Commentaires de livres faits par Berenice-1
Extraits de livres par Berenice-1
Commentaires de livres appréciés par Berenice-1
Extraits de livres appréciés par Berenice-1
Cette fois, c’était sûr, mon pavé de saumon n’avait plus aucun intérêt.
— Ils sont dans ma mallette, ajouta-t-il en pointant le doigt sous sa chaise. Je me disais que vous voudriez les voir… Je faillis faire une attaque.
— Dans votre mallette ? m’étouffai-je. Mais vous êtes dingue ! Il leur faut une proprotection plus adaptée ! Dans votre mallette ? Et puis quoi, encore ? Les sortir sur la table du resto ?
— Euh… Ça m’a traversé l’esprit, oui. Je n’y connais pas grand-chose en vieux parchemins.
Je levai les yeux au ciel. Touriste
Sa mine est si comique que je ne peut m'empêcher de sourire. On se croirait dans un épisode de la série "Kun Fu", dont ma grand-mère était fan. Inspirer je m'incline devant lui en joignant les mains.
- Petit scarabée, dis-je alors, je serais toujours à tes côtés. Mais si tu fais chier, tu l'auras t'a raclée!
brillants. S’il doit avoir des enfants, accorde-lui de vivre le
grand amour.
— Oh… Bonne idée, madame.
Elle se ressaisit. Ce n’était pas le moment de se laisser
aller.
— Adam, reprit-elle, tu rencontreras une femme qui te
comblera de bonheur et tu le lui rendras bien. Vous serez
heureux jusqu’à la fin de vos jours.
Une nouvelle vision l’assaillit alors que Lazare et Florence
échangeaient un regard radieux. La fée plissa les paupières.
— Et elle viendra vivre au manoir, conclut-elle pour ellemême. Je sens qu’on va bien rire…
Tu parles, autant essayer de monter sur le dos d’un mustang shooté au maïs transgénique.
Mais ?! Il n’a pas osé ?!
[LX : Pas avec son résultat aux 8 km, il est déjà meilleur.]
Merci, Lynx. Vous, je vais vous apprécier plus que les autres.
[SC : Je ne suis pas grosse. Juste ce qu’il faut.]
[CA : Mouais…]
Cobra, je vais vous faire découvrir le café sucré au sel si vous continuez.
Bah, ça alors ! UN combat, comme c'est original... Il faut changer un peu ! Pourquoi pas une parti de dominos ? Une charade ?
Le guerrier se plaça face à moi.
Une partie de loup-garou de Thiercelieux ! Ouais, vous n'êtes pas trop loup-garou... je comprend !
— Il faut avouer qu’elle est plutôt douée dans ce domaine, avoua Sunny en se matérialisant soudain à leur côté, faisant sursauter Liam au passage. Elle y met même un niveau de poésie inégalé.
— Rillettes de bouc ! lançais-je au même instant, attirant involontairement l’attention du trio.
— Et inégalable, admit Liam malgré lui.
Nos sœurs nous ont déjà pris en flagrant délit pendant l’un de nos "raids" mais chacune réagit différemment.
Kriss détourne le regard et fait style « j’ai rien vu, rien entendu ».
Sunny nous regarde fixement pendant de longues secondes, nous fait remarquer en une courte phrase un point faible de notre plan que nous n’avions pas pris en compte. Puis, elle s’en va tranquillou, en nous laissant planter là, totalement désemparés.
Kacey, toi, tu nous prêtes main forte et t’améliores même notre plan de départ. Au final tu transformes une bêtise originale en un chef-d’œuvre artistique.
— Détendeurs ?
— OK !
— Profondimètre ?
— OK !
— Lampe frontale ?
— OK !
— Bouteilles, ceintures et lests ?
— OK !
— Préservatifs ?
— Manny, bon sang !
— Quoi ? Ça peut être utile, vous savez
Buck et la fille tournent brusquement la tête vers moi, tout comme la moitié de l’équipe. J’ai dû parler
un peu trop fort. Et à en juger par le sourire de Buck, je dois être rouge comme une tomate. Tant pis si je
viens de me taper la honte : son soulagement et l’incrédulité de la fille sont assez plaisants. La pouffiasse
marmonne quelque chose et le visage de Buck s’assombrit.
— C’est ma sœur.
La fille paraît soudain plus mal à l’aise qu’énervée ; elle s’excuse, puis s’éloigne en chancelant sur
ses talons exagérément hauts.
Buck se laisse tomber sur la chaise à côté de la mienne et pose un bras sur mon dossier.
— Merci de m’avoir sorti de là. J’ai bien cru qu’elle allait me sortir la bite du pantalon.
Je m’esclaffe.
— Quelle importance ? Ton micropénis est tout juste visible à l’œil nu. Si je suis venue à ton secours,
c’est parce que j’ai horreur de t’entendre pleurnicher chaque fois que tu fais une poussée d’herpès.
Un mouvement dans mon champ de vision attire mon attention : l’un des coéquipiers de Buck vient de
s’asseoir à côté de moi. J’espère qu’il ne m’a pas entendue dire du mal de la bistouquette de Buck
apparut comme par magie devant moi. Dans les toilettes ! Fermées à clef de l’intérieur !
Je hurlai à nouveau, me levai d’un bond, attrapai les rouleaux de papier toilette disposés en pile sur
l’étagère et les lui lançai les uns après les autres.
C’était ridicule. Mes rouleaux de papier toilette ne pesaient pas lourd, face à ses deux énormes
épées !
— Que voudrais-tu que je fasse ? Que je crie à tue-tête : « Oyez oyez, votre Assayim est la Reine des sorcières de guerre Vikaris alors, les méchants, prenez garde à vos fesses » ?
— Par exemple…
Je levai les yeux au ciel en imaginant la panique qu’une telle déclaration risquait de provoquer parmi la population surnaturelle locale. Pour des raisons étranges, les gens surréagissaient dès qu’on prononçait le mot « Vikaris »
— Nan, mais tu vas me le dire.
— Il ne donne pas de petit nom à son flingue ! J’étais sûr que tous les flics faisaient ça.
— Tu voulais qu’il l’appelle comment ? Popole ?
— Hein ?!
— Ben, ouais, c’est connu que les flics ont le même rapport avec leur flingue qu’avec leur queue.
— Tu es tarée, Pascaline, plus tarée que moi.
— Mais non, pas du tout. Je suis réaliste. Toi, tu planes à quinze mille !
— Moi, malade ? Mais non, mon chou. Je suis un ange, je te le jure. Les cornes ne servent
qu'à faire tenir mon auréole. Cela dit, je pense qu'il vaudrait mieux pour vous que vous évitiez
de revenir à la charge. En tout cas, pas tant que vous n'aurez pas au moins appris à vous
torcher tout seuls.
La Taupe cracha ce qui devait certainement être une insulte mais qui resta incompréhensible
pour Taryn. Était-ce à cause du coup à la gorge ou de celui dans les parties ? Les deux, peut être.
Cette gamine le laissait souvent sans voix ! Quel vocabulaire ! Elle lui fit un dernier bisou alors qu’il reboutonnait sa chemise.