovers comme on les aime. Le livre a-t-il été à la hauteur de mes attentes ?

Lou est une jeune sorcière loin de sa famille par choix. Elle n’est pas vraiment une fille fréquentable, elle vole, jure. Mais elle est tellement attachante, je l’ai adorée. Elle a une sensibilité qui la rend attachante, mais aussi un sacré toupet, qui donne lieu à des scènes hilarantes. Elle taquine, asticote, joue la dévergondée juste pour titiller ceux à qui ça ne plaît pas.

Reid est tout le contraire. Il fait partie des chasseurs et tout doit être méticuleux, rien ne doit dépasser. Sa réputation est importante à ses yeux et les jurons lui hérissent le poil. Il est hyper adorable malgré « son bâton dans le c*l » comme le dirait si bien Lou. Ses relations avec les femmes se résument à des baisers, rien d’autres et quand il rencontre Lou, c’est le choc pour lui. Honnêtement, c’était trop amusant quand il rougissait ou s’énervait.

Leur relation est hyper addictive ! Par un malheureux concours de circonstances, les voilà obligés de vivre ensemble. Au départ, ils se détestent. Elle est sorcière et lui les chasse, les brûle. Il ne connaît pas son identité évidemment, mais Lou aimerait lui changer sa vision des choses. Au fur et à mesure de leurs joutes verbales, des distances qu’ils s’imposent pour ne pas se toucher, on sent l’attraction œuvrer et les sentiments naître. La façon dont ils s’attachent petit à petit à l’autre était hyper attendrissante.

Hormis cette romance, l’histoire a tout pour plaire et tient en haleine. Le contexte fait évidemment penser à la période historique où l’église chassait les sorcières, mais l’auteur a su créer son propre univers autour de ça.
Lou fuit quelqu’un et ce quelqu’un semble plus proche qu’elle ne le croit. Lou en a peur et cherche protection auprès de Reid. Il se pourrait bien que sa mort ait de terribles répercussions sur le monde. Des révélations de ouf, de l’action, une forme de magie originale, de l’humour, des émotions, je ne me suis pas ennuyée. Ce livre est addictif et on tourne les pages avec plaisir, d’autant plus que les personnages secondaires ont tous leur importance. Mention spéciale à Ansel que je trouve trop mignon, adorable. Mon chouchou.

Carton plein pour ce livre. C’est un véritable coup de cœur que je vous conseille.

Briar T3, voilà une suite que j’avais hâte de lire, car je savais que ce serait encore une lecture de dingue. Sans être un coup de cœur comme le tome précédent, ce troisième opus a été un régal.

Cette fois, focus sur Hunter, qu’on suit depuis un moment au travers des histoires de ses coéquipiers. Le voilà qu’il passe à la casserole. Après différentes phases, il était marrant de le voir résister à l’appel des parties de jambes en l’air. J’ai adoré voir son évolution au fil des tomes, que ce soit grâce à off-campus ou Briar. Ici, il veut à tout prix être un capitaine exemplaire. Après avoir couché avec la mauvaise fille lors du tome précédent, il considère le sexe comme une distraction qui fait tout foirer.
Demy est son binôme pour un devoir et est là pour le faire dévier du chemin qu’il croit être droit. Elle est attirée par lui et après une rupture, elle se dit qu’elle doit tenter l’expérience avec quelqu’un d’autre. Or, ça pourrait bien la conduire droit vers le grand amour ? Encore faut-il que Hunter cède à ses avances. Et que sa famille cesse d’essayer de la remettre dans les bras de son ex.

J’ai adoré ce tome, mais dommage qu’on ait une thématique similaire à celle du Tome 3 avec Brenna et Jake qui voyait le s*xe comme une distraction à interdire. Hormis ce détail, l’humour est excellent, l’idée du cochon en animal de compagnie transformé en œuf (OK vous ne comprenez rien à ce que je dis si vous ne l’avez pas lu mais si vous voulez savoir, vous n’avez plus qu’à vous lancer), je riais comme pas possible. Et le gros plus, c’est cette grande famille autour du hockey, on s’attache à tous les personnages, c’est dingue. Plus je lis de tomes, plus j’ai l’impression de vivre avec ces fous.

Pour conclure, je suis fan et j’ai déjà le tome 4 qui m’appelle.

Merci aux éditions Elixyria pour l'envoi de cette suite. Après un tome 1 avec lequel je ne me suis pas ennuyée, j’avais hâte de retrouver Zia et Cameron pour connaître la fin de leur histoire.

Déjà j’ai beaucoup aimé le choix de l’auteur : faire un bond dans le temps de presque trois ans. Certes, ça servait l’histoire, mais personnellement, il m’a permis de mieux apprécier la romance et surtout, de la trouver plausible. Agrémenter l’histoire de flashback permettait également de faire l’impasse sur des zones d’ombre.
Attention, ce qui suit comporte des spoilers, impossible de faire autrement.

