Black Clover, Tome 1

Black Clover est une saga qui m’a profondément captivée depuis ses débuts, tant en manga qu’en anime. J’ai d’abord succombé à l”anime, puis par la suite, j’ai voulu lire les mangas pour avoir les derniers moments d’action. Dès les premiers instants, Black Clover m’a transporté dans un monde vibrant et dynamique où la magie règne en maître. Inspiré par une esthétique européenne avec ses royaumes, ses chevaliers et ses mystérieux grimoires magiques, l’univers créé par Yūki Tabata est à la fois familier et captivant. Ce qui m’a immédiatement attirée, c’est la complexité de ce monde magique et la manière dont les pouvoirs des grimoires façonnent le destin de leurs détenteurs. Maintenant, parlons un peu de l’action. Black Clover ne m’a jamais déçue sur ce plan. Les scènes de combat sont tout simplement spectaculaires. Que ce soit Asta et son épée anti-magie, fonçant tête baissée avec une férocité inégalée, ou Yuno, maniant ses sorts avec une précision parfaite, chaque duel est un régal visuel. Yūki Tabata, le créateur, sait vraiment comment nous en mettre plein la vue avec des combats qui combinent puissance brute et stratégies ingénieuses. Chaque arc narratif est conçu pour nous tenir en haleine, avec des enjeux toujours plus grands et des révélations qui changent complètement la donne. Ce qui est génial avec Black Clover, c’est que l’histoire ne se contente pas de suivre un chemin linéaire. Au contraire, elle est remplie de ramifications et de sous-intrigues qui enrichissent le récit principal. Les conflits entre les royaumes, les mystères des artefacts magiques anciens, et les secrets enfouis du passé forment un maillage complexe et fascinant. Chaque nouvelle pièce du puzzle qui se met en place nous donne envie d’en savoir plus et nous pousse à tourner la page encore et encore. Le manga excelle également dans sa capacité à construire un monde vaste et immersif. Chaque nouvelle région explorée, chaque nouvelle culture rencontrée ajoute de la profondeur à l’univers de Black Clover. On ressent véritablement l’ampleur du royaume de Clover et au-delà, avec ses traditions, ses conflits internes et ses menaces extérieures. Le monde est vivant, vibrant, et constamment en évolution, ce qui fait qu’on ne sait jamais ce que l’on va découvrir ensuite. L’arc de la réincarnation des elfes est un moment fort de la série. Les batailles contre les elfes réincarnés, sous la menace du diable, sont à couper le souffle. Elles poussent nos héros à leurs limites, tout en explorant des thèmes profonds comme le sacrifice, la rédemption et la loyauté. C’est un arc qui nous fait vibrer et réfléchir, et qui laisse une empreinte durable sur les personnages et les lecteurs. L’anime de Black Clover est une adaptation fantastique. Chaque épisode parvient à capturer l’essence et l’intensité des moments clés du manga, amplifiés par une bande-son qui ajoute une dimension émotionnelle supplémentaire. Chaque combat devient encore plus épique à l’écran, et on ne peut s’empêcher de vibrer avec chaque sort lancé et chaque épée brandie. L’art de Yuki Tabata est également un aspect remarquable de la série. Son style dynamique et expressif donne vie aux scènes d’action, tandis que son attention aux détails et à la composition crée des images saisissantes qui restent gravées dans l’esprit du lecteur bien après avoir refermé le manga. En résumé, Black Clover est bien plus qu’un simple shōnen. C’est une série qui combine action palpitante, développement de personnages profond et thèmes universels comme l’amitié et le dépassement de soi. Si vous cherchez une aventure captivante, pleine de magie et de courage, alors cette saga est faite pour vous.

« Mon pouvoir, c’est de ne jamais abandonner. »

Asta, c’est le gars qui ne laisse jamais tomber, même quand tout semble perdu. Il est sans pouvoir magique dans un monde où tout le monde en a, mais son absence de magie est plus que compensée par sa détermination sans faille et sa force de caractère. On l’adore pour son humour, son optimisme et sa manière de relever chaque défi avec un sourire éclatant. Franchement, qui ne craque pas pour un héros qui surmonte tout par pure force de volonté ? De l’autre côté, Yuno est son opposé en apparence : calme, talentueux et doté d’un pouvoir magique prodigieux. Il représente l’excellence et la maîtrise de soi. Ce contraste entre Asta et Yuno, avec leur amitié teintée de rivalité, crée une dynamique narrative explosive qui nous accroche dès le début. Leur relation est le cœur de Black Clover et c’est cette tension amicale qui rend chaque moment si palpitant. Mais personnellement, je n’aime pas tellement ce personnage… Je trouve qu’il est bien trop robotique et sans émotion. Ce qui fait aussi la magie de Black Clover, c’est la diversité et la profondeur des personnages, surtout au sein des Black Bulls, l’équipe colorée et un peu dingue à laquelle Asta se joint. Prenons Noelle Silva par exemple : elle est noble, mais elle lutte contre les attentes de sa famille tout en essayant de maîtriser sa magie de l’eau. Son évolution est inspirante et on adore la voir se battre pour s’affirmer. Et puis il y a Yami Sukehiro, le capitaine des Black Bulls, un gars qui semble bourru et un peu rustre à première vue. C’est mon COUP DE COEUR. Mais sous cette façade se cache une véritable force de la nature et une sagesse unique. Yami a ce truc qui fait que, même quand il explose des murs juste pour calmer les esprits, on le respecte et on l’adore. Il accepte tout le monde, peu importe leur passé ou leur statut, ce qui fait de lui un leader incroyablement charismatique. En dehors d’eux, il y a une multitude de personnages que j’adore. Ah, Finral ! Notre charmeur des Black Bulls, avec sa magie spatiale. Il a laissé son côté séducteur derrière lui pour devenir un vrai stratège sur le champ de bataille, toujours là pour ses camarades quand ils en ont le plus besoin. Vanessa, la sorcière envoûtante des Black Bulls, peut littéralement manipuler le destin avec sa magie des cordes rouges. Elle a traversé des moments difficiles, mais est devenue une vraie force tranquille, toujours là pour protéger son équipe. Magna, le chevalier au feu ardent des Black Bulls, est toujours prêt à foncer tête baissée avec son esprit de compétiteur. Issu d’un milieu modeste, il se bat pour ses convictions et ses amis, et ça se voit à chaque bataille ! Luck, notre électron libre des Black Bulls, adore les batailles et utilise sa magie de la foudre pour briller sur le champ de combat. Sa joie intense pour le combat et sa loyauté envers ses compagnons font de lui un atout imprévisible et précieux. Charmy, avec sa passion pour la cuisine, utilise sa magie pour nourrir et soutenir son équipe des Black Bulls. Elle apporte non seulement de la magie culinaire mais aussi beaucoup de rire et de chaleur à toute l’équipe, un vrai rayon de soleil ! Mimosa, de la noble famille Vermillion, est douce et attentionnée, utilisant sa magie de guérison pour toujours veiller sur ses amis. Elle allie grâce et détermination pour devenir une chevalière qui ne recule jamais devant les défis pour protéger ceux qu’elle aime.

Un cocktail enivrant d’aventures magiques effrénées, de mystères profonds et de personnages déterminés !

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Black Clover est un manga qui compte déjà plus d’une trentaine de tomes parus en France. Ce premier volume introduit deux adolescents, Yuno et Asta, l’un particulièrement doué pour la magie, l’autre dont la compétence est inversement proportionnelle à l’ambition. À la fois amis et rivaux, ils entendent bien devenir un jour empereur-mage au détriment de l’autre.

Je ne suis pas fan de shonen, et encore moins de fantasy, mais j’avais tellement entendu parler de celui-ci que, lorsque j’ai eu l’occasion de me le procurer dans le cadre d’une opération promotionnelle, je me suis laissé tenter. Et, comme je le redoutais, il n’y a là-dedans rien pour me plaire.

…

Sauf que je ne peux pas prétendre que je n’ai pas aimé. Bon, je n’ai pas adoré, c’est sûr, mais je n’ai pas pour autant passé un mauvais moment. C’est… divertissant. Assez divertissant pour presque me faire perdre de vue qu’il s’agit du seul point positif que j’ai à mentionner.

