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Extrait ajouté par manou4 2017-02-12T21:50:06+01:00

je n'arrivais pas à quitter son blog, ce que condamnait le Docteur Krantz, qui se plaignait souvent d'avoir à soulager ses patients d'un nouveau mal - les réseaux sociaux. Elle manquait d'outils pour nous défendre de ce qui était, selon elle, une invention diabolique mettant à rude épreuve le principe même de liberté; j'en subissais, telle une souris de laboratoire, l'expérience, elle s'en désolait, ne voyant, à court terme, aucune issue au trouble qui me rongeait.

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Extrait ajouté par manou4 2017-02-12T21:45:19+01:00

"L'amour véritable est rare et discret. Quand il survient il est aisé à reconnaître. Il rend grand alors que l'on se croyait petit. Il rend brave alors que l'on se croyait lâche. Il ne demande rien et n'attend rien en retour. Il se déploie en silence, avec lenteur. Il a tout son temps, car le temps est son allié Cet amour est une science. Elle est ardue, compliquée, mais n'est pas impossible.

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Extrait ajouté par manou4 2016-12-14T22:17:40+01:00

Il faisait froid et nuit comme si un trou dans le ciel avait aspiré la lumière pour ne plus jamais la rendre.

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Extrait ajouté par asteroidcollision 2017-08-31T22:57:59+02:00

Parfois je me demande si le bonheur existe, s'il existe vraiment, ou si nous en avons juste l'impression, la sensation, comme si quelque chose s'arrêtait en nous et que nous nous regardions de l'intérieur en nous disant : je suis heureux, je suis heureuse, je peux l'affirmer car je le ressens, dans mon corps, sous ma peau, ça pulse, file, c'est du flux qui se propage ; mais c'est juste un moment, un instant, un très court instant, comme si tous les sens étaient réunis, en alerte, pour éclairer ce bonheur si fragile qui n'existerait que dans son vol, quand il vient à nous, nu dans la lumière, comme une apparition avant de s'enfuir. Je ne sais pas s'il y a un don ou une science le concernant. S'il y a un penchant au bonheur, une nature, et s(il y a une impossibilité au bonheur, une contre-nature. Je ne sais pas si le bonheur est un, entier, grand, large et unique, ou s'il est constitué de fragments poétiques - l'odeur de l'herbe après la pluie, le premier jour de l'été, une champs de coquelicots, un ciel d'arrière-saison, un glacier bleu, la certitude de faire partie d'un tout qui avance d'un seul élan, aime d'un seul amour. Je ne sais pas si l'on peut mesurer, quantifier le bonheur. Si l'ont peut le saisir comme un objet, le serrer contre soi, l'empêcher de tomber. Je ne sais pas s'il y a des signes ou s'il survient sans prévenir. S'il existe, je crois l'avoir souvent connu reconnu quand j'étais avec Adrian, il était petit, moyen, grand, il était bruyant, silencieux, il n'était pas permanent, jamais loin, non comme une ombre, mais comme une rai de soleil caché sous un pierre. Je l'avais comme on a la grâce ou la vertu. Je l'ai perdu, ou plutôt il s'est égaré en moi, mais il reste présent comme un éclat qui ne brille plus, pour un temps, je le sais, je suis patiente et je n'attends pas, cela reviendra un jour, une nuit, parce que c'est en vie et que ça pulse, file et se propage, en silence.

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Extrait ajouté par rabanne73 2021-12-14T18:10:33+01:00

(...) combien l'amour est triste et pauvre quand il s'abîme, combien le désir est vain quand il naît de la vengeance.

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Extrait ajouté par rabanne73 2021-12-14T18:10:22+01:00

L'amour n'est ni un travail ni un édifice, et s'il l'est, il a ses fissures. On ne retient personne dans un château clos. La liberté que l'on donne à l'autre vaut toutes les promesses.

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Extrait ajouté par rabanne73 2021-12-14T18:10:05+01:00

Nous faisions l'amour sans nous en sentir obligés, il nous était impensable de ne pas le faire, de ne pas y succomber. J'y voyais un rapport d'équilibre et non de force qui maintenait la fraîcheur de notre relation.

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Extrait ajouté par rabanne73 2021-12-14T18:09:49+01:00

Elle était à lui, il restait à moi, nous étions séparés, mais réunis dans un cercle dont personne n'occupait le centre sinon Adrian quand il penchait vers l'une plutôt que vers l'autre, hésitant entre la peur de perdre et la peur de gagner.

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Extrait ajouté par asteroidcollision 2017-08-31T23:03:21+02:00

J'ai souvent pensé que ma capacité à souffrir était égale à ma capacité à aimer. Que chacune de mes larmes répondait à chacun de mes rires. Que chacun de mes tourments répondait à chacune de mes convictions. Que chacune de mes craintes répondait à chacune de mes certitudes. Que ma peine glorifiait ma joie. Tout est lié et se fait écho comme la voix qui se démultiplie dans la montagne. Cet amour-là, qui est fait d'Adrian et moi, et non d'Adrian seul, et non de moi seule, cet amour-là n'a pas disparu. Il ne se transforme pas, il est. En aimant, j'ai appris à aimer. En perdant, j'ai appris à reconquérir, non l'autre, un autre, mais toutes les parts de mon cœur pulvérisé. Je peux regarder Adrian, je peux entendre Adrian, je pourrais consoler Adrian s'il avait un jour besoin d'être consolé. Je peux toucher Adrian, je peux embrasser Adrian, alors s'il ne se tient pas près de moi : il me suffit de poser mes mains sur mes temps pour sentir battre ses tempes. Il me suffit d'appuyer sur mon ventre pour sentir la force de son ventre. Il me suffit de fermer les yeux pour danser sous ses paupières.

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