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Je me noie un instant dans ses yeux, savourant cet instant que je ne suis pas près d'oublier. Puis, il m'emmène vers l'intérieur de la maison, et quand nous passons devant la piscine, j'essaye de photographier mentalement tout ce que je vois, pour immortaliser cet endroit féerique dans un coin de ma mémoire.
Tout est si beau. Le chemin de rose continue dans la villa, délimité par des petites flammes dansant sous la brise, nous montons les escaliers jusqu'à la chambre.
Nous le suivons et quand nous entrons dans la pièce, l'allée se dirige vers le lit ainsi que vers la salle de bain.
Le lit est parsemé de fleurs, en rappel aux bouquets encore présents dans cette pièce.
La chambre est illuminée à la seule lumière des centaines de chandelles qui scintillent un peu partout dans la pièce. J'aperçois des fraises, du chocolat ainsi que d'autres douceurs sur une petite table, avec un seau à champagne.
Afficher en entierLa douleur.
Celle qui vous arrache le cœur à coups de griffes acérées.
Celle qu’on ne voit pas venir.
Celle qui vous fait trembler de tout votre être, qui fait couler les larmes qui semblent être de sang, qui vous empêche de parler tant elle vous prend à la gorge.
Cette douleur, c’est la face cachée de l’amour.
Afficher en entier— Je n’y crois pas ! s’exclame-t-il. Tu m’as carrément balancé une carotte à la gueule ?
— Ouais, c’est pour me faire mousser plus tard. Je pourrai me vanter d’avoir attaqué le grand Jett Campbell à coup de carottes. J’ai trop hâte de voir la tête de tes groupies !
Afficher en entierJ’entre dans la salle de bains, puis me fige en m’apercevant qu’elle est occupée.
Merde !
Jett est sous la douche. Mon regard se dirige automatiquement en direction de son entrejambe. Ce con est en érection, profitant d’être, normalement, dans un moment d’intimité pour se caresser.
OH. MON. DIEU !
Mes yeux s’écarquillent, tout ce qui se trouve dans mes bras m’échappe, dégringolant sur le carrelage dans un bruit tonitruant qui alerte Jett. Ce dernier sursaute avant de tourner la tête dans ma direction.
Mayday ! Mayday !
Afficher en entierJe me redresse, aperçois Jett dans l’encadrement de la porte de ma chambre. Sans réfléchir, je me lève, lui agrippe le poignet pour le tirer vers moi pour qu’il me rejoigne dans le lit. Il me serre contre lui, sanglote silencieusement, la tête enfouie dans ma chevelure. Nous nous allongeons l’un contre l’autre. Je lui caresse le dos, cale mon visage sur son épaule. Je sais que j’outrepasse mes fonctions, que je ne devrais pas emprunter un chemin aussi dangereux, mais c’est plus fort que moi, je ne peux pas m’empêcher de vouloir le consoler.
Afficher en entierMême en enfer, j’irai te chercher. Alors, ne fuis plus.
Afficher en entierLynn est la douceur quand je suis la douleur. Elle est la raison quand je suis la folie. Elle est l’oxygène quand je suis l’incendie. Elle est ma maison quand je suis perdu. Si elle venait à disparaître, plus rien ne me retiendrait dans ce monde de dingues. C’est triste à dire pour mon frangin ou ma mère, mais je n’ai qu’une lueur qui m’amarre ici et c’est Lynn.
Afficher en entierLa douleur.
Celle qui vous arrache le cœur à coups de griffes acérées.
Celle qu’on ne voit pas venir.
Celle qui vous fait trembler de tout votre être, qui fait couler les larmes qui semblent être de sang, qui vous empêche de parler tant elle vous prend à la gorge.
Cette douleur, c’est la face cachée de l’amour.
Afficher en entierJe ne suis plus que sensation. Ses mains sont partout sur mon corps et mes soupirs d'exaltation sont de plus en plus sonores. Ses lèvres m'embrassent dans le cou laissant derrière elles une brûlure délicieuse. Sa langue caresse ma clavicule puis descend lentement vers mes seins qui sont déjà gonflés de désir. Il en attrape un dans une de ses paumes et le presse légèrement. J'inspire bruyamment quand sa bouche possède un de mes tétons. Mon sexe palpite d'impatience et un gémissement m'échappe. J'empoigne ses cheveux pour l'encourager à continuer ses caresses exquises. Son autre main glisse sur ma taille puis descend jusqu’à ma cuisse en frôlant du bout des doigts ma fesse. Sa bouche dévale sur mon ventre me mordillant par-ci par-là. Quand il arrive au niveau de la dentelle de ma lingerie, ses mains passent sur les côtés et baissent d'un geste précis ma culotte en faisant bien attention de ne jamais rompre le contact tactile jusqu'à l'avoir enlevée. Son regard se plante dans le mien et je ne suis plus qu'une proie attendant sa mise à mort. Et je l'attends avec une impatience ardente. Il remonte vers moi et m'embrasse avec une férocité sans nom. Quand il met fin à ce baiser, il reste près de mon visage et me scrute de ses yeux bleus qui me font fondre. Une de ses mains me caresse le flanc et descend jusqu’à ma hanche et m'agrippe de façon possessive.
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