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- Donc, tu n'es pas prêt à te poser, c'est ça ?
- Exactement.
Il sourit, avec un air redoutable. Il me dévorerait, je ne survivrais pas à une nuit avec lui.
Tant mieux, parce que ce n'est pas une option. Vagin, du calme.
Afficher en entier– Hanna, que se passe-t-il ? Qu’est-ce que j’ai fait, bordel ?
Je me tourne pour lui faire face… et je perds tout courage. Je détaille la cravate autour de son cou, sa chemise rayée.
– Rien du tout, dis-je en me brisant le cœur. J’aurais dû être honnête avec mes sentiments… ou plutôt, mon absence de sentiment.
Il écarquille les yeux.
– Pardon ?
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Afficher en entier- Mais que fais-tu?
Il fixe mes bras croisés sur ma poitrine.
- Mes seins me font mal. Je me demande comment font les garçons.
Eh bien, nous n'avons pas…
Il ponctue ses paroles d'un geste vague vers ma poitrine.
- Oui, mais le reste? Par exemple, tu cours avec un caleçon?
(…) Je n'ai jamais été très très subtile, et la présence de Will me perturbe assez pour m'empêcher de réfléchir avant d'ouvrir la bouche.
Il me regarde, l'air désorienté, et manque trébucher sur une racine.
- Quoi?
Je répète très distinctement.
- Un caleçon. Ou tu portes quelque chose de spécial pour empêcher tes parties de…
Un énorme éclat de rire m'interrompt, qui résonne dans le parc glacial et silencieux. (…)
- Ouais, pas de caleçons, répond-il après s'être repris. Ça bougerait trop là dessous. Particulièrement dans mon cas.
- Tu as trois couilles?
- Il me lance un regard amusé.
- Puisque tu veux tout savoir, je porte un short de course. Conçu pour le confort des hommes.
- J'imagine que les filles ont de la chance. Rien qui… se balance. Tout est compact.
Will éclate à nouveau de rire.
- J'ai remarqué.
source site "dans notre petite bulle"
Afficher en entier« Will a été le premier garçon que j’ai eu envie d’embrasser, le premier garçon qui m’a donné envie de passer ma main sous les draps en pensant à lui dans ma petite chambre sombre.
À son sourire diaboliquement taquin et à sa mèche de cheveux qui lui tombe dans les yeux.
À ses avant-bras musclés et à sa peau soyeuse et bronzée.
À ses longs doigts et même à la petite cicatrice de son menton.
Les garçons de mon âge avaient tous la même voix, celle de Will au contraire était grave et profonde. Son regard était intelligent et complice. Ses mains n’étaient pas toujours en train de gigoter, elles restaient généralement enfoncées dans ses poches. Il se mordillait les lèvres en regardant les filles et me faisait des confidences sur leurs seins, leurs jambes et leur langue.
Je cligne des yeux vers Jensen. Je n’ai plus seize ans. J’en ai vingt-quatre aujourd’hui, et Will trente-et-un. Je l’ai revu il y a quatre ans, à l’occasion du mariage raté de Jensen, son sourire charismatique n’en était devenu que plus intense et exaspérant. J’avais surpris, fascinée, Will sortant d’un vestiaire avec deux des demoiselles d’honneu
Afficher en entierJe m'effondre sur ma chaise. C'est ça, la vie.
Une vie qui commence pour nous : des mariages, des familles, des décisions qui font de nous des hommes, des vrais.
Ce n'est pas seulement nos jobs, nos petits plaisirs.
La vie est faite de connections, de moments forts comme ceux où vous dites à vos deux meilleurs amis que vous allez avoir un enfant.
Afficher en entierJ'essaie de réprimer le frisson qui électrise mon corps au moment précis où mon frère prononce ces mots. Je ne suis pas sûre de savoir comment je voudrais que Will prenne soin de moi. Ai-je envie qu'il joue le rôle de l'ami de mon grand frère ? Qu'il m'aide à trouver l'équilibre dans mon existence ? Ou ai-je envie de regarder avec des yeux d'adulte l'objet de mes fantasmes les plus fous ?
Afficher en entierAu moment où je pointe la salle de bains du doigt et demande : « Tu veux prendre ta douche la première ? », Hanna secoue la tête et demande en souriant :
– Tu regardais ma poitrine ?
Cette question, si anodine en apparence, est tellement intime que je sens tout mon corps se tendre.
– Hanna, non. Ne deviens pas le genre de filles qui joue avec les autres. Il y a une semaine, tu m’as dit d’aller me faire voir.
Je ne m’attendais pas à ce que ça sorte comme ça, dans la cuisine silencieuse. Ma colère bouillonne.
Elle pâlit, l’air dévasté.
– Je suis désolée…
– Putain. Je ferme les yeux. « Ne sois pas désolée, mais ne… » Je les rouvre. « Ne joue pas avec moi. »
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Afficher en entierMon téléphone vibre.
JE T’AIME.
« Je t’aime aussi, dis-je. Je suis là, espèce d’imbécile. Je ne compte pas taper ma réponse.
Il sourit, continue à taper : C’EST POUR TOUJOURS.
Afficher en entierJ'attrape son T-shirt pour le balancer par terre. Je lâche son dos, la prends par la taille et place la main sur son cœur.
Spoiler(cliquez pour révéler)- Je voudrais te dire que je ne veux être qu'avec toi. Seulement avec toi. J'ai des sentiments pour toi, qui dépassent de loin le sexe.
Elle s'immobilise :
- Non.
- Quoi ? Je fixe son dos raide, mon rythme cardiaque s'accélère, je suis irrité qu'angoissé. "Que veux-tu dire par non ?" Elle lève, s'enroule dans le drap. Mon corps se glace. Je m'assois sur le lit. "Tu... tu fais quoi ?"
- Je suis désolée. J'ai des choses à faire. Elle marche jusqu'à son armoire, prend des vêtements. 'Je dois aller travailler".
- Maintenant ?
- Oui.
- Je t'avoue que j'ai des sentiments pour toi et tu me fous dehors ?
Elle se tourne vers moi
- Je panique d'accord ? Je dois y réfléchir.
Afficher en entier- Que s'est-il passé ?
Hanna est silencieuse, je me penche la tête pour rencontrer son regard. Elle rit.
- Tu as enlevé ton T-shirt.
Je murmure, étonné :
- C'est une blague ?
- Non, je veux dire, les tatouages. Elle hausse les épaules. << Il a fait froid. Je ne les ai vus que deux fois, je les ai surtout regardés samedi et j'ai pensé... je t'ai vu... >>
- Et tu es tombée ?
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