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"De toute évidence, ma tête ne plaisait guère aux gens du quartier...J'avais cependant l'intention de continuer à la montrer. Du moins jusqu'à ce que je retrouve l'enfant..."
J'ai vu et vécu tant de situations incroyables, que tout le monde pensera en les lisant que c'est un ramassis de mensonges ; que tant de méchanceté ne tient pas dans ce monde.
Je ne serais même pas surpris qu'on finisse par les publier, comme si c'était un roman policier...
Un tome sur le raciste en effet, et même jusqu'au nazisme, qui est vachement bien fichu.
Ca rend totalement stupide les problèmes raciaux.
Un chat blanc qui s'allie avec un ours blanc mais qui dénigne un chat noir, tout ça pour des problèmes de couleurs, franchement ?!
Et le fait que certains animaux soient noirs avec une tache blanche ou blancs avec une tache noir montre toute la difficulté du problème : où est la limite ?
Bon, les rayés, ils n'ont pas de problèmes, eux ils sont en marge direct, allez hop !
Le fait que ça se passe avec des animaux ridiculise encore plus les problèmes de racisme je trouve, tout en restant neutre puisqu'ils restent des animaux.
Mon prof de physique m'a vu lire le premier tome et il m'a prêté les deux suivants. Cette deuxième BD m'a beaucoup plu et elle ne décevra pas les lecteurs. Je conseille !
Un bon deuxième tome, sur un sujet qui diffère totalement de celui abordé dans le premier. Le graphisme reste très agréable, j'ai cependant eu du mal dans ma lecture : des personnages sont cités sans être présentés, j'ai été obligée de revenir parfois en arrière dans ma lecture, tout s'est un peu mélangé pour moi.
Dans le tome 2 de "Blacksad", intitulé "Arctic-Nation", l'histoire suit John Blacksad, un détective privé anthropomorphique, alors qu'il enquête sur la disparition d'une jeune fille dans un quartier gangréné par le racisme et les tensions sociales. Le récit plonge dans un univers sombre où les thèmes de la ségrégation et de l'injustice sont omniprésents.
Le deuxième volet m'a particulièrement séduit par son intrigue plus élaborée et ses moments d'humour subtil. Les personnages sont toujours aussi bien développés, et les dialogues offrent des touches de légèreté qui contrastent avec l'atmosphère oppressante, rendant l'ensemble à la fois captivant et amusant.
Le thème et l'environnement sont moins neutres que pour le premier tome, cependant le scénariste évite le message politique trop flagrant qui aurait gâché le récit et brouillé les rebondissements. Bien que les avancées soient subtiles, les grands moyens sont également employés à l'occasion.
Blacksad, Tome 2 : Arctic-Nation est une suite magistrale au premier tome de la série. Juan Díaz Canales et Juanjo Guarnido nous offrent une nouvelle aventure palpitante, où le chat détective John Blacksad se retrouve confronté à un mystère complexe et aux ramifications politiques délicates.
Une excellente lecture. Le thème du racisme est complètement deminé ici, et on peut voir combien il est ridicule de raisonner en terme de couleurs par le biais des animaux.
A la première lecture, j'avais regretté le manichéisme induit par la couleur de peau. Après tout, on est chez les animaux et le racisme aurait pu se marquer sur d'autres différences, poil et plumes versus écailles par exemple, comme il y a un petit épisode dans le premier tome. Mais à la relecture, j'ai été frappé par les possibilités graphiques que cela offrait à Guardino. Ses bad boys, quelque soient leurs couleurs de peau sont tout bonnement terrifiants. Le scénario est relativement classique, mais le dénouement final est quand même une vraie surprise et il est d'une tristesse infinie qui colle bien au genre. Bref, c'est toujours aussi bien !
encore épatée par ce tome... ici, on traite de racisme, avec une enquête déchirante qui mêle une famille brisée par la montée du fascisme... chaque case est plaisante à détailler, les dessins et personnages sont très beaux, les émotions toujours aussi bien retranscrites.... un tome encore meilleur que le précédent à mon sens.
Résumé
"De toute évidence, ma tête ne plaisait guère aux gens du quartier...J'avais cependant l'intention de continuer à la montrer. Du moins jusqu'à ce que je retrouve l'enfant..."
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