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Extrait ajouté par lilou68 2016-03-20T14:06:22+01:00

J’ai envie de l’embrasser.

Je suis incapable de m’éloigner d’elle. Je reconnais facilement cette délicieuse tension électrique qui parcoure l’aine, et c’est un putain de mauvais signe !

C’est seulement lorsque je décrypte l’expression troublée de son visage que je parviens à mettre de la distance. Je me connais trop bien : je flirte et là, je suis en mode chasseur qui traque sa proie.

— Bon. Le gâteau au chocolat, maintenant.

Si je ne la mate pas comme un foutu chien affamé reluque un os, ça va aller. Fort de cette idée, je me focalise sur le couteau pendant qu’elle coupe des parts égales. Cependant, à chacun de ses gestes, ses cheveux, son corps, ou ses vêtements dégagent un parfum doux et féminin. J’ai les narines qui frémissent et mes pupilles ont probablement la taille d’un terrain de football, désormais. Quand elle lève la tête, après avoir déposé un morceau de gâteau sur une assiette, nos regards se croisent et je retiens illico le sien. J’accepte ce qu’elle me tend, en oubliant de la libérer du lien que nous venons de créer.

Je vais l’embrasser.

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Extrait ajouté par Daliana 2016-12-06T23:28:26+01:00

- J'ai été un ado, je sais très bien à quoi ils pensent ! s'exclame-t-il d'un ton presque paternaliste.

Je le dévisage, éberlué, puis lui emboite le pas dans le parking. Avant de déverrouiller sa portière, il agite le trousseau de clés.

- Et ils ne pensent qu'à ça les années suivantes, voire jusque sur leur putain de lit de mort : le cul !, point barre ! Un ado, ça fantasme de se faire dépuceler par une meuf plus âgée. Un adulte, ça fantasme de baiser tout ce qui bouge ... et un vieux, de se taper une jeunette.

Je m'installe sans arriver à trouver une réplique appropriée. Une fois derrière le volant, il ajoute :

- Je t'interdis de lui adresser la parole quand je ne suis pas avec toi ... A cet âge, ils sont supersournois.

Je ne peux rien y faire : j'éclate de rire.

- Et elle trouve ça drôle, grommelle-t-il avant de démarrer sa Pontiac

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Extrait ajouté par MiruMira 2018-04-16T21:30:50+02:00

C'est tout ce que je suis capable de répondre. Je prends la bière en main et m'apprête à la lui apporter, quand je me fige soudain. Sybil. Elle se tient debout près de lui, dans une minijupe en cuir qui ne laisse plus rien à l'imagination, pas plus que le bout de tissu lui servant de top. Mes yeux descendent sur la bouteille que je tiens et l'idée de la lui fracasser sur le crâne me titille. Cette nana est tout ce que je ne suis pas. Blonde, gros sens ; "sexuelle". Qu'est ce que je suis censée faire ? Agir comme si de rien n'était ou "marquer mon territoire" ? Forcément, j'opte pour la seconde option, parce-que je ne supporte pas l'idée qu'elle le pense encore libre. Ce qui me rend dingue, c'est de constater qu'il discute tranquillement avec elle, comme si c'était parfaitement naturel qu'une femme remue le croupion sous son nez avec le flagrant espoir de se retrouver dans son lit. J'avance en prenant soin d'afficher une expression dégagée. Je vois qu'il m'a repéré du coin de l'oeil ; il affiche aussitôt ce demi-sourire aussi arrogant qu'amusé. Je regrette amèrement de ne pas porter le short d'Amanda, juste question de tenir un peu la distance avec miss "bombe sexuelle".

Dés que j'atteins la table, je lui tends sa bière. Toujours tout sourire, il déplie le bras pour la saisir, mais au dernier moment, je ramène la bouteille en verre près de ma poitrine. il me lance un regard interrogateur. Je porte le goulot à mes lèvres... D'accord, je n'ai aucune expérience en ce qui concerne les relations et le sexe, mais je ne suis pas totalement innocente. Moi aussi je peux jouer. Tout en plantant mes yeux dans les siens, je donne un long coup de langue au goulot. Chris ne sourit plus du tout et intérieurement, je jubile. Ce n'est pas tout ; oh non, je ne veux pas m'arrêter en si bon chemin alors que le regard de Sybil navigue entre lui et moi et qu'il fait cette tête !

Je porte de nouveau le goulot à mes lèvres, sans le quitter des yeux, puis renverse la tête en arrière afin d'en boire une belle gorgée - et je ne suis pas fan de la bière, bon sang ! - une main posée sur la hanche. Lorsque j'enlève le goulot, je fais exprès de laisser s'échapper un peu de la boisson alcoolisée au coin de ma bouche, pour le lécher sensuellement. Chris n'a pas prononcé un seul mot mais son regard incandescent parle pour lui.

Finalement, avec un petit sourire en coin, je lui donne sa bière ; il l'accepte sans pour autant détacher ses prunelles des miennes.

- Ta serveuse cochonne t'a-t-elle donné entière satisfaction, cher client pervers ?

L'air entre nous crépite d'électricité, et Sybil ne semble pas très contente.

- Viens t'assoir sur mes genoux... Tu le sauras assez vite.

Sa voix est grave, enrouée, atrocemment sexy. J'ai le coeur qui bat affreusement vite. Voilà ce que c'est de faire la maligne, poussée par la jalousie. C'est quoi la marche à suivre, maintenant ? Dois-je m'enfuir avant qu'il ne me traîne dans la salle de repos à cause de ma provocation ?

Je secoue la tête balançant ma queue-de-cheval, dédaigneuse.

- Je suis désolée monsieur Farwink, mais j'ai d'autres clients à satisfaire.

Il haussa un sourcil et son regard s'assombrit.

- Putain, t'as de la chance que je ne puisse pas me lever, là, tout de suite, marmonne-t-il.

C'est trop pour Sybil : elle se barre non sans m'avoir adressé une oeillade mauvaise à laquelle je réponds par une mimique ironique.

Je me reconcentre sur Chris dont les traits sont crispés comme s'il souffrait physiquement.

- Un problème... Technique ? Je suggère, amusée.

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Extrait ajouté par Cassandra45 2016-08-15T21:09:15+02:00

Il me retire ma culotte et s'en débarrase en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Quand son visage s'approche à nouveau de cet endroit-là...je couine, affolée:

- Non!

Il m'adresse un regard surpris puis sourit d'air assurément carnassier:

-Oh que si! lâche-t-il en grondant, avant de m'écarter les cuisses d'un geste.

La seconde suivante, au contact de sa langue, je me liquéfie intégralement.

-Chris! je m'étrangle.

Je vais mourir de gêne - et probablement d'autre chose - pendant que ses bras me tiennent fermement par les jambes, m'immobilisant avec une terrifiante facilité.

Je viens d'être jetée dans un précipice et je n'ai aucune autre solution que de m'agripper à la couverture, la tête renversée en arrière. Ce que j'éprouve fait passer les sensations antérieures pour de petites brises printanières, comparées à l'ouragan que déclenche l'audacieuse caresse à laquelle Chris se consacre en cet instant.

Mon cerveau ne suit plus; il s'est brisé en mille morceaux sur le rocher de la luxure. Je crie, j'en suis consciente, sans réellement réaliser ce qui sort de ma bouche: si mes propos ont un sens ou s'ils sont inarticulés. Mon corps se tend brusquement, puis éclate et convulse. J'ai à peine assez de lucidité pour m'apercevoir que Chris a cessé son supplice et semble occupé à autre chose. Je navique en eaux troubles.

-Ma 'tite femme ?

-Mhm?

-Inspire.

-Inspire?...Oh!

Il est en moi en une seule poussée et j'ai l'impression que mon ventre se déchire sous l'intrusion. Chris ne bouge plus mais son visage, qui est de nouveau près du mien, semble taillé dans le marbre, comme s'il vivait, lui aussi, un moment douloureux.

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Extrait ajouté par fangtasia62 2016-03-21T22:50:28+01:00

"Je suis en morceau. Je suis de nouveau ce sac ouvert qui ne peut plus se refermer. Le vide galope vers moi, pressé de me serrer dans ses bras tel un vieil ami à qui j'aurais manqué."

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Extrait ajouté par fangtasia62 2016-03-21T22:46:37+01:00

"Il ne comprend pas parce qu'il ne ressent pas ce que j'éprouve pour Katherina. Quand elle est près de moi, J'ai le sentiment que le monde est normal, que tout est lumineux, drôle, tranquille, que vivre est enfin possible. Dès qu'elle entre dans une pièce, c'est un soleil vers lequel je ne peux m'empêcher de gravité. Je me nourris de chacune de ses expressions: joie, contrariété, colère...c'est fou. Je suis fou, mais cette folie me convient, je peux très bien me lever tous les matins avec."

