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C’est vorace, affamé. Terriblement intense. Plus rien d’autre ne compte en cet instant. Ses doigts cherchent à me découvrir, se faufilant subrepticement sous mon t-shirt, effleurant chaque centimètre de ma peau pour y laisser la trace brûlante d’une empreinte. Mon amour pour lui est une tragédie. Mon désir pour lui… un interdit. Même si le temps est comme une rivière, toujours en mouvement, nettoyant les douleurs du passé en les emportant dans son flux. Contrairement à la culpabilité, qui, elle, cette garce, garde une copie de l’acte pour finir par t’obliger à payer ton dû en larmes.

(Charlie)

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Je suis hypnotisée car je ne vois de lui que son dos, mais c’est un dos magnifique. Une vision terriblement apaisante. Si je ne devais demander qu’une seule chose pour moi dans cette vie, ce serait lui. Les êtres humains ne vous appartiennent pas, c’est sûr, néanmoins, en ce qui concerne ce cas en particulier, nous pourrions trouver un compromis moralement acceptable, Dieu et moi, j’en suis sûre.

(Charlie)

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Ses grands yeux bleus me fixaient avec de l’étonnement et une forme floue d’admiration. Ça m’a méchamment coupé dans mon élan. Peut-être est-ce ce jour-là que j’ai reçu un ersatz de coup de foudre : lorsque, pour la toute première fois, j’ai plongé mon regard dans le sien. Il n’y avait rien de sexuel, mais le fil rouge de la destinée s’était indéniablement tissé d’elle à moi, et de moi à elle. J’ai passé l’année suivante à l’éviter. Une autre à faire semblant de ne pas la voir alors qu’elle m’épiait constamment. Finalement, quand j’ai rendu les armes, elle avait quinze ans et la beauté pure d’un ange. C’est là que j’ai commencé à me mentir, à mentir sur ce qui nous liait, à écrire un interminable scénario dont nous étions les principaux acteurs.

[Logan]

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Je me redresse, pas peu fière de cette invincible confiance qu'il a en moi. Un œil sur Ray m'indique qu'il ,e se démonte pas pour autant. Les bras croisés sur le torse, une épaule appuyée contre le chambranle, il a l'attitude du mec super à l'aise dans ses pompes.

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— Charlene Debby Parson Bell, tu as le droit de garder le silence. Si tu renonces à ce droit, tout ce que tu diras sera sûrement utilisé contre toi devant une Cour de Justice. Tu as le droit à un avocat et qu’il soit présent lors de l’interrogatoire. Si tu n’en as pas les moyens, un avocat te sera fourni aux frais du contribuable – pour changer, hein ? Durant chaque interrogatoire, tu pourras décider à n’importe quel moment d’exercer ces droits, de ne répondre à aucune question ou de ne faire aucune déposition. Là aussi, comme d’habitude, n’est-ce pas ? achève-t-il en m’obligeant à me redresser.

— Quand vous me dites des choses aussi sexy, j’en mouille ma culotte ! je soupire d’un ton énamouré.

Sans aucun égard, et encore moins de délicatesse, l’officier James, une main placée sur le sommet de mon crâne, m’oblige à entrer dans la voiture pendant que son coéquipier tient la portière ouverte. Lorsqu’il la claque, Donovan James, trentenaire bien fait de sa personne, se penche pour que sa figure soit au niveau de la mienne :

— Je suis à peu près sûr qu’aucun mec sur cette planète soit capable d’un tel exploit, susurre-t-il, venimeux comme un crotale.

Vanne facile qui déclenche un fou rire chez son acolyte. Je lui jette illico un regard noir.

— J’avoue que le spécimen devra posséder un slip garni ! D’après madame James, le vôtre laisse à désirer, paraît-il… sans vouloir vous manquer de respect, Officier ! je m’écrie depuis la banquette arrière alors que mes yeux l’observent s’installer au volant.

— Ta gueule, Parson ! m’ordonne Kevin Strubb, l’emmerdeur en second, mais seulement après avoir sagement bouclé sa ceinture de sécurité.

Avertissement qui me passe très loin au-dessus, donc je continue ma prose, l’air faussement innocent :

— Il est de notoriété publique que dans le couple James, c’est la femme qui en possède une grosse paire. Tout Glendale sait « qui » manie le fouet dans le foyer… 

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Je suis géographiquement coincée entre Ray et Logan. Tu parles d'un purgatoire pour un Ange Noir !

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- Lave-moi.

La tessiture de ma voix est terriblement rauque, ajoutant une dimension érotique à cet ordre qu'il paraissait attendre. Si j'en juge par la raideur subite de tous ses muscles et encore plus celle, très significative, de son entrejambre, le scénario lui plaît. Sans précipitation et avec des gestes délicats, il choisit de commencer par le haut de mon corps, insistant sciemment sur toutes mes zones érogènes, que ce soit la pointe de mes seins, le creux de mes bras ou bien mon bas-ventre, à mi-chemin entre le nombril et le mont-de-Vénus. Une exquise torture qui me fait haleter, me précipitant doucement mais sûrement vers l'orgasme. C'est comme s'il avait minutieusement relevé un à un mes points sensibles durant nos ébats et qu'il mettait enfin ses connaissances à profit avec une habilité époustouflante. Ah. Maintenant, je suis vraiment jalouse de toutes ces femmes dont il a été l'amant... Merde. Fait chier. Moi qui trouve ça généralement pathétique. Je baisse les yeux sur lui alors qu'il s'agenouille dans le bac de douche.

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RÈGLE N° 2 Charlie

TOUJOURS SUIVRE LE SENS DU VENT.

À cause de son after-shave, je sais que Ray est juste derrière moi. Un peu plus tôt dans le bureau du capitaine, mon odorat sensible a capté l’effluve qu’il dégage, un parfum à la fois épicé et boisé.

Porte ouverte, je lève les yeux pour tomber nez à nez sur un portrait de Law et moi lorsque nous n’étions que des mômes. La photo est accrochée au mur du couloir. Danny, mon petit frère âgé de douze ans, n’était pas encore né. C’est vraiment étrange ce sentiment que j’ai en contemplant ce cadre : j’ai l’impression que ce cliché date d’il y a deux siècles. Impression renforcée par nos fringues – au style mort et enterré – ainsi qu’à nos visages poupins figés avec, pour arrière-plan, un fond en carton-pâte d’un bleu mal défini. Je me secoue pour m’arracher à ma méditation sur cette trace du passé. Je veux partir d’ici. Ça pue.[…]

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À l’intérieur, je vacille et je gémis. De l’extérieur, j’essaie de garder un ton ferme.

— J’ai vu des mecs vite tomber dans une nouvelle routine, à passer leurs journées à se défoncer à cette merde. T’as plus l’âge de… ce n’est pas toi, ça ! T’es un adulte, bordel. C’est quoi le problème ? C’est quoi ton problème ?

Je sens sa main remonter le long de ma cuisse. Il veut m’exciter pour que je lui cède. Je m’éloigne brusquement.

— Dors avec moi cette nuit.

— C’est quoi ce caprice ! je m’exclame[…]

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Je n’arrive plus à respirer. Il faut que tu te calmes, Charlie. C’est la drogue qui parle. Je suis hypnotisée car je ne vois de lui que son dos, mais c’est un dos magnifique. Une vision terriblement apaisante. Si je ne devais demander qu’une seule chose pour moi dans cette vie, ce serait lui. Les êtres humains ne vous appartiennent pas, c’est sûr, néanmoins, en ce qui concerne ce cas en particulier, nous pourrions trouver un compromis moralement acceptable, Dieu et moi, j’en suis sûre.

http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/

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