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Extrait ajouté par myra44 2012-12-15T15:59:28+01:00

On te tuera peut-être pour ça, mais tu peux toujours dire non.

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Extrait ajouté par isane3 2012-08-14T18:08:31+02:00

(Gaia & le Capitaine Grey)

[...]

- J'espère que l'orange était mûre, dit-il.

- C'est vous qui l'avez envoyée ?

Il glissa la main dans sa poche.

- Une amie m'a dit qu'elle vous avait vu les regarder au marché.

Sa voix se fit plus douce, plus sourde.

- Enfin, "baver devant" est le terme qu'elle a employé, il me semble. Je vous en aurais bien envoyé plus, mais il n'est pas facile d'en trouver.

Elle se souvint des autres cadeaux faits aux médecins. Elle leva les yeux vers lui.

- C'est vous qui avez envoyé la laine ? Le livre et le reste ?

Il croisa son regard brièvement.

- Je les ai suggérés au Protecteur. Tu as fait réfléchir beaucoup de gens, Gaia. Certains critiquent l'emprisonnement des médecins ces derniers temps et, parfois, il suffit de peu pour faire bouger les choses.

C'était donc bien lui... Gaia repensa au jour où elles avaient reçu l'orange et comment, depuis, l'atmosphère de la cellule K s'était légèrement améliorée. C'était toujours une prison, c'était toujours horrible, mais elles avaient maintenant un peu d'espoir. Un pigeon se joignit à des roitelets sur le bord de la route pour picorer des miettes et elle les contourna en montant sur le trottoir. "Je devrais le remercier", pensa-t-elle, mais les mots restaient coincés dans sa gorge.

- On m'a assigné au détachement chargé de décoder ton ruban, ajouta-t-il.

Un frisson d'inquiétude parcourut les nerfs de la jeune fille. Ils avaient donc découvert que le ruban était un message codé. Combien de temps leur faudrait-il pour le déchiffrer ? Avaient-ils déjà réussi ? Elle leva les yeux et lui trouva une expression pensive.

- Je devrais dire qu'on m'y a assigné au départ, corrigea-t-il d'une voix sévère. Puis on m'a confié une mission moins sensible. Apparemment, je ne suis pas digne de confiance quand il s'agit de toi.

Elle regarda le haut de la rue et serra ses mains devant elle.

- Je devrais leur en être reconnaissante, je suppose, commenta-t-elle.

- Pourquoi donc ?

Elle haussa les épaules et laissa une pointe de sarcasme nuancer sa réponse.

- Avec votre vive intelligence, vous l'auriez probablement déchiffré en quelques jours.

- Tu savais donc que c'était un registre ?

Elle se rendit compte de son erreur.

- Non, mentit-elle.

- Sais-tu ce qu'il contient ?

Elle croisa les bras devant elle.

- Pourquoi me le demandez-vous ? Je n'ai aucun intérêt à coopérer avec vous. Si vous voulez m'y contraindre, bien sûr, vous pouvez essayer. Mais je ne vous dirai rien de mon plein gré. L'Enclave a tué mon père.

Parler de lui ravivait sa peine.

Le capitaine Grey s'arrêta à côté d'un mur de pierre, appuya ses deux mains dessus et dirigea son regard vers l'horizon.

- Ça n'aurait pas dû arriver.

Gaia laissa échapper un rire étranglé.

- Non ? Vous croyez ?

- Nous aussi, nous commettonbs des erreurs, dit-il doucement.

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Extrait ajouté par Ayakota 2013-03-13T17:51:17+01:00

- Tu vois? Voilà ce qui nous différencie. Tu n'as rien à te reprocher. Et tu n'auras jamais rien à te reprocher.

Elle secoua la tête.

- Ne fais pas de moi un modèle de vertu, Léon. Ce n'est pas ce que je suis.

- Non, tu es plus vraie que ça.

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Extrait ajouté par anonyme 2012-10-31T12:20:11+01:00

La tête du nouveau-né dodelina dans un mouvement familier, sa peau arborant un rouge marbré, et, remuant les bras sans coordination, le bébé poussa son premier cri d'indignation ; l'indignation d'être vivant

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Extrait ajouté par isane3 2012-08-14T18:25:38+02:00

[...]

- Qu'attends-tu de nous ? demanda Pearl doucement.

- Mace Jackson connaît mon père.

Pearl se tenait bien droite.

- Nous n'avons pas l'honneur de connaître le Protecteur, rétorqua-t-elle.

Léon gardait les mains sur le mur derrière lui.

- Mon vrai père est Derrek Vlatir. Il m'a envoyé vous voir.

Pearl baissa lentement le couteau. Gaia, saisissant la rampe de l'escalier, descendit une marche et lut la surprise sur la figure de Léon quand il leva les yeux. Elle le crut presque heureux de la voir, puis son visage s'assombrit.

- Tu es là, dit-il tout bas.

Pearl se tourna vivement vers Gaia. Cette dernière descendit le reste des escaliers et alla se placer aux côtés d'Yvonne, qui glissa les bras autour de sa taille. Des émotions troublantes lui firent garder le silence, mais sa respiation était haletante et elle étudiait avec soin l'apparence maigre et débraillée de Léon. La flamme de la bougie jetait une faible lumière sur sa peau et sur le noir de sa chemise tandis qu'il se tenait immobile.