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Extrait ajouté par Shesska 2018-03-20T01:44:53+01:00

(Chris - P.292-293)

- Quand vous aurez fini de vous faire des papouilles, les amoureux..., faudrait penser à venir nous aider à peindre cette putain d'Audi ! beugle Erik.

Je lui tends mon majeur, et il y répond en se prenant les bijoux de famille à pleines mains. Je hausse un sourcil, et il comprend qu'il a fait une connerie. Je le suis des yeux pendant qu'il recule, le regard affolé, à la recherche d'une échappatoire. Je ricane méchamment avant de mettre le masque et de pencher avec exagération la tête sur le côté droit, puis le gauche. Je fais également craquer mes phalanges, poing dans la paume.

Benny se marre déjà en lui mimant le fait qu'il va prendre cher. Jo me tend une bombe de peinture bleue, et je le remercie d'un clin d’œil.

- Viens là, mon petit Schtroumpf, je lance à l'intention d'Erik tout en agitant l'aérosol.

Ce dernier lève un bras devant lui, doigts écartés, comme si cela pouvait m'arrêter.

- Fais pas le con, Chris... J'ai un rencard ce soir. Merde !

- J'espère qu'elle aime le bleu, je rétorque, une grimace sadique sur le visage.

Je m'élance subitement. Lui aussi se met à courir dans le garage. Je saute avec agilité par-dessus les sièges d'une Ford que nous avons récemment désossée et au moment où il essaie de s'enfermer dans les chiottes je l'attrape par le cou.

- T'es mort, je grogne.

- Non ! Chris ! Merde ! Pitié, bordel !

Je le maintiens fermement ; il est quasiment plié en deux, la tête sur mes genoux.

- Une p'tite teinture, mon bon monsieur ?

- Connard ! couine-t-il en tentant de s'échapper.

Je lâche un rire de méchant et lui bombarde les tifs de bleu électrique. Ses insultes ne font qu'amplifier nos rires.

Une fois satisfait, je le libère, et il me lance immédiatement un regard noir.

- C'est plein de produits chimiques, cette merde ! crache Erik d'un ton accusateur.

- Ça ne peut que t'arranger, réplique Jo en se tenant les côtes.

- Bande de trous du cul ! crie-t-il avec hargne en s'emparant d'un torchon près de lui pour s'essuyer brutalement les cheveux.

Benny, Jo et moi-même échangeons un regard amusé, formant simultanément un "oh" muet avec nos bouches.

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Extrait ajouté par Allyssahp 2018-01-04T13:33:06+01:00

Son appartement est gigantesque et possède tous les gadgets high-tech dernier cri. De la télé à la console ..., ou devrais-je dire « aux » consoles. Lorsque nos yeux se croisent, il sourit en devinant la question silencieuse qui me démange.

- Il en tombe des choses, d’un camion.

-C’est fou, le nombre croissant de conducteurs maladroits, je réplique.

Sa mimique s’emargit et ses yeux gris pétillent.

- T’as pas idée.

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Extrait ajouté par toreadistoliveforever 2017-09-13T14:01:40+02:00

Il raccroche puis pivote sur lui-même, l'air sérieux :

- Petite Femme ? Tu crois qu'on peut arriver à bouffer en moins d'un quart d'heure ?

« Petite femme » !?

- Pourq...

- Laisse tomber. C'est juste que s'ils voient de la nourriture qui ne provient pas d'un fast-food ils vont nous la jouer nuée de sauterelles affamées dévastant tout sur leur passage. Et ça m'emmerde qu'ils mangent MA nourriture.

Je hausse un sourcil sans pouvoir m'empêcher de sourire.

- TA nourriture ?

Chris me lance un regarde agacé.

- Ouais. C'est pour moi que t'as cuisiné, pas pour leurs satanés estomacs.

Là, j'éclate vraiment de rire.

- On peut toujours essayer ! Je propose, entre deux hoquets.

Il me lance aussitôt un moue carnassière, et nous nous précipitons comme un seul homme dans la cuisine.

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Extrait ajouté par Anonyme_ 2017-03-10T21:30:21+01:00

- Tu oserais quitter ton petit mari sans même un bisou ? Quel genre d'épouse es-tu ?

- Mais on n'est pas mariés.

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