C'est là où j'ai regardé mes chats d'un autre oeil

punaise, IMPOSSIBLE DE LE TROUVER EN EPUB !

J'avoue que là, j'ai été déçu, j'avais l'impression très nette de voir un écrivain qui venait de se rendre compte que la mort est inéluctable...

Et on sort un roman pseudo-philosophique, et qu'allait faire Merle là-dedans ? Telle est la question qui me turlupine.

Bref, j'ai trainé ce roman, voire essai ?! ? Je l'ai traîné, comme un boulet, ayant l'impression d'assister aux derniers jours d'un irradié d'Hiroshima...

Pénible, ce fut pénible.

392 pages que j'ai du littéralement traîner comme un boulet, une écriture pénible, chaotique, on l'on sent un mec scribouillant des suites de mots s'essayant à un genre pouvant plaire à Ho ou Bollywood: les pans-pans mode SAS Prince Malko..

Certes, ici, l'écrivain n'utilise pas le sexe contrairement à de Villier, et pas d'explosion de bagnole façon U.S.A, mais quelle lourdeur mon dieu, quelle lourdeur....

Je n'ai jamais rencontré, en tant qu'aspirant docteur en astrophysique de détournement de formules toutes faites prêtées à des scientifiques...

Je me suis senti insulté dans mon intelligence, autant je pouvais prêter l'oreille à un Dos Santos dans la formule de Dieu, autant ici, j'ai senti qu'on essayait de mettre une autoroute dans mon cul !

Un peu long vers la fin ! Ça tournait trop en poum! Poum! Badaboum, que je te tue....

J'aime ce passage...

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"Et voilà que pour réaliser son rêve, il avait dû y semer l’horreur et la désolation. Ce n’était d’ailleurs pas fini, car il avait encore besoin, pour ses usines et ses chantiers, d’abattre des forêts qui serviraient à fabriquer du carburant, du papier et du charbon de bois. Toute la végétation de son territoire avait déjà été utilisée, ainsi que la presque totalité des réserves des Etats limitrophes du Cernskujo, au nord, et du Publiujo, au sud. Pour faire face aux nouveaux besoins, ils allaient peut-être devoir déclarer la guerre à d’autres territoires. S’ils refusaient de conclure des accords commerciaux, la seule solution serait de les envahir pour leur prendre leur bois. Sam aurait préféré agir autrement. Il détestait la guerre par principe. En pratique, il la supportait à peine.
Mais s’il voulait construire son bateau, il lui fallait du bois pour alimenter ses usines."

Et là, on peut se poser des questions..

Ben voila, je viens de cloturer la 2eme vie extra-terrestre de Sir Richard Francis Burton.

Et je m'empresse, que dis-je, je cours vers le 2eme tome

La droiture, le sens de l'autre, l'intérêt commun et ne plus égoïste, telles sont les règles de morale qu'un pauvre prof paumé de province, amoureux d'une fillette du directeur de l’établissent où travaille Topaze.

Et une jour.... Un histoire de paire de gant fera versé dans le camp maudit ou pas, son compagnon d'infortune.

Blip! blip! Ouais? Des règles ?

C'est quoi ce binzz pense le robot qui s'éveille !

Je suis près du soleil, et l'on me demande de respecter quoi ? Des bipèdes mammifères, alors que mon rôle est de transmettre l'énergie à travers l'espace jusqu'à un point programmé dans mon cerveau !

Ca y est, t'as eu ce putaing de job, tu es rentré dans le cirque, mais devoir te lever, avec un kapo, plein de rancœur, sa femme ne veut plus baiser, trop de moutards à torcher le cul! Cette vie médiocre, ce temps qui joue à je pisse ou je chie... Les pieds dans les inondations, quelle vie de con !

Et Charles retransmet ça dans un esprit tellement vrai...

A lire

Schmitt nous cite; "Je suis toujours réticent quand on me parle de progrès.Plus les hommes savent de choses, moins l'individu en sait."

Or, Noam, puisqu'il apparait dans le Liban,sait que le sapiens moderne à accès à un machin qu'on appelle intertruc, chose, pardon, internet..

Et pardon à monsieur Schmitt... sans intermerde, pardon, internet, nos gosses seraient dans la merde !

Ce que Noam dénonce, surtout dans le tome 2, c'est le consumérisme qui consomme la Terre, mais la modernité n'en est pas la cause, la cause comme dirait Barjavel, comme vous, en parlant des intermédiaires, c'est le commerce.

Je me permettrai de citer un texte du nouveaux testament qui n'est pas écrit pas vous: Et Jésus bouta tous ces marchands en dehors du temple à coups de pieds dans le cul !

Amen !

Peu avant la Fac', j'ai lu Candide, et ce "Il vaut mieux cultiver son jardin" m'a paru d'une lâcheté sans nom.

Certes, à l'âge de mes poils gris, je pourrai rejoindre cette philosophie, mais non, cette couardise...

Je relis l'ensemble des 5 tomes de Farmer, et j'adore l'introspection que l'auteur arrive à allumer au sein du lecteur qui joue le jeu: Que vaut l'Humanité ? Cette interrogation à travers Sir Burton, le antisémite, mais pas tant que cela ? Je ne pense pas qu'à la fin de mon adolescence, en fac', j'y aie été sensible, mais à l'aube de mes ans, après avoir roulé ma bosse, en tant qu'ingénieur, et en tant qu’apatride, j'avoue ne plus trop reconnaitre ma place au milieu de ce consumérisme ( dénoncé d'ailleurs par Farmer sur la quasi fin des humains avec la pollution des océans, disparition de l'oxygène, et les famines qui apparaissaient).

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— C’est vrai qu’il y a les juifs, fit Goering en traçant dans l’air avec sa pipe un arc de cercle insouciant. Mais l’ennui, avec eux, c’est qu’ils me connaissent trop bien. Ils se ferment quand j’essaye de leur parler, et trop d’entre eux ont déjà essayé de me tuer pour que je puisse me sentir à l’aise en leur présence. Croyez-moi, je n’ai rien contre les juifs en général. Je ne prétends pas les aimer particulièrement, mais je comptais parmi eux quelques bons amis qui...

Un mec qui écrit un roman qui est plutôt un essai sur l'Histoire, mais qui ne ma pas convaincu

Pas mal, j'aime bien les petits détails qui peuvent changer la donne, comme la patate, depuis, je regarde ce tubercule avec plus de respect.

J'adore cette description de l'ancienne Angleterre, et puis, certes, tout le monde connait la fin, mais bon, savoir que les petites bébêtes peuvent nous être utiles est rassurant.

Mon avis ? Il équivaut à celui de tout bon informaticien ! 42 !!

Un livre intéressant, thème original à l'époque (je vous parle du siècle passé), et du bon Ph.K Dick à souhait

Je sais pas trop...

Ca reste curieux, c'est encore l'écrivain qui dénonce... semblant vouloir être confondu avec un Bukowski, mais tournant des fois à la Sana...

Chouette lecture, un peu décapante, mais pas de trop.

En final, je ne connaissais pas trop Sim, écoutant rarement la radio

Le Clavel déprimé !

Du grand Louys...

Un livre noir en final ! Une écrivaine, qui par sa jeunesse, ne se fait aucune illusion sur l'humanité...

Jolie fable poétique, tenant la taille d'une nouvelle, un peu ironique, mais, bien fraîche

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Et jamais les extraterrestres ne se doutèrent que ces végétaux majestueux continuaient à dialoguer entre eux par télépathie. Car ces arbres avaient gardé la mémoire de l’époque où, au début des âges, ils avaient été des animaux agités, courant et piaillant sans cesse.
Jamais les extraterrestres ne surent que, toutes les nuits, aux heures les plus fraîches, quand la sève coulait plus lentement dans les troncs, les arbres rêvaient de cette époque dont la mémoire était enfouie au cœur de leur bois, au plus profond de leurs racines…

A quand le 3eme tome ? On en veut encore, on en redemande !