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Chapitre 4 :

" – Bon sang, vous avez du culot. Vous vous êtes bien amusée avec vos activités criminelles ?

Elle battit des paupières.

– Quoi ?

– Vous savez. Le chantage. Voler mon boulot, pour lequel j’ai travaillé dur, juste pour que vous puissiez jouer au jeu Je suis plus importante que vous. C’est comme ça que vous fonctionnez ?

Le rouge lui monta aux joues. Oh ! elle le détestait vraiment. Il allait droit au but à chaque occasion. Il avait besoin d’une bonne leçon en termes de manières et de civilités.

– C’est drôle, si j’étais un homme, en ce moment même, vous seriez sans doute ravi d’avoir à disputer ce genre de partie virile. Est-ce que c’est parce que je suis une femme que vous n’acceptez pas que, parfois, dans le business, on soit obligé de contourner les règles ?

Il laissa échapper un rire sec.

– Je n’ai aucun problème avec les femmes volontaires. Juste avec celles qui mentent. J’ai le même problème avec les hommes qui mentent, d’ailleurs.

Elle saisit son verre pour avoir quelque chose à quoi s’accrocher et leva son menton.

– Ne sommes-nous pas un brin dramatique ? Un peu dans l’exagération ? Je vous offre un boulot tout à fait honnête, et votre client dispose de ce que l’on appelle son libre-arbitre. Comment d’un seul coup tout serait ma faute ?

Il secoua la tête et passa ses doigts dans ses cheveux. Elle regarda les mèches noisette se dresser, puis retomber en un désordre charmant. Il y avait toutefois une zone dans ses cheveux qui semblait plus aplatie. Peut-être parce qu’il portait souvent une casquette de base-ball ? C’était amusant ; elle n’avait jamais été si obsédée par la chevelure d’un homme auparavant. Peut-être parce qu’ils étaient striés de mèches blondes et très épais, descendant bas sur son col. Mais il avait des cheveux aplatis par sa casquette ! Comment cela pouvait-il avoir l’air si désirable ?

Son dernier commentaire avait dû l’énerver encore un peu plus, parce qu’il se mit à déambuler comme un animal en cage.

– Incroyable. Vous avez pris des leçons sur la meilleure manière de n’assumer aucune responsabilité ? Qu’est-ce que vous avez dû promettre à Jet McCarthy pour le convaincre de me virer ?

Elle tapa d’un ongle sur le bord de son verre et le regarda sans ciller.

– Pas grand-chose. Ce qui me fait dire qu’il avait des doutes sur vous pour ce projet. Je lui ai juste offert une nouvelle source de financement, rien qui aurait fait une grande différence s’il avait vraiment voulu travailler avec vous.

Sa bouche s’ouvrit largement face à ce coup direct.

– Madame, avec vous dans les environs, je n’ai pas besoin d’avoir d’ennemis. La prochaine fois que vous aurez à ce point besoin de quelqu’un pour construire votre maison, j’ai une bonne idée : soyez gentille.

– Je l’ai été. Ça n’a pas marché.

Ils se fixèrent intensément, mais Morgan refusa de battre en retraite."

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Chapitre 1 :

" – Malheureusement, ce ne sera pas possible. Il y a de nouveaux termes à l’accord selon lequel Caleb conserverait Pierce Brothers.

Le picotement gagna en amplitude. Il changea de position sur sa chaise.

– Qu’est-ce que cet enfoiré a encore fait ?

Dyken grimaça.

– Il a changé les termes du testament il y a un an. L’entreprise aurait originairement été divisée entre vous trois avec une option pour acheter les parts des autres. Cette option n’existe plus.

Dalton se pencha en avant en poussant un soupir impatient.

– Quelles sont les nouvelles options ?

– L’entreprise ne peut plus être séparée entre vous trois. Pour que vous puissiez hériter de Pierce Brothers, vous devez la gérer ensemble en tant que cogérants.

Caleb entendit les mots, mais son cerveau fut incapable de les analyser. Probablement pour l’empêcher de perdre son sang-froid et de descendre directement en enfer pour botter le cul de son père. Ce devait être une erreur. Ses frères regardaient Dyken la bouche grande ouverte, ce qui leur donnait un air comique. Ouais, ils étaient partis depuis longtemps. Ils n’étaient plus habitués aux tours de leur père ou à ses méchancetés de vipère, même après sa mort.

– Quels sont les termes exacts ? demanda-t-il vivement. Et comment fait-on pour se sortir de ce merdier ?

Dyken tendit ses mains devant lui, paumes en l’air.

– Les termes stipulent que vous devez vivre tous les trois dans la maison ensemble et faire tourner Pierce Brothers pendant un an. Si l’entreprise fait des profits – j’ai des critères précis pour estimer ce qu’il appellerait un succès –, vous pouvez tous décider de vendre vos parts et de partir. Si elle ne fait pas de profits, elle sera dissoute sans recours possible.

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