Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
708 914
Membres
985 918

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par anonyme 2015-10-24T10:24:46+02:00

La troisième porte était celle dont j’avais besoin : la salle de bain. J’y pénétrai, soulevai l’abattant, sortis mon pénis et tentai de pisser. Oui, tentai. Ma vessie était pleine, mais je n’arrivais pas à ouvrir la valve. Finalement, la rivière se mit à couler. Je soufflai de contentement, appréciant le soulagement qui m’envahissait. Je vous jure, c’était orgasmique. Presque orgasmique.

J’étais tellement pris par cette sensation de délivrance que je n’entendis pas qu’on rentrait dans la cabine et se faufilait derrière moi.

— C’est quoi ce bordel ?

Je reconnus immédiatement la voix de Brady et me tournai vers lui. Mais j’avais oublié de… fermer la valve, et continuai à uriner tout en pivotant. Mon jet atteignit le bas du pantalon de Brady et ses chaussures.

— Merde ! s’exclama-t-il en faisant un saut en arrière.

Je me retins de dire que ce n’était pas de la merde, mais de la pisse.

C’était terriblement difficile de m’arrêter : ma vessie était toujours pleine. Je restai immobile, contemplant Brady bouche bée, mon sexe sorti. Évidemment, il le fixait. Qui ne l’aurait pas fait ?

— Hm, tu veux bien ranger ça ?

— Hé, mec, on peut discuter de tout ça une fois que j’ai fini ? Tu peux rester là pour t’assurer que je bouge pas, si tu veux, mais je te jure, je dois vraiment pisser.

— Vas-y, répondit-il avec un geste de la main.

Je me retournai vers les toilettes et, une fois encore, essayai de pisser. Un regard par-dessus mon épaule m’apprit que Brady me regardait.

— Je peux pas pisser si tu me regardes.

Il laissa échapper un profond soupir et se retourna.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Pegh 2022-04-22T23:29:08+02:00

Il était 13h, un mercredi après-midi, et nous étions loin d’être débordés par le travail. Nous avions seulement une poignée de clients : les deux jeunes femmes qui venaient de commander les Long Island Iced Tea, un couple âgé en train de siroter des bières, et quelques habitués, dont un type qui ressemblait trait pour trait à Norman de Cheers. Sauf qu’il ne s’appelait pas Norm, mais Archie. Et ni Archie ni Tyson n’appréciaient que je hurle « Norm ! » quand Archie franchissait la porte. Ils n’avaient aucun sens de l’humour.

Tyson se saisit des boissons et les apporta aux jeunes femmes. Elles prirent une gorgée, et la recrachèrent aussitôt.

— Qu’est-ce que c’est que ce truc ? s’écria l’une d’elles.

Tyson se tourna vers elle, attrapa l’un des verres et y trempa les lèvres. Je le vis recracher le cocktail, puis me jeter un regard meurtrier. Il s’avança vers moi à grands pas et fit claquer les verres sur le comptoir.

— Lincoln, qu’est-ce que c’est que ce truc ?

— Hm, un Long Island Iced Tea ? répondis-je.

La main droite de Tyson se referma en un poing serré et je voyais bien qu’il faisait tout ce qu’il pouvait pour ne pas m’en coller une, comme quand il me coachait.

— Qu’est-ce que tu as mis dedans ?

Je sortis mon antisèche et lus les ingrédients :

— Trois cuillères à café de rhum, de vodka et de gin, du triple sec et de la tequila. Puis huit centilitres de jus de tomate.

Je sursautai quand Tyson frappa le comptoir de son poing.

— Tu viens vraiment de dire « jus de tomate » ?

— C’est ce qui est écrit.

Je lui montrai la feuille. Il me la prit des mains et la déplia.

— T’as tellement plié ce putain de papier que t’as mélangé les ingrédients du Long Island avec ceux du Bloody Mary. C’est censé être du coca, pas du putain de jus de tomate.

— Oh merde. Désolé, Tyson. C’est ma faute.

— Bien sûr que c’est ta faute.

— J’essaye, Ty.

— C’est putain de dommage que tu puisses pas retourner jouer au hockey, mec. T’étais peut-être pas le meilleur joueur, mais au moins, t’étais pas le pire.

Tyson essayait d’être méchant, mais je ne pus m’empêcher de sourire, ce qui l’énerva encore plus.

— Je peux savoir ce qui te fait rire, Carpenter ?

Il fit claquer ses deux poings sur le bar, ce qui accentua mon ricanement.

— Putain, t’es vraiment pas un cadeau, Linc.

Il essayait de rester en colère, mais un sourire se dessinait sur son visage.

— Va prendre une pause dans mon bureau. Hors de ma vue.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode