Commentaires de livres faits par babou0343
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Commentaires de livres appréciés par babou0343
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- Je suis désolé, déclare-t-il, la cafetière est quelque part dans une de ces caisses. Je n'ai que de l'instantané à vous proposer.
- Ce sera parfait.
Je déteste le café."
- Il n'y a pas d'eau ici, me dit-elle en me tendant un verre.
J'avale une gorgée avec une grimace. C'est sucré, mais avec un arrière-goût piquant d'essence.
- C'est quoi ?
- Qui sait ? répond-elle en gloussant avant de boire à nouveau.
Peut-être n'est-elle pas non plus très à l'aise, après tout...
- Ça t'aidera à te détendre, ajoute t-elle.
- Je n'ai pas besoin de...
Je m'interromps aussitôt, sentant des mains sur ma taille. Le vide se fait dans mon esprit et je me retourne sans l'avoir décidé.
- Salut, me dit Steve
Le temps que j'intègre sa présence, en chair et en os, il se penche déjà et pose ses lèvres sur les miennes. Ce n'est que mon second baiser et je connais un moment de panique, de peur d'avoir oublié comment faire. Il introduit sa langue dans ma bouche et je sursaute, surprise, renversant un peu de ma boisson. Il s'écarte, hilare.
- Heureuse de me voir ? demande -t-il.
- Euh...salut !
C'était un serment. Quoi qu'il advienne, quoi que Jason pense de son incapacité à forger des liens durables, il était sien, et elle lutterait pour le retenir. Ils avaient besoin l'un de l'autre, elle et son ange aux ailes de nuit.
- Tu es merveilleux. Ses défenses s'enflammèrent.
- Mahiya, ne vois pas en moi plus qu'il n'y a.
Elle inclina légèrement la tête sur le côté.
- Peut-être suis-je la fille de ma mère après tout - je t'ai choisi, Jason. Et si c'est un choix stupide, c'en est aussi un que je ne regretterai jamais.
Il referma sa main sur le poignet de la jeune femme alors qu'elle allait se détourner, et la retint. Au lieu de se débattre, elle s'immobilisa, ses yeux brillant d'une détermination sans faille et d'une autre émotion bien plus dangereuse.
- Je ne peux pas te donner ce que tu veux, répéta-t-il.
[…]
- Ai-je exigé quoi que ce soit ? (Elle leva la main et vint effleurer la joue de Jason.) J'ai tant d'amour en moi, Jason. Tant. Et je n'ai jamais pu en faire bénéficier quiconque. Personne n'en voulait. Laisse-moi étirer les ailes de mon cœur vers toi.
- Cela sera-t-il suffisant d'aimer et de ne pas l'être en retour ? demanda-t-il, sachant que la question était brutale.
Son sourire se fit encore plus lumineux.
- Tu n'as pas idée de ce que tu me donnes.
Incapable de se lier, d'ouvrir son cœur, d'en confier la clé à qui que ce soit. Le souffle de Mahiya glissa sur ses lèvres alors qu'elle maintenait sa position.
- Je sais. (Des mots doux.) Je sais aussi que j'aimerais me donner à un homme fort qui ne cherche pas à me séduire avec des mensonges, qui est franc dans son désir.
Il la vit déglutir, sut qu'elle n'était pas aussi confiante qu'elle voulait le faire croire.
- Sois sûre de toi. Tu ne pourras jamais revenir en arrière.
Et il ne souillerait pas une innocence avec sa noirceur, ne la rendrait pas amère à cause de ce vide en lui. Les lèvres de la princesse effleurèrent les siennes.
- Qu'est-ce qui vous donne le droit de porter un jugement sur moi? demanda-t-elle, furieuse qu'on puisse l'imaginer capable de renoncer à un but qu'elle s'était fixé.
- J'arrive très bien à analyser les préférences et les capacités sexuelles des gens. Tu as passé tellement de temps à la place du conducteur que je ne te vois pas prête à changer de siège pour devenir simple passagère. A toi cependant de me prouver que j'ai tort, n'est-ce pas?
- Tout à fait, dit-elle rageusement.
(...)
Le blond à côté de Lucie la souleva par la taille et la fit tournoyer avant de claquer un baiser retentissant sur ses lèvres.
Lucie n'eut pas un battement de cils.
Sachant que sa réaction était déplacée, pour ne pas dire ridicule, Reid traversa la salle, jouant de sa carrure pour se frayer un passage parmi les clients. Lucie, qui lui tournait le dos, ne le vit pas approcher, mais Vanessa sourit de toutes ses dents quand elle l'aperçut.
- Salut, Reid ! Tu arrives à temps pour fêter notre première victoire de la soirée.
