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Après ma lecture du tome 2, j'ai enchaîné très vite le tome 3. Il me tardait trop de connaître la suite de cette aventure.

Dans ce troisième volet, nous découvrons l'envers de ce décor utopique. L'univers crée par Paru Itagaki est encore plus sombre et se complexifie davantage.

Les thématiques qui ressortent, sont riches et complètes. Le lecteur commence à être tiraillé dans ses convictions car les motivations des personnages sont toutes justifiées. Chaque opinion est légitime. De cette manière, les personnages gagnent en profondeur. Ni gentils, ni méchants, ils défendent leurs principes. Les dénonciations qui s'y dégagent, font écho à notre propre société. Pour moi, c'est ce qui fait la force de la saga.

De plus, les éléments sont habilement menés. On sent que l'auteur tire les ficelles de son intrigue car les scènes sont incroyablement saisissantes. Certains passages m'ont poignardés le coeur notamment où Legoshi s'interroge sur sa relation avec Haru et sa position envers les herbivores.

Les dernières pages de ce tome ont brisé mon petit coeur de lectrice tellement le texte est beau. Les mots sont choisis avec soin. Il en ressort de la poésie, de la mélancolie et de la philosophie. Une lumière d'espoir et de tolérance brillent entre les pages. J'en ai été secouée d'émotions.

Les personnages sont terriblement badasses. Aucun n'est négligé. Nous sentons qu'ils ont tous un secret à cacher. Dans ce tome 3, les liens se resserrent entre eux : amitié, amour, ennemis. Progressivement, leurs psychologies se développent. De cette manière, ils gagnent en relief et en prestance. Je suis toujours aussi fan de Louis. Le mystérieux Panda me fascine. Juno m'a émue de fou car je me reconnais en elle. Mais mon coeur appartient toujours à Legoshi. Notre protagoniste est tellement un amour ! Sa relation avec Haru est juste touchante.

En bref, vous l'avez compris. Ce tome 3 comme les précédents est un coup de coeur, un coup au coeur.

Je suis tombée amoureuse de la patte artistique de Paru Itagaki.

Vive la suite !

Un nouveau tome passionnant mais également beaucoup plus sombre. Legoshi et ses amis découvrent le tristement célèbre marché noir et Legoshi fait tout ce qu'il peut pour lutter contre ses instincts. Le personnage est vraiment complexe et ça me plait énormément. C'est ce qui fait la force de ce manga. J'ai hâte de lire le tome suivant et d'en apprendre plus sur Legoshi et le fameux panda qu'il a rencontré aux alentours du marché noir.

Ce troisième tome m,en aura donné des sueurs froides. Après l'épisode de la pièce de théâtre, Legoshi est toujours assez confus dans ses émotions et son ressenti. Pour certains prédateur, accepter sa nature nécessite de se confronter à certains interdits, dont celui de manger de la viande. C,est d'ailleurs possible grâce au "marché noir", un lieu assez sordide où la présence d'un certain vieux monsieur m'aura choqué ( dans le sens "bouleversé"). Ce monsieur qui vendait ses propres doigts...un peu comme certains humains qui vendent leurs propres organes. Mais la différence est qu'il se fait dévorer vivant. C'était assez horrible.

Plusieurs personnages intrigants font leur entrée: le médecin panda, Aoba le pygarde et Juno, la louve, sont très intéressants.

J'ai bien aimé ces passages plus tranquilles et quotidiens qui ont jalonné le récit, entre autre le début, où c'est visiblement l'heure du rasage de poil pour la petite chambrée canine de la 701,ainsi que la micro-histoire de Legom, la poule et ses œufs. C'est souvent grâce aux moments ordinaires et simples comme ceux-là qu'on en apprend sur l'univers et les personnages en présence. Certains pourraient y voir là un atténuant du drame principal, mais je préfère le voir comme un complément.

Le moins qu'on puisse dire du tome 3 est qu'il partage en deux parts des moments mignons et calmes avec des moments vraiment plus dramatiques et percutants.

Ce tome est à mon sens à un tournant essentiel pour la suite qui se dessine. L’histoire qui apparaissait dans un premier temps comme idéaliste, ce malgré le meurtre de Tem dans le 1, prend petit à petit une direction plus sombre, plus adulte également.

Si des lecteurs persistaient à comparer Beastars à Zootopie, le long métrage animé de Disney, je crois que ce tome, par tout ce qu'il montre de glauque et de malaisant, leur en aura définitivement coupé l'envie. Beastars ne joue vraiment pas dans la même cour et nous en avons à présent concrètement la preuve !

Ce tome a réussi à remuer quelque chose en moi durant le passage consacré au marché noir, preuve que la mangaka a très bien réussi son humanisation des personnages et que je les ai bien assimilés comme tels à part entière.

Cette brève vision du monde extérieur à l'école est intrigante et inquiétante à la fois. Elle me pousse à me poser avec insistance les mêmes questions: pourquoi n'y a-t-il pas d'enquête au sein de l'école alors que, pour le même crime, il y en a à l'extérieur ? Et qu'est-ce que c'est que cette école (institut en fait) qui semble garder ses élèves dans une bulle utopique pour les formater ?

En bref, alors que le manga se pare peu à peu de ses couleurs les plus sombres, les questions perdurent et se multiplient. La mangaka a donné jusque là la priorité à humaniser ses personnages en en exposant les personnalités et dilemmes plutôt que de donner trop rapidement les clés de son univers, mais une ouverture semble s'amorcer et ce qu'elle laisse entrevoir est intrigant. Ce troisième tome me motive encore mieux que les deux premiers à poursuivre ma découverte de cette série.

Le tome 3 de Beastars renforce mon attachement à la série !

Si le début du tome est plutôt léger et intéressant en montrant la qualité des aliments fournit aux étudiants sous le point de vue d’une poule pondeuse (j’ai ri quand elle est entrée en scène), et des émois de Legoshi qui me fait toujours autant sourire, l’autre moitié donne une atmosphère plus sombre et sérieuse et cela se ressent dans les dessins.

Il y a un bel approfondissement du monde dans ce tome : on quitte l’institut Cherryton pour découvrir un peu plus la ville qui est un port entouré par la mer (et même sans les anecdotes de l’auteure sur les modèles qui l’ont inspiré on le devine assez facilement), et les zones sombres qui la composent.

On verra donc les Carni, et leurs frustrations s’exposer bien plus, quitte à agir de manière immorale (selon le point de vue). Sans en dire plus, ce tome rend l’histoire encore plus consistante : un autre événement sinistre survient faisant monter la tension dans l’institut, et le tome ouvre même des hypothèses intéressantes concernant les émois de Legoshi. À voir ce qu’il en est dans le tome 4.

Sur le blog : https://letempodeslivres.wordpress.com/2019/03/07/beastars-tome-3/

Très bon troisième tome. Legoshi devient de plus en plus intéressant, tout comme l'univers.

J'ai vraiment envie de savoir où cette histoire nous mène et d'en savoir plus sur tous les personnages présents.

Un nouveau tome avec encore cette atmosphère particulière. Comme les chapitres sont toujours exposés avec le point de vue d'un personnage, l'auteur peut présenter différentes façons de penser.

On sort aussi de l'école pour aller en ville, ce qui permet d'avoir une vue plus large sur la société.

J'ai hâte de lire la suite.

Un troisième tome qui sait se montrer intrigant : Legoshi tente de se rapprocher de la petite lapine qui lui a tapé dans l’œil, allant envers leurs instincts animaliers naturels... pour le meilleur ou pour le pire ? Et une autre femelle fait son apparition et pourrait bien changer quelque chose pour Legoshi.

Sinon on s'écarte un peu de l’académie dans ce tome pour découvrir la ville et surtout un certain lieu qui semble indispensable dans cet univers et qui révélerait le secret d'un équilibre précaire entre carnivore et herbivore... Et le personnage faisant son apparition sur la fin ne semble pas des plus amicaux envers notre héros !

Le marché noir et les agissements de Bill jettent une nouvelle lumière sur l'histoire. Et le fais que Legoshi plaise à Juno apporte un vent de fraîcheur. Pour une fois que c'est pas Louis le "beau gars sauveur".