François-Henri Soulié
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Note moyenne : 6.54/10Nombre d'évaluations : 41
0 Citations 23 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
J’étais intéressée par ce livre vu le contexte mais je suis restée insensible. Dès le départ une demoiselle se donne à un inconnu. Puis on a le récit des violences et viols incestueux de l’une des heroines… on se serait passé de ces détails. Cela m’a rebuté.. certes l’époque n’est pas tendre mais c’était gratuit de le citer… j’ai fini par abandonner après le passage de l’archevêque qui prévoit de pousser à la luxure le jeune Raymon afin d’en profiter lui-même. A peine 152p et déjà je suis écœurée. Je suis allée vers la fin pour savoir qui était le tueur. Et pile aux dernières pages, la jeune heroine se donne à un ami prêtre. Là encore était-ce utile ? J’ai hésité mais à part le Parfum… c’est rare que je rejette un livre sans le lire entièrement. A réserver pour des adultes je pense.[spoiler][/spoiler]
Afficher en entierJ'ai adoré cette BD racontant le siège de Montauban en 1621. J'ai aimé retrouver certaines références de ma ville.
Afficher en entierJ'ai pris énormément de plaisir à découvrir ce livre. Tout est parfait, l'histoire, comme le style de l'auteur, fluide et précis à la fois.
On suit en parallèle 3 destins, dans 3 lieux différents. On découvre Maître Jordi de Cabestan, tailleur de pierre et imagier de grand talent, qui voit son équipe décimée par un meurtrier insaisissable et diabolique. Puis, Raimon de Termes, un jeune noble ambitieux, tout juste adoubé, qui va découvrir les turpitudes et malversations dont les grands de son monde sont capables. Et enfin Dame Alois de Malpas, convertie à la Foi Nouvelle, celle des Bons Hommes, qui devra faire face à la haine de la religion en place, cette dernière étant prête à tout pour éradiquer ce qu'elle considère comme une hérésie dangereuse inspirée par le démon. Tous trois vont finir par s'associer, afin de mettre un terme aux agissements du ou des assassins.
L'histoire se passe en l'an de grâce 1165, entre Carcassonne et Narbonne, région âpre et aride, où les plus pauvres ont bien du mal à survivre et sont en butte au mépris des puissants. Et où les hommes d'église ne sont pas aussi saints qu'on pourrait le penser... L'auteur n'hésite pas à utiliser des tournures de vieux français, de façon cohérente et sans alourdir le sens du récit, cela rend ainsi le récit plus authentique et immersif. L'histoire prend du temps à se mettre en place, le temps de faire plus ample connaissance avec les personnages principaux et leur entourage, et d'appréhender plus justement le contexte et les enjeux de l'époque.
Un roman policier médiéval passionnant et instructif!
Afficher en entierTout est présent pour nous faire vivre un bon moment lecture : les personnages sont attachants et reflètent différents ordres du Moyen-Âge, le contexte historique et politique renforce la tension déjà bien présente grâce à une intrigue prenante et le suspense est bien présent. Difficile donc de lâcher la lecture une fois commencée. Je ne peux que vous la conseiller ! Hâte de découvrir la suite avec Magnificat !
Afficher en entierFormidable roman médiéval dans le Sud Ouest de la France. Une enquête policière et une étude sociologique au pays des Cathares.
Afficher en entierUn sympathique polar qui nous introduit bien à ce que l'on a appelé l'hérésie cathare et qui plante bien le décors du sud-ouest de l'époque, incluant même, sous façon romancée, des personnages et des lieux historiques biens réels.
Afficher en entierIl y a des auteurs comme Eco, Follet, Falcones qui sont pour le moins incomparables tant leurs plumes sont un chef d’œuvre. Hors l'auteur d'Angelus et le livre sont promus comme étant du même talent que ces auteurs cité plus haut. Hors, soyons clairement honnête ! Ce n'est pas la cas du tout. J'aurais aimé qu'il en soi autrement ! Grand amoureux de la plume d'Eco ... En revanche, c'est indéniablement un bon livre bien écrit et bien documenté mais ce n'est pas du grand art littéraire non plus et ça, c'est relativement agaçant et un peu mensonger. Dans le but d'inciter à acheter et à lire.Quand je vois écris dans l'encart rouge (dans la même lignée que Umberto Eco), je me suis dit comme c'est mon genre littéraire, que j'allais le lire. Ce que j'ai fait mais une fois la dernière page tournée, j'ai été déçu car la promesse n'est pas là. J'aurais assurément mis une meilleure note sans tout ce chichi mais juger un livre c'est aussi juger un ensemble et pas seulement son contenu. A mon sens ! Mais j'ai passé un délicieux moment. Hâte de plonger dans le tome suivant !
Afficher en entierUn deuxième tome qui m'a un peu moins convaincu que le premier. L'histoire demeure malgré tout prenante et le style de l'auteur est toujours aussi agréable. On retrouve avec plaisir quelques personnages du premier épisode et de nouveaux, comme la comtesse, femme forte et implacable, qui doit faire face aux trahisons et à la cupidité. Un thème peut-être un peu trop classique et qui explique ma réserve. Bon moment de lecture malgré tout...
Afficher en entierJ'ai adoré suivre cette enquête médiéval se passant en Occitanie, sur fond d"hérésie cathare et de conflit caché entre institution catholique.
Afficher en entierIl y a 3 ans, dans la période compliquée que l'on vivait, j'ai fait une bonne action en achetant ce recueil de nouvelles et je n'avais pas encore pris le temps de le lire... Dans l'idée de descendre un peu ma PAL, je l'ai enfin sorti.
Entre nouvelles, poèmes et quelques autres formes, ce recueil est très hétérogène au niveau de la qualité. Sur une bonne soixantaine de textes, seuls neuf textes m'ont vraiment touchés et tiré leurs épingles du jeu.
Les textes qui m'ont le plus marqué dans ce recueil sont la nouvelle Libertalia ou les mémoires du Salétin d'Henri Loevenbruck qui m'a donné envie de reprendre sa saga Le Loup des Cordeliers et la magnifique ode à la nature de Jim Fergus.
Les autres textes qui m'ont touché sont les appels à la liberté de Françoise Bourdin et Françoise Bourdon, l'escapade dans la cabane de Julien Dufresne-Lamy ou encore l'évasion d'Isabelle Filliozat. De son côté, la sentence de Karine Giebel était poignante !
Et enfin, Anne Icart a su toucher mon coeur avec Philo, son frère qui pour moi était un peu de mon oncle, de ma tante et de toutes ces personnes que je connais et pour qui cette époque n'a pas été simple du tout à vivre.
Une lecture solidaire qui m'a permis de découvrir des plumes vers lesquelles je ne me serai peut être jamais tournée, mais qui m'a aussi confortée dans le fait que certaines plumes ne sont pas pour moi...
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10/18 : 8 livres
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