Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 861
Membres
1 008 601

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par Ludo-1 2018-05-31T22:13:11+02:00

« Mais après, le gros Eddie m’a donné le fin mot de l’histoire en me racontant que Gums part tirer six mois dans un corps de réserve à Staten Island et que c’est de là qu’il le verra, le Viêt-Nam. On rigolait si fort qu’il y a eu des gens qui se sont arrêtés de chanter pour voir ce qui se passait. Ça, c’est une famille qui sait se faire une montagne d’un paquet de merde, on peut dire qu’ils ont le sens du théâtre. Bon Dieu, à les voir, on aurait cru que Gums partait assassiner le président Mao avec un pistolet à eau. Je suis bien content de me trouver de l’autre côté de la barricade, parce que des loquedus comme ça, ils sont nés pour perdre. »

Extrait de 

Basketball diaries

Jim Carroll

Ce contenu est peut-être protégé par des droits d’auteur.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Ludo-1 2018-05-30T20:51:52+02:00

« Cause toujours, cet abruti m’écoutait même pas, et à ce moment-là, laissez-moi vous dire que cette foutue école et cette foutue religion me sortaient par les trous de nez, plus que tout au monde, avec leurs putains de boîtes noires minuscules où il faut entrer comme si c’était des cabines téléphoniques en ligne directe avec Dieu. On devrait flinguer toute la bande, ils foutent en l’air des cerveaux qui leur appartiennent pas. »

Extrait de 

Basketball diaries

Jim Carroll

Ce contenu est peut-être protégé par des droits d’auteur.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Vadaeme 2014-08-04T15:38:16+02:00

Les gestes symboliques, ça donne bonne conscience mais ça n'est nourrissant pour personne.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Vadaeme 2014-08-04T15:37:55+02:00

Je vais bientôt avoir 15 ans et la dépendance "pepsi-cola" à l'héro, que j'ai contractée cet été resserre son étau autour de moi de plus en plus. Pour la première fois depuis que j'ai perdu la virginité de mes veines, à 13 ans, j'ai le sentiment qu'il faut que je me remette d'aplomb vite fait, parce que le bahut, ça s'approche à une vitesse vertigineuse et pas moyen d'aller à l'école quand on est accro. La dépendance "pepsi-cola" à la poudre, c'est une première accoutumance bénigne qui s'installe subrepticement pendant qu'on se dit: "Merde, ça fait déjà trois ans que je fais le con avec la came, mais je sais à quel moment je dois m’arrêter, et je ne suis jamais accro." Mais un jour au réveil, le nez se met brusquement à couler, les yeux à pleurer, les muscles du dos et des jambes sont lourds et raides. On est le dindon de la farce , finalement, même si on croit être "maître du jeu" depuis longtemps. Alors je me regarde dans le miroir, et je m'aperçois que je ferais mieux de laisser tomber la poudre aussi sec. Je cesse de me raconter des histoires, quoi.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode