Amanda Filipacchi
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Note moyenne : 8.8/10Nombre d'évaluations : 5
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J'ai mis un peu de temps à rentrée dedant , et après c'était un peu les montagnes russes. A un moment on est aspirrer dans le livre mais a d'autre moment je décroche. Finalement un bon livre.
Afficher en entierMerci à Babelio et aux éditions XO de m’avoir fait découvrir ce roman qui change de ce que j’ai l’habitude de lire !
Lorsque l’histoire commence, une psy attend sa patiente. Arrive une femme obèse, les cheveux gris alors qu’elle dit n’avoir que 28 ans. La psy lui demande ce qu’elle vient faire ici, la patiente, Barbara explique qu’il s’agit de la dernière volonté de sa mère. Mais non, sa mère est toujours vivante et elle souhaite en réalité que sa fille s’occupe de son apparence. La psy explique qu’il n’y a aucun problème, qu’elle pourra l’aider à se trouver jolie, etc. Mais Barbara répond qu’elle se trouve jolie, pas de soucis. La psy lui dit que si elle s’impose ces tenues peu jolies, c’est qu’elle essaye sûrement de se punir car au fond, inconsciemment, elle ne se trouve pas jolie. Barbara insiste à son tour, elle se lève, enlève perruque, fausses dents, lentilles et fausse graisse pour dévoiler une superbe mannequin ! Et elle annonce qu’au contraire elle, et tout le monde, la trouve trop jolie.
Par la suite on comprend pourquoi elle joue ce petit jeu-là (un de ses amis s’est suicidé car il savait qu’elle ne l’aimerait jamais) et on découvre sa bande d’amis tous plus farfelus les uns que les autres. Georgia est un écrivain un peu paranoïaque, Lily une musicienne de talent mais au pysique très ingrat, Pénélope a été enlevé quelques années auparavant et en est restée traumatisée. Depuis, elle tente de vendre des poteries hideuses, et Jack, le flic qui lui a sauvé la vie, est resté handicapé et s’occupe de petits vieux dans une maison de retraite. Et puis, il y a Peter, un présentateur de journaux télévisés qui a trouvé l’ordinateur de Georgia et est tombé amoureux de Barbara dont il connaît le secret. Ajoutez à tout cela les lettres du mort qui les prévient que l’un des membres du groupe est un meurtrier et qu’il souhaite tuer l’homme dont Lily est amoureuse et qui l’ignore totalement et un portier totalement fou qui insulte Barbara à chaque fois qu’elle passe !
Ce roman est donc totalement farfelu, très drôle, mais d’une façon parfois détournée il aborde des sujets importants, mentionnés dans le titre : l’importance de la beauté. Entre Lily qui essaye de paraître belle aux yeux de son amoureux et Barbara qui souhaite trouver un homme qui l’aimerait pour elle sans savoir qu’elle est belle en réalité, les questions posées sont pertinentes et traitées de façon originale et très sympa !
J’ai passé un très bon moment avec ce roman, même si en racontant des passages, on m’a souvent pris pour une folle (avez-vous même compris mon résumé ? ^^)
à essayer, surtout si vous voulez passer un bon moment !
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Biographie
Amanda Filipacchi est la fille du patron de presse Daniel Filipacchi et d'un mannequin1. Elle commence à écrire des nouvelles en anglais à l’âge de treize ans dans un cours de « creative writing » à l'École américaine de Paris (à Saint-Cloud), où elle restera un an, avant de continuer ses études au Lycée international de Saint-Germain-en-Laye.
À l'âge de dix-sept ans, elle quitte la France pour rejoindre New York où elle suit des études d'écriture créative2 au Hamilton College, où elle est licenciée en lettres avec une année d’avance. En 1990, Amanda s’inscrit à l'Université Columbia pour obtenir un "Master of Fine Arts" en écriture créative. Elle commence à travailler sur un roman, L'Homme déshabillé (Nude Men). L'une de ses professeurs - également rédactrice dans le magazine The New Yorker - Alice Quinn, la recommande auprès de l'agent littéraire Melanie Jackson.
En 1992, Amanda a vingt-quatre ans et n’est pas encore diplômée, quand son agent vend L'Homme déshabillé à l'éditeur Nan Graham de Viking. Le roman est traduit dans treize langues et est bien accueilli par la critique aux États-Unis. Des extraits paraissent dans plusieurs anthologies, dont The Best American Humor 19943. Les romans suivants d'Amanda Filipacchi, Un nuage dans le placard4 et Love Creeps5, reçoivent également de bonnes critiques et sont traduits dans plusieurs langues.
Ses romans ont reçu des éloges dans la presse et de la part d'auteurs comme Bret Easton Ellis, Tama Janowitz, Edmund White, Dale Peck, Alain de Botton, Kathryn Harrison, et le réalisateur français Louis Malle. Le New York Times la décrit comme une "adorable comique surréaliste6", et The Independent compare son œuvre à celle de John Irving7, Nabokov, Muriel Spark, John Fante, Angela Carter, Lewis Carroll, Woody Allen et Ann Beattie. Dans The Village Voice, Love Creeps figurait parmi les 25 meilleurs livres de l’année.
Pour le cinéma, Tagline Pictures a pris une option sur L'Homme déshabillé, et Single Cell Pictures - la compagnie de production de Sandy Stern et Michael Stipe (de R.E.M.) - en a acquis une sur Love Creeps.
Elle vit à New York depuis l’âge de 17 ans.
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