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Liste des extraits

- Si tu veux mon avis, celui qui est en train d'écrire le bouquin de ma vie est un abruti !

- Mais non, c'est un maître du suspense... essayé-je de le convaincre. Il a juste besoin d'un chapitre un peu plat pour te faire rebondir dans le prochain.

- Écris plus vite, toi là-haut! implore mon frère en regardant vers le ciel, déclenchant mon éclat de rire.

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Je t'aime parce que tu n'as pas peur d'être toi,me dit-il doucement. Je t'aime parce que tu rêves en grand quand les autres se contentent de prendre la vie qu' on leur tend. Je t'aime parce que tu es belle à crever,parce que ton corps, tes courbes, ta peau me rendent fou. Je t'aime parce que j'ai découvert un tout autre monde à travers tes yeux. Je t'aime,Emma,parce que tu ne me laisses pas le choix.

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– Je dois aller féliciter l’éleveur ! m’embrasse Soren en me faisant revenir à la réalité.

Je cligne des yeux, hébétée, sa large carrure file déjà en direction de la sortie.

– Attends ! crié-je un peu trop fort, encore sonnée par mes pensées.

– Emma ? s’inquiète mon prince en se retournant. Qu’est-ce que…

– Démétrius a disparu, il est introuvable, murmuré-je, en sachant la colère que je vais provoquer chez lui.

– Quoi ? grimace mon interlocuteur.

Sa mâchoire se contracte, ses yeux sombres se plissent, il passe la main dans sa nuque de manière lasse, clairement agacé par mon intervention.

– Démétrius… répété-je en soutenant son regard.

– Qu’est-ce qu’il vient faire ici, celui-là ? grommelle le brun en me fixant intensément.

– Je suis inquiète, Soren…

– Il veut me détruire, Emma, dit-il froidement. De quel côté es-tu à la fin ? !

– Du tien ! m’approché-je de lui. Ça n’a pas changé et ça ne changera jamais !

Mon prince se recule en levant les mains, comme pour me dire de ne pas le toucher. Comme si quelque chose en moi le dégoûtait… Comment peut-il douter de ma loyauté ? Comment peut-il ne pas comprendre que je peux à la fois l’aimer et le soutenir, tout en m’inquiétant pour mon ami disparu ?

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Sa bouche avide fonce dans mon cou, ses dents mordillent la peau fine sur mon épaule, son souffle rauque se mélange à mes gémissements. Il libère une de ses mains qui se faufile entre nos corps imbriqués et s’insinue sous ma dentelle, sur le côté, juste assez pour glisser un doigt entre mes lèvres. Je l’accueille en retenant mon souffle jusqu’à ce que les caresses et les baisers cessent. Mon clitoris hurle au scandale. Ma bouche crie famine. La boule de feu dans mon ventre se mue de désir en colère.

– Demandez-le-moi, gronde mon amant cruel.

– Étreignez-moi, tenté-je dans un langage châtié de princesse.

– Mieux que ça, insiste-t-il, sombre et impatient.

– Possédez-moi, haleté-je en tirant sur ses cheveux pour gagner en autorité.

– J’ai connu Votre Altesse plus audacieuse, me provoque-t-il avec son sourire ravageur.

– Baisez-moi, lâché-je sans même l’avoir décidé.

Mais mes mots crus l’emportent et je vois une étincelle traverser ses yeux verts, embraser tout son corps et faire exploser son désir. Soren empoigne ma culotte en dentelle et la déchire d’un geste sec et sûr. Le claquement sur ma peau me fait sursauter.

– Ça devient une mauvaise habitude, joué-je avec le feu qui court entre mes jambes.

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– J’aurais dû te prévenir avant de débarquer, histoire d’éviter ce genre de rencontres… murmuré-je en voyant le prince avancer vers moi.

– Quelle rencontre ? Lars ? Il n’est pas méchant, au fond… sourit le beau parleur.

– À moins que Lars soit blonde et fasse du 85C, je crois que tu confonds, sifflé-je.

– Ah ! s’arrête le voyou à environ un mètre de moi. Je vois… Tu as croisé Heidi.

– Heidi ? Elle a donc un prénom… marmonné-je.

Soren rit dans sa barbe, croise ses bras insolemment musclés sur sa poitrine et se mord la lèvre en me fixant.

– Ça a l’air de beaucoup t’amuser de me rendre jalouse…

– Oui, je dois dire que c’est assez divertissant.

– Demande-lui de sortir de la salle de bains, fais-je en pointant l’index vers la pièce où elle se cache.

– Ce ne serait pas très poli de la presser, si ?

– Soren, je suis sur le point de m’en aller… grogné-je en faisant un pas vers lui.

– Pour ça, il faudra me passer sur le corps, s’amuse-t-il en avançant lui aussi.

– Tu ne te rendras même pas compte que je suis partie. L’option numéro deux t’attend dans la douche, une fraise dans la bouche… grommelé-je.

– Tu es belle quand tu es jalouse, soupire Soren en s’approchant si près que son souffle balaie ma peau.

– Dis-moi qui elle est, murmuré-je. Et ne me dis pas ma cousine, ma meilleure amie ou ma sœur…

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– Seuls, murmure mon brun ténébreux en réapparaissant et en me décochant un sourire en coin.

Il desserre sa cravate fine en avançant vers moi, je pose la main sur son torse pour l’empêcher d’approcher davantage.

