In the darkness of my bedroom, I knew that it wasn't just answers I wanted.
It was him.

We're all works in progress, Diaz. We're all broken and bleeding and trying to fix ourselves up into something human.

Traduction personnelle, ce n'est pas parfait! -.-

"Le vois-tu, Tate?"
"Quoi?"
"Le ballon." Jared a pris ma main et me tira à travers le cimetière. J'essayais de ne pas penser à ce qui était sous mes pieds alors que nous traversions le cimetière, mais tout ce que je pouvais imaginer étaient d'horribles zombies surgissant de la terre.
"Jared, je ne veux pas être ici," Je soupirais.
"Ça va bien aller. Tu es en sécurité avec moi. » Il sourit et passa son regard sur le champ de pierres tombales.
«Mais ...» Je regardai autour, la peur au coeur.
«Je tiens ta main. Que veux-tu que je fasse? Changer ta couche, aussi? "Dit-il d'un ton sarcastique, mais je ne le prends pas à cœur.
"Je n'ai pas peur." Ma voix sonnait défensive. "C'est juste que ... je ne sais pas."
«Regarde cet endroit, Tate. Il est vert et calme. " Jared regarda autour des terrains avec un regard nostalgique sur son visage, et j'étais jalouse qu'il pût voir quelque chose ici que je ne pouvais pas.
"Il y a des fleurs et des statues d'anges. Regarde ce marqueur. "Il pointa. «Alfred McIntyre né en 1922 et mort en 1942.« Il n'avait que vingt ans. Te souviens-tu que Mme Sullivan a déclaré que la Seconde Guerre mondiale a été entre 1939 et 1945? Peut-être qu'il est mort à la guerre. Toutes ces personnes avaient des vies, Tate. Ils avaient des familles et des rêves. Ils ne veulent pas que tu ai peur d'eux. Ils veulent juste qu'on se souvienne de leur existence ".
Je tremblais comme il m’entraînait plus profondément dans le cimetière. Nous sommes arrivés sur un brillant, marqueur noir orné d'un ballon rose. Je savais que mon père est venu ici pour visiter, mais il pose toujours des fleurs sur la tombe.
Qui avait laissé un ballon?
«J'ai apporté un ballon à ta mère, hier," admit Jared lisant de ma tête.
«Pourquoi?» Ma voix tremblait. C'était agréable de lui faire quelque chose comme ça.
"Parce que les filles aiment les trucs roses.» Il haussa les épaules. Il ne voulait pas attention. Il n'en a jamais voulu.
"Jared," je grondais, en attente d'une vraie réponse.
Il sourit à lui-même. "Parce qu'elle t'a fait." Et il enveloppa son bras autour de mon cou maigre et me tira dans son côté. "Tu es le meilleur ami que j'ai jamais eu, et je voulais lui dire merci'."

« Elle ne se rendit pas tout de suite compte qu’elle s’était endormie, si bien qu’elle crut qu’elle rêvait. Quelqu’un la touchait. Un geste tendre, une caresse du bout du doigt, sur sa joue et ses lèvres…
Soulevant les paupières, elle découvrit Shane, accroupi près du sofa. Il avait les cheveux, comme toujours, ébouriffés, il sentait la viande grillée et le charbon de bois. Et Claire n’avait jamais rien vu d’aussi beau que son sourire.
— Salut, ma dormeuse, murmura-t-il. Il est 3 heures. Eve a pensé que tu avais été enlevée par des vampires, et ça, c’est parce que tu n’as pas fait ton lit ce matin. J’ai l’impression que j’ai une mauvaise influence sur toi.
Elle entrouvrit les lèvres et il suivit leur contour de l’index, lentement. Elle ne dit pas un mot. Le sourire de Shane s’élargit.
— Je t’ai manqué ?
— Pas une seconde. J’avais envie de calme et de tranquillité. Je n’ai même pas remarqué ton absence.
Il plaqua les deux mains sur son torse, affectant d’avoir reçu une balle en plein cœur et s’effondra sur le parquet. Claire se laissa glisser de la banquette pour s’asseoir à califourchon sur lui. Il refusa d’ouvrir les yeux tant qu’elle ne lui eut pas donné un long baiser passionné. Au moment de s’écarter, elle lui demanda :
— Tu as dîné ? 
— Non, et je ne serais pas contre un petit encas.
— Eve nous a rapporté des sandwiches de la fac. Il doit en rester un pour toi.
— Je ne parlais pas de ce genre d’encas…
— Les mecs… Vous ne pensez vraiment qu’à ça ?
— Aux encas ?
— C’est le nom de code des gens cool ?
Il partit d’un grand éclat de rire qu’elle sentit résonner dans son propre corps. Shane ne riait pas souvent, sauf quand ils étaient ensemble. Elle adorait voir l’étincelle dans ses yeux noisette et la courbe de sa bouche. »



Extrait de : Rachel, Caine. « Vampire City 9 - Ville fantôme. » iBooks.
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Elle fesait plus d'effet à Nash, pas besoin d'être extralucide pour s'en apercevoir. Il était hypnotisé, le front en sueur, et ses prunelles tournayaient sous le coup de l'émotion et qui sait? du désir.

-C'est après lui que je suis furieux, dit-il. J'aurais dû venir seul. Je ne m'attendais pas à ce qu'il s'intéresse à toi.
(...)
-Pourquoi? Parceque je ne suis qu'une sorcière hurlante?
Nash m'attira à lui et me pressa contre la voiture. Puis il m'embrassa si fort qu'il m'en ôta le souffle.
-Tu n'imagines pas à quel point tu es belle, murmura-t-il tout contre mes cheveux.

-Maintenant, si vous voulez bien m'excuser, reprit Tod. Il faut que j'aille rendre veuve une pauvre femme.

-On vient ensemble, on reste ensemble, on repart ensemble.

Tod me serra fort contre lui avant de me lâcher. Je fis demi-tour pour lui faire face.
-Merci. Je te dois une fière chandelle.
-Non, répondit-il. C'est toi qui as été fantastique.
Dans ses yeux, le bleu de ses iris dansait lentement.

C'est alors que des bras se refermèrent autour de moi.
Des bras forts et rassurants.
Tod était revenu et se tenait derrière moi.
-Je te tiens, me murmura-t-il à l'oreille au moment oû Avari fondait sur nous.

Je ne vais pas te mordre, me lança Nash.

Jusque-là, on ne pouvait pas dire que mon année de première avait été des plus sereines: j'avais dû affronter des hordes d'être malfaisants déterminés à me voler mon âme.

Néanmoins, je m'aurais jamais imaginé que le pire était encore venir.

Qu'il me restait encore à affronter la plus enragée des créatures que j'ai eu à combattre.

Une chose de cauchermar.

Ou plutôt échappée d'un cauchemar.

Tout a commencé par une histoire de footballeur ivre et de voiture bonne pour la casse. En tout cas, c'est ce que je croyais. Mais, comme d'habitude, les choses se sont révélées un peu plus compliquées que ça...

Avant, j'étais persuadée que rien de pire que la mort ne pouvait m'arriver. Je croyais aussi que c'était ce qui m'arriverait en dernier. Mais, à force de fréquenter des Faucheurs, des cauchemars et mes congénères banshee, j'ai fini par comprendre que je me trompais sur toute la ligne...