Parce qu’au-delà, c’est très classique. On a deux protagonistes rivaux, l’un talentueux et l’autre qui n’a rien pour lui si ce n’est sa détermination et son exubérance, entourés par quelques personnages secondaires hauts en couleur, mais encore trop peu exploités.

Je n’ai réussi à m’attacher à aucun d’eux. Yuno est très cliché, et Asta… Je n’aurais jamais cru écrire ça un jour, mais disons qu’il ferait passer Kilari (du manga éponyme) pour une fille calme et posée.

Il en va de même pour le scénario, sans surprise. On sent venir les rebondissements à l’avance, et pour l’instant, il n’y a pas grand-chose de croustillant à se mettre sous la dent. Logique, puisqu’il s’agit d’une introduction à une histoire qui, au regard du nombre de tomes, s’annonce assez longue.

Eeeet… Je ne pense pas la continuer. Même si j’ai inexplicablement apprécié ma prise de contact avec l’univers, il n’en demeure pas moins trop peu à mon goût pour que j’aie envie de me lancer à l’assaut d’une série de cette envergure. Tôt ou tard (et je penche pour tôt), la lassitude me gagnerait.

En revanche, si vous êtes amateurs de shonen dans toute leur splendeur, n’hésitez pas. Je gage que cette œuvre vous plaira !

J'ai bien apprécié ce tome 1. L'histoire a l'air intéressante, les personnages attachants, et il y a un petit côté Naruto qui me plaît beaucoup

C'est franchement pas le type de manga que j'aime à la base et pourtant celui-ci j'ai apprécié car avoir un soupçon d'originalité dans un univers magique c'est pas non plus évident à faire.

Un très son premier tome avec un personnage principal très attachant!

Black Clover, tome 1 (Sur 35 !!) de Yuki Tabata (Japonais, né en 1984). 192 pages. Editions Kazé- Crunchyroll. 7 Septembre 2016.

Atsa, Le héros, ce gamin empoté et ambitieux, ressemble à Naruto à ses débuts …. D’ailleurs je le subvocalise avec la voix du célèbre ninja.

Je ne sais pas exactement quoi. Mais ce manga à quelque chose de fascinant.

Atsa semble ne pas avoir de pouvoir mais c’est simplement car il a le talent « d’anti-magie » et comme sa condition physique est exceptionnelle il se retrouve donc à son avantage.

Ça me fait souvent penser au jeu « Heroes of Might and Magic » où on peut choisir différents types de magie ou tenter de partir sur une quête de résistance à la magie, qui va avec le développement de la force physique.

Il n'est pas rare que je dise ça au début puis ça s’amenuise avec le temps de lecture, mais pas là, mais : quel talent de narration.

Phoenix

++

Un premier tome qui introduit bien l'univers. Un premier tome qui se laisse lire, c'est rythmé, avec une bonne dose d'humour. Mais ça reste assez conventionnel. Avec le héros qui veut devenir l'empereur des mages alors qu'il est différent des autres, et n'a pas de magie. Moui, c'est un peu quelconque, avec une histoire qui ne me convainc pas, et des personnages caricaturaux. Pas de grosse surprises pour ma part, je ne pense pas que je vais continuer cette série.

Bon je n'attendais pas grand chose de ce manga et je le trouve tout à fait banal, malheureusement. C'est un scénario trop classique avec un héro qui est dépourvu de pouvoir, grande gueule et surtout déterminé comme personne. A l'opposé on a son pote qui est badass a souhait, qui a tout pour lui. La trame est tellement le classique du shonen que c'est lassant... (J'avais des impression de déjà vu avec MHA et Haikyuu mélangé...).

Bref, c'est dommage car les dessins sont tres bon pour un premier tome!

J'ai vraiment essayé mais non, j'ai fini par le lire en diagonale 😅

Il n'est pas mauvais, le dessin est correct, mais je m'ennuie. Ce n'est tout simplement pas pour moi, Fairy Tail me convient beaucoup plus

Cet un très bon début de série, que dis-je, c'est un excellent début de série.

Je suis vraiment tombée sous le charme de ce manga, un mélange de combats et de complots mais où l'humour est très présent.

Black Clover est l'une de mes séries de mangas préférées et je ne peux que vous la conseiller.

Bonne lecture.