Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 494
Membres
1 006 707

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Je ne comprenais pas le moindre mot. Comment pareil phénomène était-il possible ? Même si j'étais très ouverte d’esprit, là, elles y allaient un peu fort ! Des Elfes, des sorcières, et pourquoi pas des démons et des loups-garous tant qu’on y était ?

Afficher en entier
Extrait ajouté par mcd30 2020-04-21T16:13:41+02:00

L'homme aux oreilles pointues avait un trou béant dans l'épaule Je pouvais voir les arbres bouger au travers de la blessure que je lui avait infligée Wahou ! J'étais fière de moi malgré l'horreur de la situation. Cependant, en regardant plus attentivement la plaie. Je pus remarquer qu'elle se refermait très vite. Ainsi eux aussi pouvaient se régénérer ! Mince !

Afficher en entier
Extrait ajouté par blogdelyosa 2020-04-17T14:02:01+02:00

Il rebaissa les yeux.

- Eh ben, tu sais quoi ? Je m'en fiche éperdument ! Le bien et le mal ne font aucune différence quand je suis avec toi ! Tout ce dont j'ai besoin c'est de ta présence à mes côtés ! Que je puisse te toucher ou non ! J'ai failli mourir pour un baiser, alors ne me rejette pas cette fois !

C'était la première fois que je voyais des larmes couler sur son visage angélique, ma colère me brouillait les yeux mais je pouvais voir à quel point il était mal à l'aise.

Afficher en entier

Je jetai un œil dans le salon où, affalées dans le luxueux canapé, mes cousines étaient totalement absorbées par une nouvelle série télévisée. Elles se retournèrent lorsqu’elles entendirent mes pas dans le hall d’entrée.

— Ou vas-tu ? me demanda Jamie.

Andy ne dit rien, elle savait probablement où je comptais me rendre et ce que je voulais y faire.

Les cheveux courts de ma cousine avaient un peu repoussé depuis que j’étais arrivée dans cette maison, laissant une frange un peu longue lui recouvrir les yeux. Andy ne prêta pas attention à notre échange silencieux et se replongea dans son film.

Jamie me dévisagea comme si elle s’attendait au pire. Du bout du canapé, elle me fit face en un millième de seconde. Véridique ! Elle s’était visiblement très bien entraînée, elle aussi ! Ses petits yeux turquoise me questionnaient.

— Tu ne vas pas retourner aux ruines, hein ?

Afficher en entier

Eh bien lui, il s’appelle Jason, ici toutes les filles rêvent d’être dans son lit et pas mal y sont passées d’ailleurs. Il est trop beau ! gloussa-t-elle.

Apparemment, ma nouvelle camarade avait un petit faible pour le plus âgé des trois.

C’est vrai qu’il n’était pas mal dans son genre mais celui qui attirait le plus mon attention était plutôt le dernier. Sa bouche, son regard, tout n’était que finesse et beauté dans une imperceptible magnificence.

— Le plus petit c’est Ménas, il est avec nous en cours. Il est plutôt marrant comme gars. La dernière fois, il a littéralement envoyé chier le prof d’histoire et s’est fait renvoyer du lycée pendant deux semaines ! En plus…

Je remarquai que le garçon à la mèche me regardait. Son regard dégageait quelque chose d’incompréhensible, il me dévisageait. J'esquivai son regard pour revenir à ce que me disait Jess.

— … et lui, c’est Aymerick, mais ici tout le monde l’appelle Rick.

Afficher en entier

... A toutes ces âmes perdues dans le noir...

... A ces rêves insensés il y a toujours de l'espoir...

... Encore et toujours, il suffit d'y croire...

Afficher en entier

Prologue entier:

La pluie commençait à se faire plus forte, plus fraîche aussi. Mes longs cheveux dégoulinaient et mes mains tremblaient de plus en plus.

Le tonnerre me sortit de ma torpeur. L’air était glacé et les nuages sombres emplissaient le ciel.

— Léna ? C’est à toi… me souffla tante Éléonore en me tendant son parapluie noir.

Je pris mon courage à deux mains et décidai d’avancer jusqu’aux cercueils pour y déposer mes deux roses rouges, symboles de mon amour pour eux.

La vie est ainsi faite. Je ne comprendrais jamais pourquoi lorsque l’on aime quelqu’un, le destin décide toujours de nous l’enlever.Peut-être est-ce parce qu’il nous fait grandir, passer à autre chose ou bien s’émanciper de la dépendance créée par l’amour ?

Je ne savais plus où j'en étais. La vie ne m’avait pas fait de cadeau en envoyant mes deux parents dans la tombe.

Ma tante disait que j'allais devoir tout recommencer à zéro. Nouvelle ville, nouveau lycée, nouveaux professeurs... En un mot, une nouvelle vie dont je n'étais pas sûre d'avoir envie.

