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— N’entre pas !
Il gémit.
— Je ne t’ai pas vue de la journée !
— Tu m’as vue il n’y a pas trois heures. Après une courte pause,
Travis tape sur la porte avec son ongle.
— Je vois un cadeau là-bas. Je suppose qu’il est pour moi ?
— Non, c’est pour Toto.
— Ce n’est pas gentil !
Afficher en entier— C’est là où tout a commencé.
— Quand je t’ai vue pour la première fois. Quand tu as mis tout mon putain de monde à l’envers. (Il se penche pour embrasser ma joue, puis il me remet une petite boîte.) Ce n’est pas grand-chose. J’ai économisé pour ça.
Je l’ouvre et un large sourire ridicule s’étale sur mon visage. C’est un bracelet à breloques.
— C’est notre histoire, dit-il.
Un pull, une paire de dés, une perle verte avec des trèfles dessus.
Je regarde Travis.
— C’est censé représenter notre pari, dit-il en indiquant le dé, et ça, c’est pour la première nuit où nous avons dansé ensemble, dit-il en indiquant une perle rouge.
La breloque suivante est une moto et l’autre un coeur.
— Pour la première fois que je t’ai dit que je t’aime ?
— Ouais.
Il semble heureux que je comprenne toute seule.
— Et celui-ci ? dis-je en indiquant un jeu de cartes. Les parties de poker de mon père ?
Travis sourit de nouveau. Le suivant est une dinde et je ris. L’autre une perle toute noire.
— Pour le moment où nous avons rompu. La période la plus sombre de ma vie.
La suivante est une flamme. Je n’aime pas penser à l’incendie, mais c’est une partie de notre histoire et donc une partie de nous. Le prochain charme est un anneau.
Je lève les yeux vers lui.
— C’est assez incroyable.
— Il y a de la place pour plus. Ceux-ci ne sont que le début de notre histoire, Poulette.
Afficher en entier- J'ai un petit quelque chose pour toi, moi aussi, alors magne-toi les fesses.
- La perfection, ça prend du temps.
- Si tu te voyais le matin, tu saurais que c'est faux.
Afficher en entier— Allô ?
— Hiya ! Je ne peux pas parler longtemps. Shep vient juste de rentrer à la maison et il m’attend pour partir. Je voulais juste te souhaiter une joyeuse St-Valentin puisque tu ne seras pas avec nous ce soir. Juste parce que tu es mariée ne signifie pas que tu ne peux pas aller aux fêtes de la fraternité, tu sais.
— Je sais, mais elles n’ont jamais vraiment été le truc de Trav, et elles ne sont certainement pas le mien. Nous ne voulons pas passer notre première Saint-Valentin à une fête, Mare.
— N’oublie pas, c’est à la fête de la Saint-Valentin de l’année dernière qui a provoqué une rencontre avec toi et M. Maddox.
Le souvenir survient en détail vif.
… et l’horreur absolue de perdre ton meilleur ami juste parce que tu as été assez stupide pour tomber amoureuse de lui.
Eh bien, je suis à toi ! Je t’appartiens.
Afficher en entier— Bébé, tu es là ?
— Oui, dans la salle de bains ! criai-je, tout enjouée, tandis que j’appliquais mon mascara.
Il frappa à la porte.
— N’entre pas !
— Je ne t’ai pas vue de la journée ! bougonna-t-il.
— Tu m’as vue il y a à peine trois heures.Après une pause, Travis tapota doucement à la porte avec son doigt.
— Je vois qu’il y a un cadeau. C’est pour moi ?
— Non, c’est pour Toto.
— Hé, c’est pas sympa, ça !
— Évidemment que c’est pour toi, ris-je
Afficher en entierTravis
- "[...] Tu m'as déjà donné tout ce que j'aie jamais désiré."
Afficher en entier— C’est là où tout a commencé.
— Quand je t’ai vue pour la première fois. Quand tu as mis tout mon putain de monde à l’envers. (Il se penche pour embrasser ma joue, puis il me remet une petite boîte.) Ce n’est pas grand-chose. J’ai économisé pour ça.
Je l’ouvre et un large sourire ridicule s’étale sur mon visage. C’est un bracelet à breloques.
— C’est notre histoire, dit-il.
Un pull, une paire de dés, une perle verte avec des trèfles dessus.
Afficher en entierIl se pencha pour déposer un baiser sur ma joue, puis me tendit une petite boîte.
— Ce n'est pas grand-chose. Mais j'ai quand même économisé pour ça. Je l'ouvris, et un grand sourire niais illumina mon visage. C'était un bracelet avec des charms.
— Ça raconte notre histoire, dit-il.
Il y avait un pull, une paire de dés, une perle verte avec des trèfles gravés dessus...Je levai les yeux vers Travis.
— C'est censé représenter notre pari, expliqua-t-il en désignant les dés, et celui-ci symbolise notre première danse,poursuivit-il en montrant une perle rouge.
Le charm suivant était une moto, auquel succédait un cœur.
— Pour la première fois où je t'ai dit que je t'aimais ?
— C'est ça. Il paraissait ravi que j'aie deviné toute seule.
— Et là ? demandai-je en désignant un jeu de cartes. Pour la partie de poker chez ton père ?
Travis sourit de nouveau. Celui d'après était une dinde, et je ne pus m'empêcher de rire. La prochaine perle était toute noire.
— Pour la fois où nous nous sommes séparés. La période la plus sombre de ma vie.
Venait ensuite un charm en forme de flamme. Je n'aimais pas repenser à l'incendie, mais cela faisait partie de notre histoire, de nos vies. Le dernier était une bague. Je regardai Travis dans les yeux.
— C'est magnifique.
— Il reste de la place pour en ajouter d'autres. Ce n'est que le début,Poulette.
Je passai le bracelet autour de mon poignet. Travis m'aida avec le fermoir, puis il pianota un instant sur son portable et l'installa sur une table non loin de là. Il posa les mains sur mes épaules, et la musique démarra. C'était la chanson sur laquelle nous avions dansé à ma fête d'anniversaire, l'année précédente.
— J'étais loin de me douter.
— De quoi ?
— Que tu étais un grand sentimental.
— Bien sûr que si, tu le savais.
J'appuyai ma tête sur son épaule. Cette fois, au moins, je pourrais l'embrasser à la fin du morceau. Lorsque la musique s'arrêta, j'effleurai ses lèvres des miennes. Puis je lui tendis un paquet rouge tout simple.
— J'aurais dû t'offrir mon cadeau la première. C'est dur de passer après le bracelet.
— Peu importe ce que c'est, Poulette. Tu m'as déjà donné tout ce que j'aie jamais désiré.
Afficher en entierTravis : “It doesn’t matter what it is, Pigeon. You’ve already given me everything I’ve ever wanted.”
Afficher en entier— La perfection, ça prend du temps.
— Si tu te voyais le matin, tu saurais que c’est faux.
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