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— Choco-noisette cœur de caramel, énonça Terry en adressant un sourire en coin à un Ryan ébahi. Ma mère est une pâtissière hors pair et Sam un estomac sur pattes.
— Tu exagères, rétorqua-t-elle la bouche pleine, tout en s’empiffrant un second gâteau au moelleux irrésistible.
— D’accord, s’exclama Ryan. Je viens de comprendre comment vous ne vous êtes pas encore entre-tués. Tu la contrôles en lui filant à bouffer…
Afficher en entier— Ces deux-là sont coéquipiers depuis trois mois, mais tout le monde sait qu’ils ne peuvent pas se voir en peinture. Cet après-midi, ils se sont encore pris le bec. C’est pour ça qu’ils sont venus régler ça ici.
— En tout cas, elle se défend sacrément bien pour une nana. Elle m’a impressionné.
— Tu parles ! ricana Benicio. La « percutante » Sam Lowell est ceinture noire de karaté, elle pratique également le krav-maga et au moins un ou deux autres trucs tout aussi dangereux. En plus, elle est classée tireur d’élite.
— La vache ! s’exclama l’officier, épaté.
— C’est bien pour ça qu’on l’a surnommée « Red Bull ». Il vaut mieux ne pas lui marcher sur les pieds à cette gonzesse. Terry a beau être bon, il a été kamikaze de l’affronter sans protection.
Afficher en entierChapitre 1 :
« …
— Non mais c’est pas fini, vous deux ? Tonna la voix de stentor du capitaine Davis par-dessus le brouhaha de la salle de sport, qui occupait tout le sous-sol du commissariat.
Distraire par la violente semonce, Sam ne contrôla pas la fin de son mouvement, et son poing partit à toute force vers l’arrière. Il s’écrasa sur l’arcade sourcilière de son coéquipier, qui, lui aussi perturbé par l’intervention, n’eut pas le réflexe de détourner la tête.
Déséquilibré par l’impact et le poids de Samantha qui, perdant l’équilibre, s’effondrait sur lui, Terrence McMillan tomba à la renverse. Ils s’affalèrent par terre sous les exclamations amusées de leurs collègues.
Il leur fallut quelques secondes pour parvenir à reprendre leur respiration et réaliser la position indécente dans laquelle ils se trouvaient, elle allongée dos à lui, sur lui, bras et jambes emmêlés.
— Tu pourrais me remercier. J’ai amorti ta chute, fit-il remarquer, sarcastique, en la repoussant en douceur.
— C’est toi qui m’as fait tomber, lui asséna-t-elle avec une magnifique mauvaise foi tout en se relevant d’un bond, gênée.
- Vous deux, les interrompit Davis, furieux. Dans mon bureau. Illico !
...»
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