– Tu aurais dû me dire que tu étais occupé…

– Tu aurais dû venir plus tôt, grogne-t-il en me plaquant contre le mur pour m’embrasser.

Soren le conquérant, le sauvage, est de retour. Son souffle chaud balaie ma peau tandis que ses lèvres se perdent dans mon cou et que ses mains remontent le long de mes cuisses. Je suffoque presque lorsque qu’il me soulève brusquement pour m’emmener dans la pièce secrète.

– Tu t’es fait attendre, Vénus… susurre-t-il à mon oreille en me déposant sur une grande table de travail en bois massif. Dans cet immense bureau faiblement éclairé – où se tenait une réunion nocturne avant mon arrivée – sa voix rauque résonne, rapidement couverte par mes soupirs. Ses paumes se sont déjà glissées sous le tissu rouge de ma robe. Rouge, comme le sang qui palpite violemment dans mes veines.

Voilà ce que je suis venue chercher : l’inconnu, l’adrénaline, le danger.

Les autres peuvent bien se contenter de leur vie en ligne droite, sans risques ni passion. Pas moi.

Entre ses mains, je suis une autre… plus animale, plus courageuse, plus libre.

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"Tiens, juste pour ça, je devrais opter pour la robe à sequins et à plumes !

Remarque, j’en entendrais parler pendant les cinquante prochaines années…

Sur ma pierre tombale, ils inscriraient : « Juste pour cette robe, Emma Green mérite son sort. » "

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21 avril 2015.

- Nombre de pages écrites aujourd’hui pour mon prochain roman :

- Nombre de mojitos bus avec Margo hier soir :

3… à moins que ce soit 5 ? (ceci explique donc cela…)

- Nombre de pages à rendre à Stanislas avant la fin de la semaine :

15

- Nombre de fois où j’ai écouté « Someone like you » en attendant l’inspiration :

7 (dont deux fois où j’ai chanté plus fort qu’Adele… avant de me lever pour danser avec une cannette vide en guise de micro)

- Nombre de capsules de cappuccino écoulées depuis ce matin :

4 (soit 336 calories sans avoir rien mangé du tout)

- Nombre de cannettes de Coca Light avalées depuis ce midi :

5 (soit 0 calorie mais 27 gargouillis de gorge et, selon le dernier ELLE, un cancer galopant dû à l’excès d’aspartame)

- Nombre de milliardaires inventés dans mes romans jusqu’ici :

4 (Gabriel, Vadim, Emmett et Jude… Penser à donner un prénom « normal » au prochain. Mais qui a envie de tomber amoureuse d’un Robert, qui ?!)

- Nombre de milliardaires rencontrés dans ma vie jusqu’ici :

toujours 0

- Nombre de milliardaires rencontrés dans mes rêves cette nuit :

2 (Gabriel Diamonds et Vadim King réunis dans la même pièce, ça fait un choc ! Et réunis dans le même lit, je ne vous raconte même pas…)

- Tendance à la schizophrénie, façon je me prends pour l’héroïne de mes romans :

inquiétante

- Nombre de parties de jambes en l’air réelles ce mois-ci :

encore et toujours 0

- Nombre de rêves érotiques ce mois-ci :

29 (la trentième nuit, je flottais nue, ivre de bonheur, dans un pot de yaourt stracciatella géant… Ne me demandez pas pourquoi.)

La vraie question qui se pose, en fait, c’est « Someone like you », oui, d’accord, mais qui ? Quelqu’un comme qui ? Qui est l’homme que j’attends ? Un savant mélange de mes héros de papier si parfaits d’imperfections ? Gabriel Diamonds : viril et charismatique à tendance dominateur ? Vadim Arcadi-King : rebelle sexy à tendance torturé ? Emmett Rochester : sombre et tendre à tendance macho ? Jude Montgomery : élégant dandy à tendance sarcastique ? Le mix de tout ça ? En chair et en os ? Est-ce que ce type-là ne serait pas à tendance insupportable avec sa beauté insolente, sa brillante carrière, ses qualités de cœur et sa repartie à toute épreuve ?

Ça me fatigue d’avance…

Ou alors, comme toutes les jeunes trentenaires toujours célibataires mais pas encore complètement folles, je rêve d’un homme simple, pas si beau ni si riche que ça, juste aussi gentil que mon père et moins con que mon ex ?

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– On dit lykke en danois, m’explique-t-il, songeur. Le bonheur suprême… Ça me va.

– Lykke… répété-je tout bas. Bliss en anglais…

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Je lui échappe avant d’avoir atteint la terre ferme et recule dans l’eau, face à lui, en le défiant du regard. Le sable est doux sous mes pieds. Soren me sourit malicieusement et tente, en faisant un grand pas en avant, de s’emparer de mon bras. Raté. Je l’esquive en gloussant et recule davantage.

– Viens me chercher, Poséidon… lui balancé-je en dégrafant mon soutien-gorge et en le jetant sur la plage.

– Laisse-moi t’attraper, naïade… gronde-t-il en avançant.

– Je ne suis plus Vénus ?

– Tu es la tentation incarnée…

Malgré la pénombre, je vois ses yeux se plisser – de cette manière qui le rend si sexy, presque menaçant – et descendre sur mes seins, les toucher, les caresser à distance. Cette vision de lui me couvre de frissons et m’excite au plus haut point. Sa peau luisante, son torse musclé, ses bras baraqués, ses cheveux rebelles, son air fier, conquérant.

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