Benoît Brisefer, Tome 8 : Hold-up sur pellicule
Auteur
- Peyo (Écrivain)
- Pascal Garray (Écrivain)
- Thierry Culliford (Écrivain)
- Nine (Écrivain)
Classement en biblio - 110 lecteurs
extrait
- Allez-y, Madame Adolphine !
- Excusez-moi, messieurs !
Pardon, mon brave, je désire dévaliser votre banque ! Auriez-vous l'amabilité de m'ouvrir le coffre, s'il vous plaît ?
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Toujours adorable ce Benoit. Un tome qui m'a beaucoup plu par son originalité et sa complexité plus grande.
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Ce tome de Benoît Brisefer, personnage créé par Peyo, le père des Schtroumpfs, est pour moi une découverte. Ce petit garçon bien sous tout rapport est doté d’une force surpuissante mais son grand coeur, sa générosité et sa naïveté le mettent dans des situations rocambolesques. Et le voici en train d’assister Madame Adolphine, une vieille dame, au tournage d’un film, mais bien sûr c’est sans compter sur la bande de truands qui va essayer de braquer la banque dans laquelle le tournage se déroule.
L’histoire de cet album est bon enfant. Quelques gags et clins d’oeil parsèment l’album, mais l’ensemble est vraiment destiné à une jeune public. Ce jeune garçon est vraiment gentil et utilise son fabuleux pouvoir de manière très simple.
Le graphisme est tout aussi sympathique et plutôt bien travaillé. Le style de l’époque est reconnaissable mais nous sommes en présence d’un album très soigné avec beaucoup de détails.
Cet album est bon et ravira les jeunes lecteurs.
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J'ai beaucoup aimé cette BD là.
Elle s'adresse autant aux jeunes qu'aux adultes même si il est vrai qu'on l'apprécie sans doute plus lorsque l'on est enfant :)
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Une bd qui se détache des la autres de la série, elle est beaucoup mieux =)
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Une bande dessinee qui m'avais beaucoup plus petite, tres humouristique.
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Date de sortie
Benoît Brisefer, Tome 8 : Hold-up sur pellicule
- France : 1999-02-28 (Français)
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Résumé
Madame Adolphine est convoquée au commissariat de Vivejoie-la-Grande pour mettre définitivement au clair l'affaire Lady D'Olphine. L'inspecteur principal veut en effet comprendre pourquoi une charmante vieille femme et une chef de gang disparue se ressemble autant. Madame Adolphine, accompagnée de Benoît, explique donc au commissaire que la méchante Adolphine est en fait un robot. Les médias s'emparent alors de l'affaire. William B. Casting, président des studios Mondia-Films, et accessoirement en manque de scénarios intéressants, voit là un sujet en or pour son prochain film. Il charge alors Dino de Favoriz, son directeur artistique, d'embaucher la gentille Adolphine pour jouer le rôle de sa jumelle robot. La vieille femme, dans un premier temps réticente, finit par se laisser convaincre. Elle et Benoît prennent donc l'avion, direction les studios Mondia-Films. Les débuts de Madame Adolphine au cinéma vont être assez difficiles. En effet, la gentille grand-mère est incapable de jouer les méchants, et sa carrière d'acteur est bien vite compromise. C'est sans compter sur une bande de gangsters qui projette de cambrioler une banque où le tournage va avoir lieu...
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