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Extrait ajouté par Millina 2019-03-21T08:12:00+01:00

- Pourquoi tu es de mon coté ? demanda-t-il brusquement. J'ai fait dix ans de taule pour avoir tué deux filles.

Son ton n'était pas amer, mais las et resigné.

- J'ai fait trois semaines de maison de correction parce que j'avais menti pour un ami en affirmant que la dope que les flics avaient trouvé était à moi, répondit Amélie.

- Qu'est-ce que tu veux dire ?

- Que je ne crois pas que tu es assassiné deux filles.

- C'est gentil, dit Tobias en se penchant et en faisant la grimace. Je dois te rappeler qu'il y a eu un procès avec un tas de preuves qui m'accablaient.

- Je sais, dit Amélie en haussant les épaules.

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Extrait ajouté par Millina 2019-03-12T13:32:00+01:00

- Pourquoi tu es de mon coté ? demanda-t-il brusquement. J'ai fait dix ans de taule pour avoir tué deux filles.

Son ton n'était pas amer, mais las et resigné.

- J'ai fait trois semaines de maison de correction parce que j'avais menti pour un ami en affirmant que la dope que les flics avaient trouvé était à moi, répondit Amélie.

- Qu'est-ce que tu veux dire ?

- Que je ne crois pas que tu es assassiné deux filles.

- C'est gentil, dit Tobias en se penchant et en faisant la grimace. Je dois te rappeler qu'il y a eu un procès avec un tas de preuves qui m'accablaient.

- Je sais, dit Amélie en haussant les épaules.

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Extrait ajouté par coucougi 2021-11-10T08:09:03+01:00

Tobias serra les poings. Comme il avait été stupide de croire qu'il était le seul à être puni par la vie ! Il ne s'était jamais rendu compte que ses parents avaient souffert eux aussi. De tout ça. Quand ils venaient le voir en prison, ils lui jouaient la fable d'un monde intact, qui en réalité n'avait jamais existé. Comme cela avait dû leur coûter ! Il sentit une colère impuissante lui serrer la gorge, comme si une main l'étranglait. Il se leva, alla à la fenêtre et regarda dehors sans rien voir. Son projet de passer quelques jours chez ses parents, puis de partir loin d'Altenhain pour tenter de prendre un nouveau départ dans la vie, tombait à l'eau. Il devait rester ici. Dans cette maison dans cette ferme, dans ce bled qui avait fait souffrir ses parents alors qu'ils étaient coupables de rien.

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Extrait ajouté par coucougi 2021-11-06T18:07:26+01:00

Bodenstein remuait son café d'un air absent. Pia lui trouva la mine défaite comme s'il n'avait pas dormi de la nuit. Qu'est-ce qu'il lui arrivait ? Depuis quelques jours il avait l'air de marcher à côté de ses pompes. Elle subodorait des problèmes familiaux. L'année passée, en mai il avait eu le même air bizarre ; il se faisait alors du souci pour la santé de Cosima, souci qui s'était révélé infondé : il ignorait qu'elle était enceinte.

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Extrait ajouté par Laurine-25 2019-10-13T20:43:12+02:00

— Il s’agit du squelette d’une jeune fille qui avait à sa mort entre quinze et dix-huit ans. Le Dr Kirchhoff était pressé. Il devait prendre un avion pour

Londres où on attendait son expertise dans le cadre d’une enquête.

Pendant qu’il rangeait la documentation nécessaire dans sa valise,

Bodenstein, assis devant le bureau, l’écoutait discourir sur l’état de la suturation de l’artère basilaire, l’os iliaque partiellement fondu et autres indicateurs de l’âge. — Combien de temps elle est restée dans la cuve ? finit-il par l’interrompre. — Dix ans, au maximum quinze. Le légiste alla à la visionneuse et fit apparaître une radioscopie. Elle s’était cassé la partie supérieure du bras. On voit clairement la fracture ressoudée. Bodenstein regarda l’image. Le blanc des os ressortait sur le fond noir. — Oui, et ce qui est très intéressant… Kirchhoff appartenait à ce type d’homme qui n’était pas avare de son savoir. Même pressé par le temps il tenait à le rendre captivant. Il feuilleta quelques radios, les posa sur la visionneuse et posa ce qu’il venait de chercher à côté du cliché du bras. — On lui a retiré les premières molaires des deux côtés de la mâchoire. — Qu’est-ce que ça signifie ?

