Christian Cailleaux

J’ai été attirée par cette BD car elle est d’un de mes auteurs préférés. Même si j’ai moins accroché au scénario que pour ses romans, j’ai quand même apprécié l’intrigue. Les personnages me semblent un peu plus distants que d’ordinaire, mais c’est sans doute dû au support de la BD… En ce qui concerne le personnage principal de cette jeune femme (dont j’ai depuis oublié le nom), je trouve qu’elle a cette touche d’élégance et de force féminine que l’on retrouve souvent chez les jeunes femmes de Timothée de Fombelle (notamment Elisha dans Tobie Lolness, Ethel dans Vango). C’est une signature que j’apprécie beaucoup.

Un roman graphique sur les années parisiennes de Jacques Prévert, ses rencontres, le cinéma...

Une bande dessinée intéressante, un scénario qui se dévoile au fil des pages... Une atmosphère inquiétante...

C’est sympathique.

Rien de méga original dans cette histoire mais un dessin vif qui plonge bien dans l’ambiance, quelques mini-rebondissements et l’ambiance assez pesante fonctionne assez pour qu’on passe un bon moment.

Un tome intéressant, intrigant, mais encore une fois, et ça m'énerve, un tome qui vient en suite d'un autre, cette fois-ci avec deux tomes d'écart ! Il est donc la suite de l'Onde Septimus, mais rien ne l'indique dans le titre (comme partie 2 ou quoi), juste dans la liste des titres au dos.

En gros si on ne fait pas gaffe on se retrouve avec une histoire dont on ne connait pas les débuts, ce qui a été mon cas du coup. Ces mélanges et ces liens constants m'énervent un peu, comme s'il était impossible désormais de faire du Blake et Mortimer standalone, mais qu'il fallait toujours faire cinquante mille liens histoire d'être sûr qu'on ait acheté et lu tous les tomes.

Bonne idée cette série dans la continuité de ‚La marque jaune‘ qui nous replonge dans l’atmosphère des années 50.

Un BD mystérieuse qui nous délivre ses secrets au fil de la lecture.

• J'ai tout de suite été charmée par la couverture et les dessins digne d'un polar. Pourtant, j'ai vite déchantée. Je ne comprenais rien. Non, rien de rien (''non, je ne regrette rien''... Pardon, je m'égare, haha). Si bien que je pensais avoir un tome 2 en ma possession au lieu d'un one-shot. Finalement, au fil des pages, nous avons des réponses. À partir de là, j'ai pu continuer ma lecture plus sereinement. (Il n'y a pas de résumé sur la quatrième de couverture, et je n'avais pas fait de recherches Google avant de lire, ceci explique peut-être le pourquoi du comment...)

• C'est donc un récit dramatique, une recherche de consolation. Mais de qui, de quoi, pourquoi ? Telles sont les questions.

• En somme, je garderais un souvenir flou, mais tout de même positif de cette BD. Car malgré tout, elle se lit bien, rapidement, même si elle ne me laissera pas un souvenir permanent. Je pense la relire une deuxième fois, afin d'être sûre d'avoir tout bien compris.

Une mise en bd de la vie de Boris Vian. 
Oui bon, ça casse pas des briques et je pense que si on ne connait pas la vie de Vian de base, alors cette bd n'est pas complète. 
Une vie courte mais bien remplie que cette BD ne parvient pas, selon moi, à exprimer correctement ni entièrement.

Ce roman graphique est tiré d’un livre de Georges Simenon. Un très beau graphisme et une mise en couleur sobre donne de la profondeur à l’histoire. Le dessinateur a su nous faire voyager sur le Polarys et j’ai trouvé les dessins des personnages particulièrement très expressifs. Cependant concernant le scénario je l’ai trouvé un peu brouillon. L’intrigue est quand même prenante et l’histoire intéressante.

C'était intéressant ça partait sur une histoire mystérieuse au bord d'un bateau, un meurtre, une enquête, des suspects, une sorte de huit clos avec un arrêt à chaque nouvelle ville et... J'ai l'impression d'avoir loupé des chapitres. Comme s'il manquait des passages importants de l'histoire ? Je ne connaissais pas le roman original, peut être qu'il s'adressera mieux au personnes qui connaissent déjà l'histoire qui permettrait de compléter les trous ressenti dans cette adaptation ?

Un dessin au style marqué, avec de belles planches sur les vues paysages du Polarlys sur l'océan.