Commentaires de livres faits par blogdelyosa
Extraits de livres par blogdelyosa
Commentaires de livres appréciés par blogdelyosa
Extraits de livres appréciés par blogdelyosa
- On n'est pas amis. D'anciennes connaissances au mieux.
- Tu me brises le cœur, ricane-t-il.
- Impossible il y a un écriteau avec marqué "néant" à la place."
Il effleure ma joue avec tendresse, et je n'arrive pas à l'en empêcher. C'est plus fort que moi. Dès qu'Ethan se comporte ainsi, je ne réponds plus de rien.
- Je te montre que tu comptes et que tu n'es pas qu'un amusement à mes yeux.
- Encore une heure à vous détester, le provoqua-t-elle.
Morgan éclata d’un rire franc qu’il ne parvint pas à retenir.
- Ma seule présence suffit donc à vous revigorer ! s’extasia-t-il.”
[...]
- Si tu me laisses les coudées franches, pourquoi Connor me suit-il partout ? demandai-je en redressant le menton d'un air de défi.
- Parce que je protège toujours ce qui m'appartient.
- Je ne suis pas ta propriété, Brennan."
- Je suis bonne coureuse.
- Et je suis bon chasseur, murmura-t-il."
- Je te le confie, mais ne le ménage pas trop non plus, Red.
Ce surnom. Je l'aime tant. L'entendre me rend fébrile.
- Ah non ? je demande, taquine.
- Non, consume-le, enflamme-le, aime-le.
- C'est un défi ? je chuchote, avant de l'embrasser.
- Tu l'acceptes ?
- Oh que oui."
- Une liste ?
- De tous ceux qui t'ont fait du mal.
- Pourquoi ?
- Je pense que tu le sais, dit-il, et son regard me transperce. Nous parlerons de tout ça très bientôt."
Le regard de Ben se fait encore plus perçant. Subiteent, il se lève.
—- Tu peux répéter ?
[…]
— Rien.
Il s’avance, d’un pas volontairement lent, pour se planter pile devant moi. mon cœur s’emballe aussitôt.
— Non, je veux que tu répètes. »
[…]
— Très bien. Tu ne saurais pas t’y p….
Ben plonge la main dans mes cheveux et s’y accroche. En un clin d’oeil, sa bouche est sur la mienne.
Oh, bon sang ! Jamais je n'oublierai le regard qu'il me lance à cet instant. Sombre, empreint de dangerosité et d'une sorte de défiance qui me fait frissonner. Sa bouche qui se relève en une moue provocante finir de m'achever.
- Je te l'ai déjà dit, bébé, dit-il en insistant sur ce dernier mot. On ne peut pas sauver ce qui est déjà perdu..."
- Je n'en ai rien à foutre des règles, Alice. C'est juste une énumération de tout ce que j'ai envie de te faire..."
En effet, je porte mes ballerines. Qu'y a-t-il d'extraordinaire à cela ?
- Eh bien... à mon arrivée, une "certaine personne" m'a conseillé de ne plus en porter, alors vous ne devriez pas vous étonner.
[...]
- C'est que cette "personne" devait être de très bon conseil alors."
Sans ajouter un mot, il pose ses lèvres sur les miennes avec une délicatesse folle. Il attrape mon dos de ses larges mains et m'attire dans une étreinte qui me chamboule.
- Joyeuse Saint-Valentin, Maeve."
— Tu essaies de me transmettre un message ? murmuré-je, le visage sévère.
— Non. Tu me demandes la vérité et je te la donne, c’est tout.
— Bien, alors. Parce que je n’irai nulle part.”
[…]
- Toi, Wolfgang. Toi, tu l’as été. »
Un frisson secoue son corps.
- Je sais. Je te fais confiance. Plus qu'à quiconque dans ce monde. "
Il l'attira contre lui, le bas du visage brillant à la lueur jaune de la flamme.
- Il n'y a plus de retour en arrière possible. Je ne te laisserai plus jamais t'échapper.
Corvina déglutit, sa paume libre posée sur son torse. Elle sentait les battements réguliers de son cœur.
- Sache juste que, si tu me tues, je reviendrai personnellement te hanter. Bonne chance pour te taper quelqu'un d'autre, après ça."
Je lui offre un sourire en coin, mes yeux glissent sur ses joues roses de colère.
À sa décharge, elle ne recule pas d’un centimètre.
- Ne te donne pas cette peine ; je n’en ai pas.”
La surprise s'allume dans ses yeux. Un vertige m'accable.
- Pas du tout, Ophélie. Je vous trouve...surprenante. Il n'y a pas si longtemps, je me serais demandé si toutes les Françaises étaient comme vous.
- Plus maintenant ?
- J'en ai croisé suffisamment pour comprendre que vous êtes un modèle unique."
- J'attends que ça, que tu me réduises en cendres, Harper."
Il hume mon odeur et pose ses lèvres sur ma peau avec une lenteur déroutante.
— Ton esprit me fuit, mais ton corps, lui, me veut. Et il me veut autant que moi je veux de toi. Alors, continue de me fuir comme tu le fais, mais sache que je prendrai chaque miette de ce que tu m’offres, jusqu’à te posséder complètement. »