Léon se tourna de nouveau vers Pearl.

- Derek Vlatir a été interrogé ce soir parce que le Protecteu pensait que j'irais lui demander de l'aide. Il avait raison, et les gardes ont bien failli m'attraper. Mais Derek m'a renvoyé dans l'enceinte du mur et maintenant...

Il s'arrêta. Jeta un autre coup d'oeil à Gaia.

- Il pensait que Mace pourrait m'aider.

Gaia réflechissait à toute vitesse. Si ce qu'il disait était vrai, alors ces quatres derniers jours, Léon avait déchiffré le reste du code, quitté l'Enclave, trouvé son père biologique, puis était revenu.

- Pourquoi n'es-tu pas retourné au Bastion ? demanda Gaia.

- Je ne peux pas.

- Pourquoi n'es-tu pas parti pour le désert ?

- Je ne pouvais pas, dit-il tout bas. Je ne savais pas où tu étais.

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Extrait ajouté par isane3 2012-08-14T17:55:45+02:00

[...]

Un soldat blond de haute taille s'approcha ensuite.

- Je crois qu'on a trouvé notre jeune disparue de l'extérieur, capitaine, dit-il d'une voix de ténor légère et affectée.

Gaia survola le groupe d'hommes du regard. Le capitaine Grey se tenait dans la rue ensoleillée, son uniforme noir impeccable, un nouveau galon luisant sur sa poche de poitrine gauche. C'est lui qui avait donné l'ordre de ne pas tirer. Sous le bord noir de son chapeau, il avait l'air inflexible.

Le visage toujours tourné vers le haut, Gaia tapota le bébé pour dénoncer le vrai crime.

- Regardez qui a été assassiné, dit-elle sur un ton cinglant. Capitaine.

Le jeune homme ne trahit aucune émotion.

- Emmenez-la à la prison, ordonna-t-il. Laissez-lui le bébé pour l'instant. Je préviendrai la nursery que nous avons eu une nouvelle naissance.

Le garde qui tenait ses cheveux finit par la relâcher, mais seulement pour la remettre debout sans ménagement.

- Mais, capitaine, intervint le garde blond, c'est l'abomination.

Gaia vit une lueur soudaine dans les yeux du capitaine Grey mais, quand il s'exprima, sa voix était calme.

- C'est un bébé, Bartlett, le corrigea-t-il. Et il a l'air en bonne santé. Les cmpétences de la fille sont manifestement trop grandes pour être gâchées. Le Protecteur en entendra parler.

Gaia eut le souffle coupé à sa description du bébé. Avant qu'elle n'ait pu baisser les yeux, elle sentit contre son cou les premiers mouvements hésitants du nourisson qu'elle tenait de façon si possessive ; elle relâcha son étreinte sur le petit poids contre son épaule, le détachant du tissu humide et collant de sa tunique. La tête du nouveau-né dodelina dans un mouvement familier, sa peau arborant un rouge marbré, et, remuant les bras sans coordination, le bébé poussa son premier cri d'indignation ; l'indignation d'être vivant.

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Extrait ajouté par Helgrind 2013-11-20T18:22:54+01:00

- Tu n'es pas censé m'embrasser.

[...] - Permets-moi de ne pas partager ton avis.

Ses lèvres touchèrent à nouveau les siennes.

Elle eut du mal à retrouver ses esprits.

- Nous devons sortir de l'Enclave.

Il haussa les sourcils.

- Tout de suite ?

Elle recula avec plus de fermeté et il détendit ses bras pour la laisser partir.

- Il a cessé de pleuvoir, dit-elle. C'est notre chance.

Il lança un regard plein de regrets vers la porte ouverte.

- Tu ne m'apprécies pas en fait.

- Léon !

Elle le frappa au bras. Il grimaça un sourire.

- D'accord. Je vérifiais juste.

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Extrait ajouté par Ramion 2013-04-18T19:20:32+02:00

Les gardes, plus résolus à présent, levaient leurs fusils. Ceux qui se trouvaient en haut du mur avaient déjà armé les leurs et les pointaient sur Gaia et Léon.

-Tu as confiance en moi ? demanda-t-il.

-Oui.

Elle avait une foi aveugle en lui. Elle croisa ses yeux intenses et interrogateurs et lui renvoya un regard empreint d'une certitude absolue.

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Extrait ajouté par myra44 2012-12-15T14:40:45+01:00

D'abord les gens ont tendance à disparaitre quand ils critiquent trop ouvertement l'Enclave. Et puis nombre de nos familles ont des fils et des frères dans la garde. On ne peut pas se battre contre nos propres familles. Beaucoup ont des enfants qui ont été avancés à l'intérieur, des enfants qui seraient blessés si nous attaquions. Comment pourrions-nous nous unir pour combattre l'Enclave ? Et pour obtenir quoi ?

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Extrait ajouté par anonyme 2012-10-31T12:21:17+01:00

Gaia avait franchement du mal à y croire. Elle avait vécu si longtemps avec sa laideur, à la cacher derrière un rideau de cheveux dès que c'était possible, qu'elle ne pouvait pas imaginer que quelqu'un la trouve jolie.

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