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- Allez, Trav, arrête. Tu vas te déshabiller et te coucher.
Il partit d'un grand éclat de rire.
- C'est exactement ça !
- Tu as beaucoup bu, on dirait... dis-je en parvenant enfin à me redresser..
- Pas mal, ouais.
Il attrapa le bas de ma robe.
- "Pas mal", c'était au moins d'un litre de whisky, non ? nuançai-je en lui donnant une petite tape sur la main.
Afficher en entier- Je n'avais pas l'intention de coucher avec lui !
- Ah bon ? Et vous faisiez quoi, exactement ?
- Tu n'as jamais eu de flirt poussé avec une fille, Travis ? Tu n'as jamais joué un peu sans aller jusqu'au bout ?
Il secoua la tête, comme si je lui parlais une autre langue.
- Pour quoi faire ?
- Eh bien figure-toi que c'est un concept que beaucoup de gens mettent en pratique... en particulier ceux qui cherchent à établir une relation privilégiée.
Afficher en entierNouvel extrait chapitre 1: alerte rouge
Tout, dans cette salle, me huralit que je faisais tahce. L'escalier grinçait, les spectateurs chahutaient, serrés comme des sardines en boîte, et l'odeur qui régnait était un savant mélange de sueur, de sang et de moisi. De tous côtés, on criait des noms et des chiffres, des bras s'agitaient pour communiquer malgré la cohue, de l'argnet circulait entre différentes mains. Je suivis ma meilleure amie à travers la foule.
- Garde ton cash, Abby! me lança America.
Son large sourire était lumineux même dans la pénombre.
- Restez groupées! ça va être encore pire quand ils auront commencés, aboya Harry.
America lui prit la main, pui saisit la mienne tandis que Harry nous guidait à travers cette marée humaine.
Je sursautai quand le beuglement d'un mégaphone résonna à travers la salle enfumée. Un homme, debout sur une chaise en bois, tenait une liasse de billets dans une main, et l'appareil dans l'autre.
- Bienvenue à tous! Le bain de sang va commencer! Si vous cherchez la salle du cours d'économie de première année... vous vous êtes plantés, les mecs! Si vous cherchez le Cercle, vous avez tout bon! Je m'appelle Adam, je fixe les rêgles et j'arbitre le combat. Les paris cessent dès que les adversaires entre sur le ring. On ne touche pâs les combattants, on ne les aide pas, on ne change pas ses paris en cours de route, on ne s'aggrippe pas au ring. Toute violation des rêgles entraîne passage à tabac et mise à la porte, les poches vides! C'est valable pour vous aussi, mesdames! Alors ne vous servez pas de vos chéries pour baiser le système, les gars!
...
Afficher en entier-Non!j'étais furieuse que tu aies oublié!
il plongea ses yeux dans les miens.
-pouquoi?
-parce que si j'avais...si nous avions...et que tu ne...j'en sais rien,pourquoi!j'étais frurieuse,point barre !
il traversa la chambre d'un pas décidé,s'arréta a quelques centimètre de moi et posa ses main sur mes joues.son soufle étais court,il scruta mon visage.
-quesr-ce qu'on fait poulette?
d'un long regard,je suivis les tatouages sur son ventre et son torse,pour enfin m'arréter sur le brun si chaud se ses yeux.
-c'est a toi de me le dire.
Afficher en entier"J'ignorais ce qui le préoccupait, mais il avait besoin de moi près de lui, et lui dire non m'était impossible, même si j'en avais eu envie. Parce qu'être ainsi allongée avec lui, en cet instant précis, c'était LA réponse à toutes nos questions."
Afficher en entier- C'est difficile, pour moi, tu sais. J'ai tout le temps l'impression que tu vas te rendre compte que je suis un connard et me quitter.
[...]
- Je veux qu'un chose soit bien claire ente nous : tu n'es pas un connard, tu es un type formidable. Peu importe qui me paie un verre ou me demande de danser, ou même flirte avec moi. C'est avec toi que je rentre à la fin de la soirée. Tu m'as demandé de te faire confiance, et je n'ai pas l'impression que ce soit réciproque.
[...]
- Si chaque fois tu penses que je vais partir avec le premier mec venu, c'est que tu ne me fais pas vraiment confiance.
- Je ne suis pas assez bien pour toi, Poulette. Ça ne veut pas dire que je ne te fais pas confiance, c'est juste que je me prépare en permanence à ce qui finira par arriver.
- Ne dis pas ça. Quand nous sommes tous les deux, tu es parfait. Nous sommes heureux. Mais, tu laisses systématiquement le moindre petit incident venir tout remettre en question.
Afficher en entier- Disons juste que je te voyais plutôt du côté accusé que côté défenseur...
Afficher en entierDéjà les yeux me piquaient.
- Il va débarquer ici ! Il va débarquer Mare !
Elle voulut me serrer dans ses bras mais je me dégageai et enfouis mon visage entre mes mains.
Deux mains familières, puissantes se posèrent sur mes épaules.
- Il ne te fera aucun mal, Poulette, dit Travis. Je ne le laisserai pas faire.
- Il trouvera quand même un moyen, dit America, visiblement attristée. Il trouve toujours.
Afficher en entierJe sais qu'on est mal barrés, d’accord ? Je suis impulsif, je pars en vrille sans prévenir, et je t’ai dans la peau comme jamais personne auparavant. Tu agis comme si tu me détestais, et l’instant d’après, tu as besoin de moi. Je ne fais jamais ce qu’il faut comme il faut, et je ne te mérite pas... mais putain, je t’aime, Abby. Je t’aime plus que je n’ai jamais aimé qui que ce soit ou quoi que ce soit. Quand tu es près de moi, je n’ai plus besoin d’alcool, ni d’argent, ni de combats, ni de baise facile. Je n’ai plus besoin que de toi. Je ne pense qu’à toi, je ne rêve que de toi. Je ne veux que toi - Travis à Abby
Afficher en entier— En pleine poire ! rigola Shepley derrière elle.
America le fusilla du regard, son rire devint nerveux et il reprit :
— Enfin... je veux dire, quel connard, ce type.
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