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Saturnine cherche une colocation car vivre sur le canapé du tout petit appartement de sa copine, c’est bien gentil mais ce n’est pas une solution durable. C’est alors qu’elle tombe sur une offre des plus alléchantes : une grande chambre dans un super quartier et pour un loyer des plus modestes. Mais elle n’est pas la seule à postuler forcément. Etrangement, elle est la seule vraie candidate, les autres ayant juste envie de voir l’homme dont les huit précédentes colocataires ont disparu. Et en effet, c’est elle que choisit don Elemirio Nibal y Milcar pour devenir la neuvième colocataire. L’homme est étrange, parle comme dans un livre, ne sort jamais et tel Barbe-Bleue lui donne accès à tout sauf à une seule pièce dans laquelle elle ne devra jamais se rendre. Saturnine va-t-elle reproduire le schéma des huit autres femmes ? Va-t-elle disparaître à son tour ? Et ces dernières, qu’est-il advenu d’elles ? Dès le début du roman, le suspense est à son comble…
Ce livre est un chef d'oeuvre... ! Franchement j'ai retrouvé tout ce que j'aimais chez Amélie : Des personnages mystérieux, des dialogues sublimes, son humour noir et le champagne. Franchement je l'ai dévoré et je ne regrette pas d'avoir attendu un an pour le lire. Vivement la sortie du prochain. L'idée des couleurs est géniale, et comme d'habitude la fin est inattendue. J'ai adoré.
Encore un Nothomb qui ne m'a pas transporté. Si l'histoire se veut attractive, elle est néanmoins lourde et répétitive. Spoiler(cliquez pour révéler)La quasi totalité de cette histoire se déroule dans l'appartement, nous enfonçant dans une histoire un peu tirée par les cheveux. Ce que je reproche le plus à Nothomb encore une fois, c'est la part de l'imaginaire manquante aux lecteurs. Elle nous donne toutes les clefs, comme une énumération de fait, sans forcément nous transporter dans l'histoire. Dommage, le concept était alléchant à la base.
Un tout petit roman, mince comme un sandwich SNCF pour plagier le chanteur Renaud, constitué essentiellement de dialogues entre l'héroïne Saturnine Puissant et la réincarnation de Barbe-bleue. Le résultat aurait certainement été plaisant si ces dialogues avaient atteint leur ambition, mais ils ne sont ni brillants ni spirituels, comme ils tentent d'être.
Après les nombreux avis positifs et mon désir de découvrir la reecriture du conte "Barbe bleue", je me suis plongée dans l'œuvre d'Amélie Nothomb. Eh bien, je pense que je ne suis absolument pas le bon public pour cette auteurice
J'ai aimé le contexte plus moderne, le début de l'intrigue et la fin, mais quant au milieu, c'était ennuyeux pour moi. Le livre est court et pourtant, s'il avait été un peu plus long, je ne l'aurais pas fini. Des dialogues tirés en longueurs qui tournent en rond et qui m'ont absolument pas intéressés. C'était trop lent, long et vide.
J'ai beaucoup de points négatifs à noter mais étant donné que je suis sûre de ne pas être le bon public à ce livre, je ne vais pas en dire plus. Les dialogues ont été le plus compliqué pour moi, le reste était potable par rapport à ça.
Je vous invite à faire votre propre avis mais je ne pense pas retenter un livre de cette auteurice...
Je découvre l'écriture d'Amélie Nothomb avec ce conte revisité de Barbe Bleue, qui est une idée assez judicieuse. J'ai mis du temps à apprécier sa façon d'écrire parce qu'elle ne correspond à ce que j'ai l'habitude de lire. De cette quantité de dialogues sort un amas de propos intellectuel / religieux qui, soit ne me parlait pas, soit me donnait un sentiment d'irréel. Au-delà de cette critique, l'histoire est bien ficelée, même si on sait pertinemment comment cela va se terminer. Je continuerai à lire cette autrice, mais je ne pense pas qu'elle figurera parmi mes auteurs favoris.