Lucie mit cinq bonnes secondes à se retourner. Il avait vu ses épaules se raidir dès que Vanessa avait prononcé son nom.
( ... )
- Reid. Qu'est-ce que tu fais là ?
( ... )
Reid se pencha vers Lucie et, de façon à n'être entendu que d'elle, lui dit :
- J'ai pensé que tu cherchais peut-être à m'éviter parce que tu avais le trac, mais maintenant que j'ai vu ce blondinet t'embrasser, je comprends mieux ce qui te retient ici.
( ... )
Il la prit par la main et l'entraîna à travers la salle jusqu'au recoin où se trouvait un téléphone mural.
- Je suis désolé, Lu. Je me conduis comme un imbécile. si ça marche entre ce garçon et toi, ça ne me regarde pas, fit-il en se passant la main dans les cheveux. Tant mieux pour toi, je veux dire.
- La vérité, McKenzie, c'est que je ferais n'importe quoi pour toi mais que tu ne me demandes rien. Tu refuses de te confier, de compter sur moi. Tu es tellement occupée à essayer de déterminer si tu peux te fier à tes sentiments que tu n'envisages pas un instant de t'y abandonner.
[...]
Aren me regarde. Il doit se rendre compte que j'ai compris, car il dit :
- Je ne suis pas lui. Je ne ferai pas semblant de ne pas avoir de sentiments pour toi.
- D'accord ! obtempéra-t-il docilement.
Sytry retira sa main de mes hanches et d'un geste précis, retroussa entièrement ma jupe et passa ses doigts sur ma cuisse mise à nu.
- Mais ! Pas de cette façon ! le grondai-je.
- Comment, alors ? Comme ça ?
Son autre main fit glisser ma bretelle et pétrit mon épaule.
- Ou comme ça ?
Soudain, ses lèvres se posèrent sur ma bouche et, avant même de comprendre ce qu'il m'arrivait, sa langue dansait le tango avec la mienne. Ses doigts pianotèrent sur ma clavicule et descendirent sur mon sein pour caresser sa pointe à travers l'étoffe.
- Vous en avez mis du temps ! Qu'est-ce que vous faisiez tous les deux ? lança-t-elle.
- Euh, eh bien en fait, euh...
Mon Dieu, Tamara n'avait aucun talent pour le mensonge.
- J'ai administré un massage de la nuque et des épaules à Tamara pour la soulager de sa migraine, expliqua tranquillement Elec en se rasseyant à côté de Nikki.
- Oui, je me sens beaucoup mieux, enchaîna Tamara en s'asseyant à son tour, sentant ses joues s'empourprer sous le regard inquisiteur de Suzanne.
- Tu peux me passer la bouteille de vin ? demanda Nikki à Elec. Je voudrais savoir combien de colories il y a là-dedans.
- Bien sûr.
Nikki plissa le nez au-dessus de la main d'Elec qui lui tendait la bouteille.
- Tu sens comme les ballons. tu sens le... comment ça s'appelle, ce truc avec lequel on fabrique les ballons ?
- Latex, lui rappela Ty avec un sourire contenu.
- Voilà, c'est ça. Tu sens le latex. Comment ça se fait ?
Tamara se sentit plus morte que vive.
- Elec est un adepte du massage protégé, intervint Ryder.
- Oh, fit Nikki avant de froncer les sourcils.
- Tu veux bien me passer la pelle à tarte qui est à côté de toi, s'il te plaît, Elec ? lança Suzanne.
(...)
- Tiens, Suzanne, dit Elec en lui tendant la pelle à tarte.
- Tu t'es lavé les mains ? demanda Ty. Un ange passa.
- Oui, assura Elec en fusillant Ty du regard.
- Parce que tu vois, je me disais qu'il valait peut-être mieux que tu évites de toucher aux couverts de service...
Suzanne lâcha la pelle à tarte, tendit le bras et attrapa le couteau propre à côté de l'assiette de salade de Nikki.
- Mais maintenant, toi aussi, tu as touché la pelle à tarte, lui fit remarquer Ryder.
Suzanne se tourna vers lui, souleva le plat à tarte d'une main... et l'écrasa sur le visage de Ryder.
- C'est la dernière tarte que tu recevras de ma part, déclara-t-elle d'un ton rempli de satisfactio
Elle baisse la chemise, espérant qu'ils vont s'endormir. Elle est fatiguée, elle aussi.
Bradwell se tourne. Elle a envie d'être près de lui et d'avoir chaud. Elle dort sur une paillasse à même le sol, mais c'est froid.
( ... )
Elle se couche à côté de Bradwell, se glisse ous la couverture, lève le bras pesant du garçon, et le pose pardessus son épaule.