On retrouve Cameron quelques années plus tard, sur le point de sortir de prison après le cambriolage du tome 1 qui a mal tourné. S’il m’avait déjà émue dans le tome 1, ici il m’a mis le coup de grâce. Son lien avec Nana m’a fait verser pas mal de larmes, c’était déchirant.
Cameron est torturé, plein de doutes l’assaillent, notamment au sujet de Zia. La demoiselle a mûri, j’ai davantage aimé son personnage dans ce tome. La retranscription de ses sentiments est parfaite. Elle est tiraillée entre son grand premier amour, j’ai nommé Cam, et celui qui l’a aidée à remonter la pente, Neil, le barman sexy. Restera-t-elle avec lui pour ne pas lui faire de la peine ou écoutera-t-elle son cœur ?

Vous l’avez compris, la romance reste au cœur de l’histoire et là encore, nos deux personnages vont en voir de toutes les couleurs. Des révélations vont venir les malmener tout on long du récit à propos de cette fameuse nuit où Cameron s’est fait arrêter. Qui a prévenu la police ? Vous seriez surpris de la réponse, l’auteur parvient à nous mettre sur de fausses pistes jusqu’à la fin, de quoi alimenter le suspense.

Pour conclure, cette suite est aussi addictive que le premier tome, mais carrément plus intense à mes yeux. C’est rare qu’en romance, j’aime autant si ce n’est plus le tome 2. Ici, Molly Reagan a frappé fort et je vous conseille cette romance palpitante.

De très bonnes petites histoires. J'aurais vraiment aimé avoir des versions plus longues pour certaines d'entre elles, il y avait plein d'axes à développer.
Les illustrations apportent un plus.

Encore une enquête palpitante, mystérieuse. Des réponses, pas toutes, sont apportées ici. Une dose de suspense est maintenue et j'ai hâte de découvrir la suite.

On ne va pas se mentir, la couverture est magnifique et donne envie, mais j’ai sauté le pas quand j’ai entendu L.S.Ange parler de son livre.

Mélorine est une jeune femme qui n’a pas eu une enfance facile, ça a un impact sur son présent. Elle ne croit ni aux hommes, ni en l’amour. Elle ne veut pas se risquer à vivre sous le joug d’un homme violent, alcoolique. Son histoire est touchante et on souhaite qu’elle ait enfin une histoire heureuse.
Sa rencontre avec Roméo lors d’un entretien d’embauche catastrophique va chambouler son quotidien. Il l’attire plus que de raison et cela va la rendre indécise. Elle souffle sans cesse le chaud et le froid, jusqu’à être désagréable dans ses paroles. D’habitude, ce genre de personnage m’agace, mais l’auteur parvient avec brio à nous faire comprendre son comportement.

Roméo est aussi abîmé qu’elle. Ils se ressemblent beaucoup. Lui non plus ne veut pas s’attacher par peur de souffrir à nouveau. Je l’ai trouvé vachement patient et j’ai adoré son personnage.


Leur relation va connaître des hauts et des bas. Un pas en avant, deux pas en arrière. Auront-ils le droit à leur happy end ? En tout cas, la psychologie des deux personnages principaux est intéressante, ça ne tombe pas dans le trop sombre, ce qui me convient parfaitement. Chacune de leurs décisions a un sens.
Ce que j’aime beaucoup dans le style de L.S.Ange c’est sa façon de nous emporter sur un chemin qu’on n’attend pas et c’est encore le cas ici. Les personnages s’éloignent pour mieux se retrouver.
Concernant l’histoire, j’ai adoré le suspense instauré. On se pose beaucoup de questions. Est-ce que Mélorine est malade, ou lui joue-t-on un mauvais coup ? Si oui, qui peut être derrière tout ça ? C’est bien mené, j’ai été embobinée. Le récit est haletant jusqu’à la fin.

Je ne peux que vous recommander cette romance qui se dévore. Vous passerez un bon moment.
Un énorme merci à L.S.Ange.

Ce tome 3 a été un flop pour moi, pas une vraie déception, mais je ne l'ai pas autant aimé que les deux précédents. Des événements arrivent comme un cheveu sur la soupe. Faire mourir un personnage central de cette façon est un loupé à mon sens. La relation entre Roan et Cassandra a pris un tournant qui ne m'a pas du tout fait vibrer. C'est plat, loin de refléter la tension des premiers tomes. En fait, j'avais l'impression d'avoir affaire à de nouveaux personnages et pas ceux déjà rencontrés. La fin est par ailleurs assez bâclée, alors que ça méritait un combat épique, plus long que ça en tout cas.

Une suite aussi fascinante que le 1er tome. La relation entre Last et Arka est vraiment trop chou, même si je déplore le peu de scènes qu'ils partagent. En revanche, on ne manque pas d'action, de retournements de situation. J'ai même eu ma petite larme à l'œil à la fin. Une très bonne duologie.