Je n'avais pas lu Amélie Nothomb depuis de nombreuses années et je l'ai retrouvé avec plaisir.
Sa plume porte son identité. Le récit est rythmé. Il y a beaucoup de dialogues.
Ce roman m'a beaucoup fait penser à " l'hygiène de l'assassin" dans la dynamique des personnages. L'affrontement de deux intelligences, le besoin de lever les secrets.
J'ai beaucoup aimé les joutes verbales abreuvées de champagne.
Le roman se lit rapidement et facilement.
Le système de protection de la chambre noire m'a un peu perturbé dans le sens où j'utilise la même logique punitive sur mes enfants...
" la digestion est un phénomène purement catholique. Tant que le prêtre m'absout, je peux digérer des briques".
Un lecture haletante, argumentée et féministe. Tout le récit est écrit avec digne précision d'Amélie Nothomb.
La relation entre les deux personnages principaux nous tient en haleine. C'est une excellente revisite moderne du conte de Barbe Bleue. J'ai adoré ma lecture et toute la reflexion qu'elle engendre. Je le recommande sincèrement.
Les dialogues entre les deux colocataires sont à la fois drôles, étranges et instructifs. Même s' ils sont parfois répétitifs, cela ne me dérange pas. J'adore la répartie pince-sans-rire et culottée de Saturnine ainsi que les réflexions complètement d'une autre époque de Elemirio.La fin m'a surprise, je pensais que le non-respect de la chambre noire était annoncé dès le début et que Saturnine devait mourir. Cependant, je n'ai pas compris la toute fin ... Saturnine est-elle morte sur le banc ? Où s'est-elle juste faite illuminée par le reflet des Invalides ?
J'ai été globalement déçue par ce roman... Le résumé me semblait intéressant, mais j'ai trouvé que tout allait toujours trop vite, sans développer, que tout tombait un peu trop comme des cheveux sur la soupe et que la fin en devenait trop... abrupte. Une déception en somme (et pourtant, j'i beaucoup aimé d'autres livres de l'autrice)
Je n'ai pas aimé ce livre. Il a été très long à lire malgré un faible nombre de pages.
Une fin un peu surprenante et des punchlines assez fun mais il n'y avait de mon avis aucun rythme. Beaucoup de dialogues sans aucun sens, des pensées don on ne comprend pas le sens.
Ce livre aurait de mon avis été mieux en tant que pièce de théâtre, il y aurait eu de quoi rendre le texte assez fun tout en gardant le fil conducteur et l'idée principal, et je ne peux pas l'imaginer autrement que joué sur scène après l'avoir terminé. Donc je ne sais pas si c'est le format qui m'a bloquée et qui a fait que je n'ai pas du tout aimé ou si c'est l'ensemble, mais je n'ai pas du tout aimé.
Résumé
Saturnine cherche une colocation car vivre sur le canapé du tout petit appartement de sa copine, c’est bien gentil mais ce n’est pas une solution durable. C’est alors qu’elle tombe sur une offre des plus alléchantes : une grande chambre dans un super quartier et pour un loyer des plus modestes. Mais elle n’est pas la seule à postuler forcément. Etrangement, elle est la seule vraie candidate, les autres ayant juste envie de voir l’homme dont les huit précédentes colocataires ont disparu. Et en effet, c’est elle que choisit don Elemirio Nibal y Milcar pour devenir la neuvième colocataire. L’homme est étrange, parle comme dans un livre, ne sort jamais et tel Barbe-Bleue lui donne accès à tout sauf à une seule pièce dans laquelle elle ne devra jamais se rendre. Saturnine va-t-elle reproduire le schéma des huit autres femmes ? Va-t-elle disparaître à son tour ? Et ces dernières, qu’est-il advenu d’elles ? Dès le début du roman, le suspense est à son comble…
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