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Extrait ajouté par Lesparaversdemillina 2019-01-20T16:17:06+01:00

- Pourquoi tu es de mon coté ? demanda-t-il brusquement. J'ai fait dix ans de taule pour avoir tué deux filles.

Son ton n'était pas amer, mais las et resigné.

- J'ai fait trois semaines de maison de correction parce que j'avais menti pour un ami en affirmant que la dope que les flics avaient trouvé était à moi, répondit Amélie.

- Qu'est-ce que tu veux dire ?

- Que je ne crois pas que tu es assassiné deux filles.

- C'est gentil, dit Tobias en se penchant et en faisant la grimace. Je dois te rappeler qu'il y a eu un procès avec un tas de preuves qui m'accablaient.

- Je sais, dit Amélie en haussant les épaules.

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Extrait ajouté par Sophora 2018-09-15T21:09:56+02:00

- Laura, murmura-t-elle en caressant la photo du doigt. Qu'est-ce que tu as fait ?

Soudain, une larme roula sur ses joues puis une autre. Elle cilla et se passa la main sur le visage. Ce n'était pas le chagrin qui lui faisait venir les larmes aux yeux mais la mauvaise conscience de n'avoir pas aimé sa fille.

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Extrait ajouté par Stephanelefort 2016-12-24T11:11:33+01:00

Henning Kirchhoff se redressa et regrimpa par l’échelle. Les hommes des empreintes commencèrent à dégager soigneusement les os et la terre environnante. Il allait falloir un certain temps avant que le squelette puisse être transporté à l’institut médicolégal, où Henning et ses assistants procéderaient à son examen approfondi. Des os humains étaient continuellement mis à découvert par des travaux de terrassement. Il était important d’avoir une estimation exacte de la durée de leur ensevelissement, un crime de sang n’étant prescrit qu’après trente ans. Ce n’est que lorsque l’âge et la durée d’ensevelissement du squelette étaient établis que la tentative de le confronter à des affaires de disparition avait un sens. L’aéroport n’était plus en service dans les années 1950 et le dernier remplissage de la cuve ne datait pas d’hier. Le squelette pouvait être celui d’une soldate américaine du camp américain voisin, qui était resté ouvert jusqu’en octobre 1991, ou bien celui d’une ancienne pensionnaire de l’asile, situé de l’autre côté des barbelés.

— On va boire un café quelque part ?

Henning enleva ses lunettes, les essuya et s’extirpa de la combinaison de protection trempée.

Pia regarda son ex-mari d’un air étonné. Aller au café pendant les heures de travail n’était pas son genre.

— Il est arrivé quelque chose ? demanda-t-elle soupçonneuse.

Il fit la grimace et poussa un grand soupir.

— Je suis dans les emmerdes, dit-il et j’ai besoin de tes conseils.

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Extrait ajouté par Djczq 2015-05-02T23:25:20+02:00

— Non, dit Tobias en continuant à regarder Daniela dans les yeux. Il n’en avait pas besoin. Maître Fuchsberger lui a remis le testament, il devait le détruire, mais il ne l’a pas fait. Il l’a conservé jusqu’à aujourd’hui. Il tourna les yeux vers Terlinden. C’est pour ça que vous vous êtes débrouillé pour qu’il reste à Altenhain, n’est-ce pas ? Parce qu’il savait tout. En réalité, l’entreprise ne vous appartient pas et la maison non plus. Et le Dr Lauterbach n’aurait pas eu tout cet argent ni sa maison, si son premier mari n’était pas mort. D’après le testament, tout ça appartient à la fille de l’ancien chauffeur de Wilhelm Terlinden, Kurt Cramer… Tobias respira bruyamment. Dommage que mon père n’ait jamais eu le cran d’utiliser le testament…

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Extrait ajouté par Djczq 2015-05-02T23:24:59+02:00

— Nous avons arrêté Mme von Bredow, dit Bodenstein. Et Gregor Lauterbach a avoué qu’il avait tué Stefanie. Nous allons demander dans quelques jours une réouverture de votre procès. Vous serez réhabilité.

Tobias Sartorius haussa les épaules. Cela lui était visiblement indifférent. Aucun acquittement rétrospectif ne compenserait ces dix années perdues et la ruine de sa famille.

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