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Commentaires de livres faits par bettyboop17

Extraits de livres par bettyboop17

Commentaires de livres appréciés par bettyboop17

Extraits de livres appréciés par bettyboop17

Quand on croit quelque chose sur soi, que ce soit en positif ou en négatif on se comporte d'une manière qui reflète cette chose.

On la démontre aux autres en permanence, et même si c'était à l'origine une création de l'esprit, cela devient la réalité pour les autres, puis pour soi.
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Suivre sa voie afin de pouvoir ensuite se réaliser pleinement, c'est parfois comme gravir une montagne : tant qu'on ne l'a pas fait, on ignore les efforts que cela exige accentuent la satisfaction que l'on ressent à l'arrivée.

Plus les efforts sont grands, plus intense sera le bonheur, et plus longtemps il sera gravé en nous.
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- Nous sommmes là depuis toujours, affirma Minnie. Premier Homme et Première Femme ont jailli de cette terre après le Grand Déluge.
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Les indiens warm springs, qui vivaient dans la région, affirmaient que les vieux os recelaient un pouvoir maléfique. Qu'il était facile de réveiller ce pouvoir, mais presque impossible de le plonger à nouveau dans le sommeil.
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Mon père, je l'ai senti aussi parce que depuis que je sais mamrcer je me suis exercé à le deviner avant qu'il se jette sur moi. Sinon, un jour, pour de vrai, il m'arrivera ce qu'il me dit toujours quand il est saoul : "je te ferai la peau, sale mioche, je te la ferai, la peau !"
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Des fois, mon prof m'explique que rêver, c'est drôlement important, mais faut que ça reste du rêve, faut pas que ça devienne de la fuite. Sinon, je serais mal dans ma vie.
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Ca sert à rien de dire ou de riposter, j'aime pas les bagarres, les guerres,les gens qui crient et gesticulent.

S'ils se voyaient, Ils s'arrêteraient tout de suite. Mais ils se voient jamaient. Ils piquent leur crise c'est tout. Ils ont l'air nuls.
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C'est comme si on a pris un train, qu'on voyage dans un autre monde, à côté du monde, et que je lui raconte ce que je raconte jamais, des mots que je garde cachés de l'autre côté de moi.

Des mots que j'ai retenus derrière une digue, et li y en a eu tellement qu'ils ont fait un- raz- de -marrée , comme pendant la tempête de l'autre année.
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Ange, il est interdit de penser à la place des autres. Il est interdit de deviner ce qu'ils décideront ou ne décideront pas. Il est interdit de choisir en son nom.

Par contre, il est permis, et recommandé, et même parfois vital , de se demander, à soi, ce que l'on désire.
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Rentrée des classes , bof. En fait, les réjouissances continuent. Nous prenons un car de ramassage, Matt et moi, trés tôt : sept heures et quart. Ce car s'arrête dans un tas de villages et de hameaux avant d'arriver à Aubusonn à huit heures dix. Juste deus minutes avant que la sonnerie du lycée retentisse.
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A la maison, le champ de bataille s'est étendu. Le maçon abat des cloisons, en remonte d'autres, cinquante centimètres plus loin. Il travaille au rythme de la radio qui braille un tas d'anonces locales plus débiles les unes que les autres
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La preuve : elle avait craqué sur des souliers qui, comme des cartes postales, avaient le pouvoir de l'emener vers de fabuleux voyages.

Des souliers de princesse. Mais lady Di n'avait sans doute jamais attendu le bus.
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Bah l'amour c'est comme les chips. C'est vite périmé, et au bout d'un moment ça n'a plus de goût, assura la vieille, qui en connnaissait un brin sur la question p25
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Marcel avait toujours estimé que les bistrots devraient être classés d'utilité publique, au même titre que les hôpitaux. Merde, c'est pire qu'au Sahel ici ! p19
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Dites, z'auriez pas une autre bière ?

- Non. Les autres ne sont pas au frais.

-Pas grave, j'ai soif.

- Faut payer.

- Je vous ai dit que demain.....

- Demain n'est pas mon ami, décréta la mémé. On ne sait jamais ce qui peut arriver p27
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Les langoustes leur de leur migration dans les eaux profondes se mettent à la queue leu leu et s'enchaînent entre elles, les antennes de l'une protégeant l'abdomen de celle qui la précède. Ainsi cachées, elles avancent, loin de la fureur des ouragans. Elles se nourrissent de tout ce qu'elles trouvent dans les fonds marins.... Et s'il n'y a rien, elles se transforment en cannibales. Prédatrices capables de faire n'importe quoi.
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A Cuba, les jours de vent, on capte toutes les chaînes de Miami. Il commençait à souffler fort et c'était bientôt l'heure de Beverlly Hills.

Ton père ne m'a pas crue, et il m'a accompagnée tout le chemin jusqu'à la Habana Vieja. Quand on est arrivés, mes frères étaient sur le toit en train de régler l'antenne. Ton père a dit à Bruno de grimper.
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La tribu d'où vient mon arrière-grand-père disait que lorsque quelqu'un meurt, il doit être libéré par ses descendants et offert à l'univers. Ceux qui ne libèrent pas leurs morts sont paralysés. Ils n'ont plus envie de vivre et se retrouvent comme ta mère, sans énergie, sans goût à rien...
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date : 23-05-2013
Après le pont, le village tout entier s'enroulait autour de l'église et de son clocher roman sur lequel la lumière de juin posait de délicates teintes rosées ainsi que sur les tuiles des toits dont la couleur représentait aux yeux de Maréchal une des plus sûres signatures de ce qu'il aimait à nommer le Sud, nom qui depuis toujours résonnait à son coeur avec bonheur.
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date : 18-04-2013
Je sais. Les pipes se cassent, les portes claquent, les cyclistes crèvent, les alpinistes dévissent, les magiciens disparaissent, les RMistes sont fauchés, les pompiers s’éteignent, les astronautes montes au ciel... Simples jeux de mots faciles ! Mais les assassins, eux ? Ce sont les croque morts spécialisés indispensable à notre société ?
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date : 18-04-2013
J'ai palpé du nez ma ville adorée ! Celle à laquelle je pardonnais tout. Les indélicatesses de son opulence. Son dédain ostentatoire de parvenue. Ses allures humaines d'arriviste. Son talent d'aguicheuse. Ses provocations estivales de pompe à fric. Ses camouflages en bourgeoisie vénitienne. Et même ses meurtriers indispensables à ses statistiques policières !
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date : 18-04-2013
La vie est une page blanche sur laquelle se baladaient des taches noires. La violence, le viol, la came , le meurtre. les déglingués, les déjantés, les normaux qui déraillent soudain. Tout ce que l’imagination de l'homme avait pu inventer pour raccourcir une existence de toute façon à néant programmé. Dans ce monde à mi-chemin entre le paradis et l'enfer., des forces irrésistibles semblaient vouloir détruire l'humanité. La guerre et le fanatisme répandaient partout l'acide corrosif de la haine et de la violence.

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date : 14-04-2013
Tu vois, il n'y a pour l'homme que trois événements réellement importants dans son existence : naître, vivre et mourir. Mais tout est frustration. Il ne ses sent pas naître, il oublie de vivre, et il souffre de devoir mourir !
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date : 14-04-2013
Dana, les Winthrop sont une légende. Si ce pays avait une famille royale se serait la leur. Ils ont inventé le charisme. Ils étaient célèbres dans le monde entier pour leur générosité de philanthropes et les services qu'ils ont rendu au gouvernement. Gary projetait de suivre les traces de son père et d'être candidat au Sénat, et il serait parti grand favori. Tout le monde l'adorait. Maintenant il a disparu.
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date : 14-04-2013
le site de la demeure de Taylor Winthrop, dans Conundrum Creek Valley était entouré par les terres de La national Forest. Il s'agissait d'une construction de plain-pied en pierre de la région et en séquoia, située dans un endroit charmant, à l'écart, et agrémentée d'un grand étang à castors et d'un ruisseau qui traversait toute la propriété. Le panorama était spectaculaire. Et au milieu de toute cette beauté, comme une cicatrice obscène, s'élevaient les vestiges calcinés de la maison où deux personnes étaient mortes;
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Le rouge des pêchers en fleur couvre les monts,
Monts qu'au printemps du fleuve en coulant l'eau caresse.
La fleur s'ouvre et se fane, ainsi que vos passions ;
Et l'eau coule sans fin, ainsi que ma tristesse.
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