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Chloé se penche pour attraper une paire de ciseaux sur mon bureau.
– Je reviens. J’ai une castration en attente.
– Il est à San Francisco.
Elle s’immobilise et prend une grande inspiration :
– Ça m’évitera la prison. C’est toujours ça…
Afficher en entier"J'ai rencontré une femme, mon pote."
"Donc tu vas m'en parler maintenant?"
"Hé. Peut-être."
"Tu la vois depuis un moment maintenant, non?"
"Quelques semaines, oui."
"Seulement elle?"
Je hochai la tête. "C'est un putain de bon coup et tant mieux parce qu'elle m'a dit qu'elle ne voulait pas que je couche avec d'autres femmes."
Will me fit sa grimace Bordel de Merde. Je l'ignorai.
"Mais elle est différente. Il y a quelque chose avec elle..." Je frottai ma bouche, regardant par la fenêtre. Putain mais qu'est ce qui m'arrivait aujourd'hui? "Je ne peux pas me l'enlever de la tête."
Afficher en entier– Je suis heureux que nous soyons au complet, dit Bennett en entrant, l’air d’avoir gagné le pari le plus ridicule et le plus important de tous les temps. « Belle photo, Stella.
Un bar ? »
Mes yeux s’écarquillent :
– Quoi, tu penses que la cage d’escalier du dix-huitième étage, c’est mieux ?
Il tourne la tête vers Chloé :
– Sérieux, Chlo ? Tu lui as raconté ça ?
– Bien sûr !
Elle fait un geste d’impatience. Derrière elle, Max éclate de rire :
– Tu as fait ça, Bennett ? Baiser ton assistante au boulot ?
– Et pas qu’une fois, murmure Chloé.
Max applaudit, visiblement ravi par la tournure des événements.
– Comme c’est intéressant… fait-il en regardant Bennett. C’est drôle que tu n’y aies pas fait allusion quand tu me faisais la morale la dernière fois…
Afficher en entierSpoiler(cliquez pour révéler) "Je te veux nue" lui dis-je, ne perdant pas de temps et baissant le devant de sa robe. "Je te veux nue et mouillée et me suppliant de te baiser." Je me baissai vers sa poitrine, la suçant, avant d'aller mordre son téton à travers la délicate dentelle de son soutien-gorge. "Je veux que tu cries si fort que les gens à l'arrêt de bus de l'autre côté de la rue connaitront mon nom."
Elle haleta et attrapa ma cravate, la desserrant et la tirant autour de mon cou.
"Je pourrais t'attacher avec ça", lui dis-je. "Te fesser. Te lécher le minou jusqu'à ce que tu me supplies d'arrêter." Je la regardai tâtonner avec les boutons de ma chemise, elle avait le regard affamé pendant qu'elle la faisait glisser sur mes épaules.
"Ou je pourrais te bâilloner", me taquina-t-elle avec un sourire narquois.
"Promesses, promesses", soupirai-je, prenant sa lèvre inférieure dans ma bouche.
Afficher en entierFinalement, je la regarde à nouveau. Elle m’observe avec attention. La voiture est arrêtée à un feu rouge, tout est immobile.
Et donc, dit-elle avec un sourire diabolique, tu as dit à Will que tu avais trouvé une femme qui aimait baiser en public ?
– Pas dans mon taxi ! crie le chauffeur si fort que nous sursautons tous les deux avant d’éclater de rire. Il freine brutalement, nous nous écrasons l’un contre l’autre.
« Pas dans mon taxi ! »
– Pas de malaise, mec, lui fais-je. Je me tourne vers elle et murmure :
« Elle ne me laisse pas la baiser dans une voiture. Ni un mardi. »
– Non, en effet.
Malgré cette réponse, elle me laisse l’embrasser une nouvelle fois.
– Dommage… Je suis pas mal dans les voitures. Et encore meilleur les mardis.
Afficher en entier– J’ai vu la manière dont il vous regardait quand il est venu lundi. Il serait prêt à vous offrir ses testicules pour vous en faire un collier.
Je grimace en ouvrant la porte de mon bureau.
– Je les préfère là où elles sont, mais merci pour l’idée.
Afficher en entierMax à Sarah :
" - Quand je dis " je t'aime " ça ne signifie pas que j'apprécie ce que notre liaison apporte à ma carrière, ou que j'aime que tu sois toujours partante pour baiser. Je t'aime, toi. J'aime te faire rire, te voir réagir à toutes sortes de choses, t'écouter me raconter des anecdotes. J'aime qui je suis quand je suis avec toi, et je suis sûr que tu ne me feras pas de mal. "
Afficher en entierQuand je m’approche, il me taquine :
– Tu étais en train de me mater !
Je ris en détournant le regard.
– Pas du tout.
– Pour quelqu’un qui aime être regardée dans les moments les plus intimes, tu es affreusement timide quand on te prend sur le fait.
Afficher en entier– Tu es mignon, mais va-t’en.
– Qui vous envoie des textos ?
– Tant que nous ne serons pas mariés, et tant que tu ne me payeras pas mes factures, cette question ne sera pas appropriée. Et même si c’était le cas, je ne te répondrais pas !
Afficher en entier– Je ne lui en ai pas beaucoup dit, en fait. Les conversations sérieuses avec Will finissent toujours en insultes à propos de la taille de nos pénis respectifs.
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