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“Uh….” I trailed off, scrunching my exposed toes.
He shot me an impatient glare. “Oh, get on. I’ll go slow.”
“What is that?” I asked, reading the writing on the gas tank too late.
“It’s a Harley Night Rod. She’s the love of my life, so don’t scratch the paint when you get on.”
“I’m wearing flip flops!”
Travis stared at me as if I’d spoken a foreign language. “I’m wearing boots. Get on.”
Afficher en entierHe wasn’t hard to figure out; he either saw me as a challenge, or safely unattractive enough to be a good friend. I wasn’t sure which bothered me more.
Afficher en entierTu sais pourquoi c'est toi que je veux ? J'ignorais que j'étais perdu jusqu'à ce que tu me trouves. J'ignorais que j'étais seul avant la première nuit que nous avons passée tous les deux dans mon lit. Avec toi, j'ai tout juste. Tu es celle que j'attendais, Poulette.
Afficher en entier- Ce que je ressens pour toi... c'est fou.
- Fou, oui, je pense que c'est le mot, répliquai-je en me dégageant.
- J'ai pas arrêté de repenser à tout ça ce soir, sur le moto, tu vas m'écouter.
- Travis...
- Je sas qu'on est mal barrés, d'accord ? Je suis impulsif, je pars en vrille sans prévenir, et je t'ai dans la peau comme jamais personne auparavant. Tu agis comme si tu me détestais, et l'instant d'après, tu as besoin de moi. Je ne fais jamais ce qu'il faut comme il faut, et je ne te mérite pas... mais putain, je t'aime, Abby. Je t'aime plus que je n'ai jamais aimé qui que ce soit ou quoi que ce soit. Quand tu es prés de moi, je n'ai plus besoin d'alcool, ni d'argent, ni de combats, ni de baise facile. Je n'ai plus besoin que de toi. Je ne pense qu'à toi, je ne rêve que de toi. Je ne veux que toi.
J'avais prévu de feindre l'indifférence, mais ce fut un échec total, et mémorable. Comment le regarder de haut alors qu'il venait d'abattre toutes ses cartes ? Le jour où nous nous étions rencontrés, quelques chose avait changé en chacun de nous. Ce quelque chose, sans que l'on sache ce que c'était, nous avait rendus dépendants l'un de l'autre. Pour des raisons que j'ignorais, j'étais son exception, et j'avais beau lutter contre mes sentiments, il était la mienne.
Afficher en entier- Non ! Je suis juste furieuse après toi !
- J'avais bu, d'accord ? Ta peau était à trois centimètres de mon visage, tu es belle, et putain, tu sens bon quand tu transpire ! Je t'ai embrassée ! Toutes mes excuses ! Remets-toi !
Je ne pus m'empêcher de sourire.
- Tu me trouves belle.
Il eut une moue dégoûtée.
- Tu es magnifique et tu le sais. Pourquoi tu souris ?
- Pour rien. Allez, on y va ?
J'étais ravie. Travis secoua la tête.
- Qu'est-ce que ... ? Tu ...? T'es vraiment une emmerdeuse, tu le sais, ça ? s'emporta-t-il.
Afficher en entierJe sais qu'on est mal barrés, d’accord ?
Je suis impulsif, je pars en vrille sans prévenir, et je t’ai dans la peau comme jamais personne auparavant.
Tu agis comme si tu me détestais, et l’instant d’après, tu as besoin de moi. Je ne fais jamais ce qu’il faut comme il faut, et je ne te mérite pas... mais putain, je t’aime, Abby.
Je t’aime plus que je n’ai jamais aimé qui que ce soit ou quoi que ce soit. Quand tu es près de moi, je n’ai plusbesoin d’alcool, ni d’argent, ni de combats, ni de baise facile.
Je n’ai plus besoin que de toi. Je ne pense qu’à toi, je ne rêve que de toi. Je ne veux que toi.
J’avais prévu de feindre l’indifférence, mais ce fut un échec total, et mémorable. Comment le regarder de haut alors qu’il venait d’abattre toutes ses cartes ? Le jour où nous nous étions rencontrés, quelque chose avait changé en chacun de nous. Ce quelque chose, sans que l’on sache ce que c’était, nous avait rendus dépendants l’un de l’autre. Pour des raisons que j’ignorais, j’étais son exception, et j’avais beau lutter contre mes sentiments, il était la mienne.
Afficher en entierJ’entrouvris les lèvres, et laissai la langue de Travis se glisser jusqu’à la mienne.
— J’ai envie de toi, murmurai-je.
Le baiser devint plus lent, soudain, et Travis fit mine de s’écarter. J’avais cependant l’intention de finir ce que j’avais commencé, et ma bouche se plaqua plus avidement sur la sienne. Il se redressa, s’agenouilla sur le lit. Je fis de même, sans quitter ses lèvres.
— Attends, dit-il en me prenant par les épaules pour me maintenir à distance.
Il avait le souffle court et souriait légèrement.
— T’es pas obligée, Poulette. On ne fêtait pas ça ce soir.
Il se contrôlait, mais je voyais dans ses yeux qu’il ne parviendrait plus très longtemps à se maîtriser.
Je me penchai à nouveau vers lui et, cette fois, il me laissa approcher jusqu’à ce que nos lèvres s’effleurent. Je le regardai par en dessous, résolue. Il me fallut un moment pour parvenir à le dire, mais je savais que j’y arriverais.
— Ne me force pas à te supplier, murmurai-je contre sa bouche
Afficher en entier- Bon.. Il semblerait qu'on y aille quand même à cette foutue soirée de Saint-Valentin.
Je soupirai.
- Et merde...
Afficher en entierSi seulement vous pouviez arrêter vos conneries une fois pour toutes, Travis et toi, ça nous arrangerait grandement! A vous deux, vous êtes une véritable tornade! Quand tout va bien, les oiseaux chantent, c'est peace and love et compagnie. Mais quand ça merde, vous entraînez le monde entier dans la tourmente!
Afficher en entierEt c’est officiel : les blondes, les combats, les ruptures, Parker, Vegas... et même les incendies... notre couple résiste à tout !
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