Elle sent son souffle chaud sur son oreille.
Des amis loyaux. C'est ce qu'ils sont ( des amis ) et c'est la raison pour laquelle ça va. S'il y avait plus entre eux, elle y mettrait fin d'elle-même. Elle aime la sensation de son souffle dans sa nuque.
Puis elle entend sa voix. " Tu essaies d'abuser de moi ? "
Elle se redresse et sort précipitamment du lit.
" Bradwell ! "
Les yeux de ce dernier sont ouverts. " Je suis affaibli, tu sais. " Il sourit. " Tu ne devrais pas tenter de profiter de quelqu'un en de telles circonstances.
- J'étais frigorifiée ! se défend-elle en croisant frileusement les bras. C'est tout.
- C'est bien vrai ? " Il a les prunelles qui pétillent.
" Tu es éveillé. Tout à fait éveillé."
Il hoche le front. " Plus ou moins.
- Je suis heureuse de te voir de retour. " Et elle l'est.
Son bonheur lui donne une sensation de vertige. " Tu es réellement de retour !
- Je ne suis jamais parti.
- Tu m'as sauvée, là-bas.
- Tu m'as sauvé, ici."
Il avait fait le ménage dans sa chambre, et pas qu’à moitié : tout avait été rangé, le lit fait, l’aspirateur passé. À moins que…
- Qu’est-ce que tu as proposé à Ève, en échange ?
Il joua l’innocence blessée avec beaucoup trop d’insistance.
- Comment ça ?
- Oh, allez, Shane ! Tu as chargé Ève de nettoyer ta chambre.
Avec un soupir, il avoua :
- D’accord… Elle avait besoin d’argent, alors je lui ai proposé un marché. Mais c’est chouette, non ? Et j’ai eu l’idée tout seul ! Ça t’impressionne, non ?
Elle se retint d’éclater de rire.
- Oui, je suis très impressionnée qu’un garçon ait pensé à dépenser de l’argent pour avoir une chambre propre.
- Ça vaut le coup, si tu es impressionnée ! conclut-il en s’affalant sur son lit.
- Écoute-moi bien, bambina. (Merde, on aurait dit qu'il grognait) Je te veux. Maintenant. dans ta chambre. Par terre. Contre le mur. Dans le couloir. N'importe comment. N'importe où. N'importe quand. C'est clair?
Les yeux de diamant s'écarquillèrent.
- Mais alors, pourquoi ne pas...
- D'abord, parce que ton frère est juste là, dehors, dans le couloir. Ensuite, parce que tu m'as dit ne jamais avoir connu personne. Ce n'est pas mon cas. Je sais exactement où tout ça pourrait nous mener, et je ne veux pas te faire peur en allant trop vite.
Elle le fixa intensément après un moment, les lèvres roses se détendirent dans un sourire si large qu'une petite fossette apparut sur sa joue, ainsi que des dents blanches et parfaites, luisantes... Seigneur... Ses canines s'étaient allongées. De beaucoup. Et elle étaient vraiment vraiment très pointues.
Manny ne put s'en empêcher. Il s'imagina aussitôt les sensations que lui procureraient ces petites pointes blanches en mordillant son sexe.
Il gémit et se cambra, tandis que son orgasme montait encore.
Et encore, c'était avant que la langue rose de Souffhrance vienne titiller les pointes de ses longues canines.
- Tu aimes?
Manny dut respirer une fois ou deux avant de retrouver sa voix.
- Ouais. Bordel. Ouais.
Soudain, les lumières s'éteignirent et la pièce sombra dans une obscurité accueillante."
Elle n’a pas envie de se lancer dans une discussion sur l’effet qu’il a sur elle et apparemment lui non plus. Il dégage ses cheveux de son cou avant d’y apposer ses lèvres. Il couvre sa gorge de baisers en même temps que sa main glisse sur l’une de ses cuisses. Ses intentions sont plutôt claires et dans son état, Victoria n’arrive pas à réfléchir. Quand il l’attire sur le canapé en cuir, elle ne résiste pas. Il verrouille la porte avant de déboutonner sa chemise. C’est la première fois qu’elle le voit torse nu et cette vision augmente son désir. Il ne perd pas de temps et s’allonge entre ses cuisses en même temps qu’il ouvre son pantalon. L’instant suivant, il repousse le tissu encombrant pour enfouir son membre en elle.
Aveuglé par la rage, il l'agrippa par les bras, la pressa contre lui, et l'embrassa. Cette étreinte n'avait rien de tendre. Elle servait simplement à gommer toute trace de l'autre mâle. À afficher sa domination comme le gros dur qu'il était. À s'assurer que leurs contacts intimes ne découlaient que de la colère ou de la soif de sexe, parce qu'il ne pouvait pas se permettre de ramollir.
Mais Sin n'étais pas du genre à se laisser faire. Elle poussa un cri indigné et lui écrasa le pied avant de tambouriner contre son torse.
Puis, elle lui mordit la lèvre assez fort pour le faire saigner. Lorsque le sang goutta sur sa langue, elle fit un pas en arrière, mais le mélange incisif de plaisir et de douleur excita Connall. Il s'immiscça dans sa bouche, et la caressa, la lécha, la força à le goûter.
Soudain, elle cessa de se débattre. C'était inutile. Elle lui planta la pointe acérée d'une lame dans l'aine, et il se figea comme une statue de glace.
- Embrasse-moi encore une fois sans ma permission, murmura-t-elle contre ses lèvres, et je t'arracherai les couilles pour les revendre à un boucher ruthanien. C'est leur spécialité. Pigé?
- Tu n'en feras rien, chuchota-t-il en retour. Elles te manqueraient trop.
Sin poussa un grognement agacé et rangea l'arme dans sa poche avant de reculer.
- C'est fou ce que les hommes surestiment la valeur de leur appareil génital."
Je ne le laissai pas terminer et lui sautai littéralement dessus, ma bouche capturant la sienne avant qu'il ait le temps de formuler son rejet. J'eus la satisfaction de lui couper le souffle et la parole d'un seul geste. Ses lèvres s'entrouvrirent de surprise, et je n'attendis pas d'autre invitation. Je saisis sa tête à deux mains. Il était tout en retenue, pourtant il était sur le point de rompre. Oh, il en avait envie. Il en avait bien plus envie que moi. Il frissonna lorsqu'une de mes mains descendit lentement, caressant sa joue, puis son cou. Je sentis la digue lâcher, et il s'abandonna. Je l'avais gagné. Il me rendit bientôt un baiser fiévreux, ses bras enroulés férocement autour de mes hanches pour me maintenir au plus près de lui. C'était ce qu'il voulait. Je l'embrassais, et j'en avais envie. Rien que parce qu'il ne s'y attendait pas.
— Tiago, murmura-t-elle.
Ses lèvres et ses cuisses tremblaient. Elle essaya de prendre une goulée d'air.
Il se dressa au-dessus d'elle, un colosse à la peau de bronze qui éclipsait la lumière du jour.
— Tu es tellement belle, souffla-t-il contre sa bouche tremblante. Je pourrais te manger. Je veux goûter chaque partie de ton corps. Je veux te déguster toute la journée. Mais je sais qu'il faut que nous nous rendions à cette réunion.
Quelle réunion ?
Sa bouche s'accrochait à la sienne et ses jambes s'enroulaient autour de lui. Elles voulaient le ceinturer avec ses cuisses pour qu'il aligne son membre rigide contre l'ouverture frémissante de son fourreau. Elle enfonça ses ongles dans sa nuque et il se cambra contre elle avec un rire tremblant qui envoya son souffle humide et chaud sur ses lèvres.
- Pardon ?!
- Combien ? réitéra-t-elle seulement.
- Seriez-vous en train de me proposer de l'argent pour que... je vous laisse le "champ libre" ? demandai-je d'une voix blanche de fureur contenue.
J'hallucinais !
-Oh mais c'est qu'elle comprend vite... Mille euros, cela vous suffit ? Jolie somme pour aller respirer l'air ailleurs, non ?
Je n'avais absolument pas prévu le geste qui allait suivre, cela relevait uniquement du réflexe, comme ces actions que l'on réalise sans réellement y penser.
Ma délicieuse boisson aux agrumes se retrouva la seconde suivante à dégouliner sur le visage de l'ancienne petite amie de Lucas. Embaumant l'air de son parfum fruité et sucré, pour ma plus grande satisfaction personnelle. Je jubilai férocement de contempler sa mimique choquée, horrifiée et indubitablement poisseuse. Joyce était hors d'elle... manque de bol : moi aussi.
- Je ne sais pas pour qui vous me prenez, crachai-je les dents serrées, mais agitez-moi encore votre fichu argent avec ce genre de chantage digne d'une série télévisée... je vous jure que je vous l'enfonce dans le gosier !
- Mais que se passe-t-il, ici ?!
Mon regard rencontra celui abasourdi de Lucas et, pour unique réponse, je pinçai vivement mes lèvres l'une contre l'autre.
- Il me semblait pourtant que l'endroit bénéficiait d'une climatisation performante...
Je saisis violemment mon sac à main.
- ... mais se rafraîchir au jus de fruits, c'est bien aussi... termina-t-il dans un souffle.