En vérité, nous ne nous connaissions que très vaguement. Mes parents n’avaient pas vraiment de relations extérieures à notre petite bulle, même avec leur propre famille. Et puis, ma vie à Paris me plaisait vraiment,toute ma vie était là-bas.

Pourquoi mes parents m’avaient-ils abandonnée ? Comment allais-je faire sans leur présence à mes côtés ?

Naja, ma chienne de dix mois, était recroquevillée à l’abri d’un caveau. Observant les obsèques en frissonnant de tout son corps, son joli pelage doré avait fait place à une paillasse toute mouillée.

Les cercueils descendirent lentement dans les abîmes froids de la terre. Je sentis mon cœur se serrer à nouveau et mes larmes ne purent s’empêcher de passer la barrière de souffrance qu’était mon visage. Je n'étais plus qu’une coquille vide,sans énergie et sans âme.

La pression de ces derniers jours se fit ressentir dans mon corps qui me lançait des appels désespérés de fatigue. Depuis quand avais-je eu une vraie nuit de sommeil ? Je ne m’en rappelais vraiment pas. Aussi loin que possible… c’était avant que…

Le cimetière avait pris des allures de film d’horreur. La pluie s’ajoutant à l’ambiance morbide, le nœud dans mon estomac se serra encore et encore jusqu’à m’en donner la nausée. C’est bien ça. J’avais envie de vomir, vomir cette douleur qui se pressait plus fort dans ma tête et qui foudroyait mon cœur.

Tout s’était passé tellement vite que les événements me donnaient le tournis.Mes parents pour commencer, puis le voyage qui avait duré je ne sais combien de temps jusqu’à la côte.

La grisaille de Paris avait peu à peu laissé place au soleil de la ville natale de ma mère. Le tonnerre s’était anormalement fait entendre juste au moment où le prêtre avait commencé son discours.

***

Soudain, je sentis mon cœur résonner de plus en plus fort dans ma poitrine. J'eus l'impression qu’il se passait quelque chose sans en comprendre le sens. Mon cœur battait à sa vitesse normale mais résonnait dans ma tête en un bruit sourd et profond.

Pour prendre plus d’assurance, je m'éloignai du cortège afin de m’asseoir sur un banc de bois noir non loin de la cérémonie. Je pouvais tout de même voir les autres membres de ma famille, que je ne connaissais pas d’ailleurs, faire leurs derniers adieux.

Les discours étaient longs et ennuyeux. Je ne comprenais pas pourquoi les gens ici présents faisaient comme s’ils avaient toujours connu mes parents alors que je ne les avais jamais vus. Ma tante et mes cousines étaient le seul petit lien que ma mère avait gardé avec les siens.

Nous étions à la fin du mois de juin et la pluie tombait à grands flots, comme si le Seigneur en avait décidé ainsi.

Je ne pouvais accepter que mes parents m’aient abandonnée.« Les accidents n’arrivent jamais sans raison »,m’avait expliqué ma tante à mon arrivée. Cela devait arriver et il n’y avait aucun moyen de retourner en arrière.

Ma mère souhaitait être enterrée dans le caveau familial à Amary, petite ville du Sud-Est de la France dotée d'un peu moins de vingt mille habitants ;comparée à la grande ville de Paris je dus avouer que j’étais totalement dépaysée.

Malgré ses relations légèrement chaotiques avec sa jeune sœur, elle était la seule famille qui restait à ma mère ; mon père, quant à lui,était orphelin et aucun frère et sœur ne lui étaient connus à ce jour.

Les battements de mon cœur se firent de plus en plus sourds, de plus en plus forts…

En écoutant mieux à l’intérieur de moi, je pus sentir ces battements en double,j’avais la sensation d’être en possession de deux cœurs.

Quelque chose m’attirait et je ne savais pas ce qu’il en était. Je tournai un peu la tête vers la droite pour apercevoir un jeune homme qui courait dans l’allée, il ralentit le pas et me dévisagea.

Mon cœur continuait à résonner dans ma poitrine. Le garçon était d’une beauté presque inhumaine. Mon regard se perdit dans le sien sans qu’il arrête de courir, et sans que j’aie pu en connaître les raisons,j’eus la sensation qu’il me disait quelque chose.

Le magnétisme fut tellement fort que je ne pus empêcher un sursaut d’envie me parcourir le corps. La curiosité m’anima soudain avec une imperceptible volonté de me diriger vers lui. Je me voyais déjà lui tendre la main.

— Léna ?Léna, ça va ?

Je repris peu à peu conscience de l’endroit et de la situation dans laquelle je me trouvais. Je hochai doucement la tête et ma jeune cousine, Jamie, me prit dans ses bras.

— Tu verras ma belle, ça va aller…

Mes yeux s'emplirent de larmes que je m’empressai encore de refouler et la serrai plus fort contre moi.

— Ça va aller… répéta-t-elle.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode