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Bienvenue à Cotton's Warwick



Description ajoutée par kymmy38 2016-12-16T17:21:21+01:00

Résumé

"Ici, il n'y a rien. Excepté quelques fantômes à la peau rougie de terre, reclus dans le trou du cul de l'Australie. Perdus au fin fond du Northern, ce néant où la bière est une religion et où les médecins se déplacent en avion." Australie, Territoire du Nord. Dans l'Outback, on ne vit plus depuis longtemps, on survit. Seize hommes et une femme, totalement isolés, passent leurs journées entre ennui, alcool et chasse. Routine mortifère sous l'autorité de Quinn, Ranger véreux. Tandis que sévit une canicule sans précédent, des morts suspectes ébranlent le village, réveillant les rancœurs et les frustrations. Sueur, folie et sang. Vous n'oublierez jamais Cotton's Warwick.

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Classement en biblio - 16 lecteurs


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Commentaires récents

Or

Me voici une fois de plus dans un trou du cul !

Le trou du cul de l'Australie, pour être précise, et je dirais même plus : le trou du cul du trou du cul du Northern australien (le Southern doit avoir son propre trou du cul).

Les trous du cul du monde, j'ai ai lu. Je pensais avoir touché le fond avec les dingues de "Pottsville, 1280 habitants", j'avais déjà connu des dégénérés avec ceux de "Cul-de-sac" dans le bush australien, mais là, je viens de gagner la floche et un tour gratuit de tous les villages trous du cul du monde !

17 habitants… 16 hommes, une femme, et oubliez la femme qui est protégée par le chef du bled ! Messieurs, il ne vous reste plus que votre poignet, un cochon ou bien un autre homme (un qui ne sait pas se défendre) pour vous vider les baudruches. Gaffe, le canal carpien menace.

Bienvenue à Cotton's Warwick ? Tu parles ! Moi, je mettrais plutôt un "Fuyez, pauvres fous" ou un "Attention, crétins congénitaux alcoolos – DANGER", ou "Vous qui arrivez ici, oubliez toute espérance", bref, des avertissements en rouge fluo pour prévenir le pauvre connard qui voudrait aller s'échouer là, pensant trouver un coin tranquille.

Tiens, d'ailleurs, le roman, Michaël Mention aurait pu le nommer "And Then There Were None" tant les 17 personnes vivant dans ce trou paumé du trou du cul de l'Australie vont avoir l'impression d'être dans un remake d'Agatha Christie, genre "Dix-sept petits crétins congénitaux".

Et non, l'histoire n'aurait pas eu le même impact dans un trou du cul de l'Amérique car les road train sont une exclusivité de la belle Australie. Les kangourous aussi et les razorback pareils.

La plume de Michaël est fidèle à elle-même. Inimitable. Et. Toujours. Égale. Elle ne plaira pas à tout le monde, il a son style et il me plait.

Ses personnages sont bien campés, ce sont des sortes de redneck version australe, des résidus d'accouplement congénitaux, tous les hommes se retrouvant seuls car leurs femmes se sont suicidées. J'aurais fait pareil, ma foi, perdue dans ce bled tellement paumé que même Dieu à dû l'oublier.

Si je pensais entrer dans un roman noir "traditionnel" et m'en prendre plein la gueule, le pari est "raté" car si j'en ai bien pris plein la gueule, je me suis retrouvée dans un roman noir qui a quitté la piste « traditionnelle » pour s'enfoncer dans le bush et les plaines arides de l'Australie. du hors piste !

Je ne m'attendais pas du tout à ÇA, j'ai écarquillé grand mes yeux et je n'ai plus su lâcher le roman, tant je voulais arriver à la fin, et tant pis si la dernière partie en huis-clos puait l'oppressant, la carcasse animale, le sang, le vomi, et la merde.

Je voulais de l'oppressant ? Là j'ai été plus que mieux servie ! Atmosphère garantie, âmes sensibles s'abstenir ou se blinder le cuir avant de commencer.

Bienvenue à Cotton's Warwick, étranger… si tu es une femme, tu seras reluquée par 15 hommes (on a un aveugle, il ne compte donc pas), violée dans leur tête, ils imagineront ta chatte dégoulinante et ce qu'ils pourraient lui faire. Si tu es un mec, cavale ! Fuyez, quoi, pauvres fous et folles !

Bienvenue à Cotton's Warwick où la température monte jusque 57° et est déjà à 48° à 7h du mat'. Bienvenue chez les tarés, les fous, les crétins, chez ces gens qui passent leur journée à boire, à fumer, à se branler, à causer, mais qui réfléchissent jamais.

Bienvenue en Enfer… Là, je viens d'en sortir et j'ai la gorge plus sèche que le désert australien et les tripes nouées, liquéfiées.

Bienvenue dans le dernier roman de Michaël Mention qui est sorti des sentiers habituels pour nous emmener là où j'aurais jamais osé aller.

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Lu aussi

Ce véritable pulp, à l'outrance et au côté dégueulasse assumés, est servi par une écriture pleine de créativité pour nous plonger non seulement dans l'horreur la plus crue, l'immoralité la plus totale, mais aussi la folie sans limite. Cotton's Warwick est une cocotte-minute sur le point d'exploser, un huis clos bien crade, aux allures de "Dix petits nègres" trash, à déconseiller aux âmes sensibles.

http://appuyezsurlatouchelecture.blogspot.fr/2018/02/nous-sommes-les-desesperes-ceux-qui.html

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Commentaire ajouté par Janvilia 2018-02-11T16:39:45+01:00
Bronze

J'ai acheté ce livre au salon du Polar du Lavandou après une petite discussion avec son auteur, très sympathique. Cependant, je confirme aussi que la violence m'a pesé de plus en plus en avançant dans le récit. Ce n'est pas mon style de lecture habituelle mais je reconnait que Michael Mention sait jouer avec le suspens! J'ai par contre apprécié le climat musical dont il baignait quelques scènes au point d'écouter les titres cités en lisant les chapitres. Immersion...

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Commentaire ajouté par stoufnie 2017-03-22T20:32:19+01:00
Bronze

J’ai découvert Michaël Mention avec son superbe Le carnaval des hyènes un regard sombre sur la société et ses médias. Puis j’ai lu Jeudi noir qui m’a un peu moins enthousiasmé, le sujet me touchait beaucoup moins puisqu’il traite de la demi-finale de foot de 1982 . Avec ce nouveau roman, il y a une chose incontestable que l’on peut dire, c’est qu’il peut tout écrire ! Sa plume s’adapte tel un caméléon à l’histoire qu’il souhaite nous faire vivre. Que l’on aime ou que l’on n’aime pas le sujet, Michael Mention est un grand auteur !

Pour revenir à Bienvenue à Cotton’s Warwick, l’auteur m’embarque dans un roman noir. S’il existe une couleur plus sombre alors, c’est là que se situe ce roman.

Une canicule en Australie, un village d’hommes et UNE femme, l’alcool, les mouches et le sexe. Tel est le tableau de Cotton’s Warwick. Il ne fait pas rêver, pas de carte postale ni de tourisme. Au contraire, c’est glauque, étouffant et arrivent par-dessus le marché des morts suspectes .

Descendants de bagnards et d’aborigènes violées jusqu’au sang , les Warwickiens sont fiers de leurs origines comme de leur consanguinité

Dans ce roman il y a deux choses qui m’ont bloqué.. La première est cette violence, beaucoup trop pour moi, elle va au-delà de mes limites. Que cela soit sombre, noir, un brin violent oui d’accord, mais là y a une bonne partie du roman qui n’est que violence physique et morale. Si bien que je me suis perdue dans ma lecture, aucune identification à un personnage. Je me suis détachée.

La seconde est le fond de l’histoire que je ne dévoilerai pas ici, car sinon je vous raconte l’intrigue même du roman. Mais cela tire un peu sur le fantastique. Habituellement cela ne me gêne pas, mais si le roman n’est que cela or pour moi « Bienvenue à Cotton’s Warwick » est surtout un roman noir. Donc le mariage des deux genres ne m’a pas convenu dans ce cas précis.

En dehors de cela, je reviens sur l’écriture de l’auteur qui est très immersive ! C’est d’ailleurs à cause de ce talent que cette violence m’a été insupportable. Car je suffoquais avec les personnages et que lorsque je lis j’aime m’évader surtout.

Ce roman est donc pour les cœurs bien accrochés avec une grande ouverture d’esprit ! Chose que je ne suis apparemment pas .

https://lesciblesdunelectriceavisee.wordpress.com/2017/03/22/bienvenue-a-cottons-warwick-michael-mention/?frame-nonce=cae3f9c6f6

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Date de sortie

Bienvenue à Cotton's Warwick

  • France : 2016-12-07 - Poche (Français)

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Evaluations 6
Note globale 7.17 / 10

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