Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 478
Membres
1 012 409

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par readerotter 2021-05-28T22:24:51+02:00

Non, mais je crois rêver ! Tu as vu sa gueule, sa dégaine, son haleine ! Je préfèrerais m'arracher un œil et me le bouffer plutôt que de poser une seule phalange sur son horrible personne !

Afficher en entier
Extrait ajouté par readerotter 2021-05-28T22:23:27+02:00

-Salut mon cœur !

- Ave à toi.

Il ne remarqua même pas que je me foutais ouvertement de sa vilaine gueule.

Afficher en entier
Extrait ajouté par MSNordlys 2021-05-30T08:15:26+02:00

En plus du manque de nourriture, s’ajoutait le manque chronique de sommeil. J’ignore comment était constitué le cerveau malade de mon cher et tendre amour, mais il tenait jusqu’à trois nuits d’affilée sans dormir. Après quoi, il s’effondrait et pionçait non-stop pendant quinze à seize heures. A la limite, qu’il vive comme ça, grand bien lui fasse, mais Monsieur tenait à l’imposer aux autres. Je crus qu’il se fichait de moi quand il m’exposa ce qui lui tenait lieu de credo : « Les gens qui se couchent avant minuit sont des moins que rien ; à trois heures du mat’, des médiocres sur le chemin de la rédemption, et à partir du lever du soleil, des rois, des dieux de l’astre lunaire! »

Afficher en entier
Extrait ajouté par MSNordlys 2021-03-15T08:13:30+01:00

Le véritable drame se noua quand je rentrai chez moi le dimanche soir, avec bête, armes et bagages. Mes valises à peine posées, je pris mon petit rongeur dans mes bras. Il semblait interdit, comme vidé de toute énergie. Il tremblait encore. Moi aussi d’ailleurs.

Dimitri nous vit.

-Que se passe-t-il ?

-Reza…

-Qu’est-ce qu’il a encore fait, celui-là ?

-Je l’ai surpris en train de molester Maradonna.

Mon grand frère poussa un hurlement strident :

-Sadique et inconscient, en plus ! Cette bête est âgée, elle a de la sciatique et de l’arthrose partout et ne voit plus que d’un œil ! Comment a-t-il pu oser ? (les lèvres de mon frère se mirent à trembler, et je crus qu’il allait se mettre à pleurer). Je ne comprends déjà pas la cruauté entre les hommes, mais vis-à-vis des animaux, ça me dépasse complètement.

Dimitri et moi passèrent la soirée et une bonne partie de la nuit autour de notre Maradonna, qui semblait horriblement mal en point. Il bougeait de moins en moins, sa respiration se faisait de plus en plus difficile, et de plus en plus saccadée. A trois heures, il commença à avoir des convulsions. A cinq, il était complètement paralysé. Et il mourut un peu après six heures du matin.

Dim et moi étions anéantis.

-Viens, on ne peut plus rien faire, il faut qu’on l’enterre.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode