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Maxime Gorki

Auteur

92 lecteurs

Activité et points forts

ajouté par xmanoux 2010-11-14T15:11:53+01:00

Biographie

Alekseï Maksimovitch Pechkov (en russe : Алексей Максимович Пешков), né le 16 mars/28 mars? 1868 à Nijni Novgorod et mort le 18 juin 1936[1] à Moscou, plus connu sous le pseudonyme de Maxime Gorki – parfois orthographié Gorky – (Максим Горький), est un écrivain russe soviétique considéré comme un des fondateurs du réalisme socialiste en littérature et un homme engagé politiquement et intellectuellement aux côtés des révolutionnaires bolcheviques. (Maxime était le prénom de son père et gorki est un mot russe signifiant « amer »).

Enfant pauvre et autodidacte, formé par les difficultés et les errances de sa jeunesse, passé par le journalisme, il devient un écrivain célèbre dès ses débuts littéraires. Auteur de nouvelles pittoresques mettant en scène les misérables de Russie profonde (Essais et Histoires, 1898), de pièces de théâtre dénonciatrices comme Les Bas-fonds en 1902 ou de romans socialement engagés comme La Mère, publié en 1907, il racontera aussi sa vie dans une trilogie autobiographique : Enfance/ Ma vie d'enfant (1914), En gagnant mon pain (1915-1916), Mes universités (1923).

Dès ses débuts littéraires, Gorki partage l'idéal des partis progressistes et se lie avec les bolcheviques et avec Lénine. Plusieurs fois emprisonné pour ses prises de position, en particulier lors de la révolution avortée de 1905, il quitte la Russie et voyage aux États-Unis pour collecter des fonds pour le mouvement bolchevique. À son retour en 1906, il doit s'exiler à Capri pour des raisons à la fois médicales et policières.

Rentré en Russie à la suite d'une amnistie en 1913, Maxime Gorki est proche de Lénine et des révolutionnaires mais formule des critiques dès novembre 1917 qui lui valent les menaces du pouvoir : inquiet et malade de la tuberculose, il quitte la Russie en octobre 1921 et se fixe de nouveau dans le sud de l'Italie en 1924.

Encouragé par Staline, il revoyage en URSS en 1929 et s'y réinstalle définitivement en 1932 : il devient un membre éminent de la « nomenklatura » soviétique et participe à la propagande du régime qui l'honore mais le surveille en même temps. Il meurt en juin 1936 dans des circonstances qui ont prêté au soupçon, mais ses funérailles nationales l'établissent comme l'écrivain soviétique exemplaire qu'immortaliseront écrits et statues.

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Note moyenne : 7.4/10
Nombre d'évaluations : 20

0 Citations 10 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Maxime Gorki

Sortie France/Français : 2021-01-12

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par sha-w 2011-10-16T15:25:20+02:00
Enfance

C'est un livre que j'ai lu en troisième et j'ai beaucoup aimé. Tout le long du livre, on suit Gorki qui vit dans la misère, ça m'a beaucoup marqué. Bref, c'est un livre que je conseille à ceux qui s'intéresse à la Russie pauvre. Ou la Russie tout simplement.

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Commentaire ajouté par chrislaeti 2011-11-10T16:06:53+01:00
Enfance

Terrible récit autobiographique dans la Russie de la seconde moitié du XIXe siècle, d'un réalisme bouleversant. Un monument de la littérature mondiale.

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Commentaire ajouté par pilou62200 2014-12-07T08:50:42+01:00
Mon compagnon

C'est difficile de noter un tel livre, car son approche dépend réellement du niveau que l'on peu avoir en russe.

Bien que parlant correctement, j'ai pioché un peu sur le livre, et je ne l'ai pas lu totalement, car je n'ai pas le niveau.

L'histoire est basé sur la rencontre improbable de deux personnages très différents. Ne l'ayant pas lu complètement, je m'est également difficile d'émettre un avis sur l'histoire.

Cependant, c'est le type de livre qui permet grâce à sa traduction (une page russe, une page française) de lire et d'apprendre le russe.

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Commentaire ajouté par Ellia 2015-04-08T19:02:45+02:00
Les Vagabonds

Premier livre que je parcours de cet auteur russe. Le livre est ponctué de 3 nouvelles ayant pour même thème : les vagabonds.

À mon grand regret, je trouve que l'auteur n'a pas assez exploité ce thème car on aurait vraiment pu accentuer le thème du voyage et de la liberté. Au lieu de cela, on a droit à des petites querelles sans véritable intérêt entre les personnages.

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Commentaire ajouté par Zelina 2019-01-15T19:10:13+01:00
Contes d'Italie

Difficile de résumer ces "contes" qui, loin d'être des contes de fée, sont plutôt des nouvelles avec, pour thème, la vie moderne des gens. Qu'est-ce qui les rassemble ? Difficile à dire. Peut-être la modernité, le caractère social (des histoires sur la grève ou le socialisme), la problématique du "monstre", le motif familial voire maternel...

Une écriture intéressante, même si ce n'est pas forcément le type d'histoire que j'aime lire.

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Commentaire ajouté par boby62210 2019-03-29T14:09:29+01:00
La Mère

Un livre qui m'a profondément touché et que j'ai lu et relu je ne sais combien de fois.

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Commentaire ajouté par Alahelo 2019-10-19T17:53:43+02:00
La Mère

À ma plus grande surprise, j'ai passé un bon moment avec ce livre !

Je l'ai écouté en audiobook et je crois que c'est ce qui a rendu ma lecture aussi bonne (je vous recommande vivement de l'écouter, ça passe tout seul et c'est d'autant plus poignant). Le gros point fort pour moi c'est les personnages et leurs dialogues. La mère est terriblement attachante (elle m'a tiré les larmes plus d'une fois). L'histoire est prenante et bouleversante. Il y a quelques petites choses qui me manquent à la fin Spoiler(cliquez pour révéler)j'ai adoré le personnage d'André et j'ai trouvé que, plus on avançait dans le roman, plus il était mis de côté. De plus, je ne suis pas entièrement satisfaite de la fin, même si, en effet, je trouve qu'elle a un impact très fort, ce qui devait être voulu, j'imagine , mais ça reste une très bonne découverte malgré tout !

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Commentaire ajouté par RMarMat 2020-03-01T19:26:16+01:00
Enfance

« Enfance », premier volet de cette trilogie autobiographique (Enfance, En gagnant mon pain et Mes universités), nous conte le premier âge d’Alekseï Maksimovitch Pechkov alias Gorki dans un style simple, souvent cru, froid, avec parfois quelques lueurs poétiques. Quel âge a-t-il dans ce roman ? 5/6 ans tout au plus , je suppose ? 8 ou 12 ans à la fin du livre lors de la mort de sa mère. Mais déjà l’innocence de l’enfant s’efface dans une spirale exacerbée de malheurs, de tristesses, de misères et de brutalités.

Lire ce livre m’a confronté directement avec la réalité de la Russie du 19ème siècle. Un peuple de miséreux soumis aux préceptes de la religion orthodoxe, à peine éduqué et tellement ignorant que les violences sociales et domestiques leurs semblent aussi nécessaires et naturelles que de faire chauffer le samovar pour le thé ! Spoiler(cliquez pour révéler)« Plus tard, j'ai compris que les Russes, dont la vie est morne et misérable, trouvent dans leurs chagrins une distraction. Comme des enfants, ils jouent avec leurs malheurs dont ils n'éprouvent aucune honte. Dans la monotonie de la vie quotidienne, le malheur lui-même est une fête et l'incendie un divertissement. Sur un visage insignifiant, même une égratignure semble un ornement. »

Ce qui m’a le plus frappé dans l’écriture, dans la narration de Gorki, c’est la sobriété des phrases ; le naturel des situations, voir même une certaine naïveté dans la violence omniprésente subit durant cette période. L’écrivain devenu n’a pas de ressentiment, pas de jugement, pas de reproche envers sa famille. Son enfance fut ainsi ! Elle a fait ce qu’il est devenu. Alors cette vie, le lecteur doit également l’accepter et poursuivre une lecture, phrase après phrase, coup après coup, sans aucune considération philosophique, en tentant de comprendre cette résilience. Spoiler(cliquez pour révéler)« ce qui étonne chez nous, , ce n'est pas tant cette fange si grasse et si féconde, mais le fait qu' à travers elle germe malgré tout quelque chose de clair, de sain et de créateur, quelque chose de généreux et de bon qui fait naître l' espérance invincible d'une vie plus belle et plus humaine. »

Y’a-t-il de la joie, de l’amour, une vie heureuse à percevoir dans ce livre. Oui, sûrement ? Les premiers souvenirs que nous confit Groki sur son histoire sont à Nijni-Novgorod chez ses grands-parents maternelles alors que l’on enterre son père et que sa mère semble l’abandonner. C’est dans ce vase clos qu’Alekseï fait l’apprentissage de la misère, de la haine, de la cupidité, de la cruauté. Il y a d’abord le grand-père, un homme tyrannique, violent, paradoxalement dévot aux icônes. Alekseï ne l’aime pas ! C’est pourtant avec lui qu’il apprendra à lire les psaumes et à écrire. Autre exemple d’une certaine affection, ce grand-père l’aidera à aménager un refuge dans un coin du jardin. Puis il y a ses deux oncles, belliqueux, faignants, alcooliques, réclamant leur part d’héritage, jaloux de leur sœur Varvara. Par eux, semble sombrer peu à peu l’ensemble de cette famille. Ainsi grandit Alekseï en subissant la désespérance de ses grands-parents, la férocité et la convoitise de ses oncles, et l'instabilité de sa mère. Il y a aussi quelques autres êtres comme Grigori, Ivan, Bonne-affaire, le père Piotr, tant d’autres « ombres » ; mais elles aussi s’évanouissent de la vie de l’enfant sans qu’il semble s’en émouvoir ! Heureusement, il y a la grand-mère, une femme superstitieuse mais tellement généreuse, affectueuse et formidable pour l’enfant. Elle sera pour lui la douceur incarnée dans ce monde de brute. Même si elle aussi, fait subir ses accès de colère et de méchanceté à Alekseï. Les contes, les légendes russes et les poésies populaires qu’elle lui raconte à volonté, vont adoucir les blessures de l’enfant. A travers ses histoire, elle guide cette « petite âme bleu » comme elle l’appelle, vers la lumière, vers la liberté d’esprit, pour survivre à cette vie terne et triste. Elle lui parle d‘un Dieu aimant, ami de la création. Elle lui raconte la vie de son père. Aussi grâce à l'amour de cette grand-mère, il ne se laissera pas dérouter par la folie qui l'entoure : Spoiler(cliquez pour révéler)« Avant de la connaître, j'avais comme sommeillé dans les ténèbres ; mais elle parut, me réveilla et me guida vers la lumière. Elle lia d'un fil continu tout ce qui m'entourait, en fit une broderie multicolore et tout de suite devint mon amie à jamais, l'être le plus proche de mon cœur, le plus compréhensible et le plus cher. Son amour désintéressé du monde m'enrichit et m'insuffla une force invincible pour les jours difficiles. »

J’ai apprécié la lecture de ce livre . Pas sur pourtant qu’un jour je lise la suite de cette autobiographie, même si j’ai une certaine curiosité à découvrir comment cette enfant a pu devenir l’écrivain et l’homme que l’on connaît aujourd’hui.

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Commentaire ajouté par Pompon 2020-06-28T18:47:52+02:00
Les Estivants

Une fois n'est pas coutume: c'est une représentation théâtrale qui m'a donné envie de me lancer dans la lecture de cette pièce de Gorki et, par la même occasion, de découvrir cet auteur. J'avais adoré le spectacle, remarquablement mis en scène et interprété, et je pensais retrouver le même enthousiasme dans "Les Estivants", version papier.

Malheureusement, je me suis plutôt ennuyée pendant ma lecture. Les personnages m'ont paru plus fades qu'ils ne l'étaient sur scène; le rythme, déjà étiré dans le spectacle, m'a paru encore plus lent. Ces comparaisons m'ont accompagnée tout au long de mon séjour dans la datcha russe, et sont, je pense, grandement responsables de mon appréciation sur la pièce.

Toujours est-il que je salue le propos de la pièce qui, historiquement, est passionnant. Les "estivants" sont des bourgeois russes qui conversent d'amour et de politique, s'ennuient, demeurent oisifs. Certains personnages apparaissent comme des "types", que ce soit Maria Lvovna, l'intellectuelle engagée, pas encore bolchévique mais résolument démocrate (la pièce a été rédigée en 1904, un an avant la révolution de 1905 et la création de la Douma, le "parlement" auquel a consenti le tsar) ou Vlas, jeune homme léthargique qui se laisse influencer par l'amour et donc par la politique. La pièce laisse même entrapercevoir l'amertume de Gorki: amertume artistique de celui qui n'a pas été Tchekhov; amertume politique de celui qui sera, malgré lui, le serviteur de Staline quelques années plus tard.

Prise dans un contexte politique, "Les Estivants" s'avère être une pièce passionnante. Mais même en prenant en compte ces considérations historiques, ma lecture demeure décevante car conditionnée par des attentes trop élevées.

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Dédicaces de Maxime Gorki
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Editeurs

Gallimard : 2 livres

Les Solitaires Intempestifs : 2 livres

le temps des cerises : 2 livres

LGF - Le Livre de Poche : 2 livres

Les Éditeurs français réunis : 2 livres

L'avant-scène théâtre : 1 livre

Calmann-Lévy : 1 livre

Grasset : 1 livre

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