Blonde geisha

J'ai été très étonnée par ce récit d'une autre époque. On est pris rapidement dans l'histoire envoûtante, on suit les rituels des geisha et leur univers charnel. De l'action, de la romance, un brin d'histoire, tout ce qu'il faut pour se laisser happer.

Je n'ai pas lu le livre, mais les commentaires me disent qu'il ne faudrait pas. J'ai une remarque à faire après avoir lu le résumé: connaissant un peu le monde des geishas pour m'être renseignée dessus, je suis quasiment sure que les geishas ne se "prostituent" pas à la fin de leur formation. Il y a une méprise des occidentaux par rapport à ces pratiques,et nous assimilons généralement geishas à prostituées. Elles pratiquent simplement différentes sortes d'arts (danse, musique, conversation, théâtre, cérémonie du thé...) pour que leurs clients se sentent proches d'elles, mais en aucun cas ne vendent leur virginité (hors du viol de certains clients). Ce sont des femmes cultivées avec un certain prestige, qui ne sont pas censées s'abaisser à la prostitution. Hormis pour les danna, des sortes de mécènes qui financent l'habillage, l'équipement, la coiffure, et autres de la geisha (ils sont généralement très riches), et encore, ce n'est plus à priori le cas.

" La geisha, en échange, lui accorde toute son attention, le privilégie dans le choix de ses zashiki et offrait, autrefois, à lui seul ses faveurs sexuelles." Pour cette patrie, voir wikipédia.

Tout ça pour dire que même si ce Baron Tonda est un danna, il y a un petit problème dans ce livre.

C'est un des plus mauvais livres que j'ai jamais lu. Le monde des Geisha n'est qu'un prétexte pour faire de l'érotisme bas de gamme.

Nul, c est le mot qui me vient pour decrire ce roman.

Un scénario simpliste, des personnages auxquels on ne s attache pas...

Je n ai pas terminé le roman...

Heureusement que j'avais lu d'autres livres sur les geishas car celui-ci ne parle pas de leur éducation hyper stricte, des heures qu'elles passent à apprendre la musique, le chant, la danse, l'art de se coiffer, de se maquiller, rien non plus sur la cérémonie du thé'

Bref, rien ci ce n'est des pages et des pages où la jeune fille vierge s'imagine faisant l'amour et tout au long de ces pages, toujours les mêmes scènes de décrites' C'est d'un lassant'

J'en venais à me dire : mais qu'elle le fasse et qu'on passe à autre chose' Et en effet, ce n'est qu'une fois qu'elle a rencontré l'homme de ces rêves et qu'elle s'est donnée à lui que le livre bascule un tout petit peu sur les 20 dernières pages.

Certes, il y a de la sensualité à droite à gauche (et encore, j'ai lu mieux...), mais c'est long, long, répétitif et souvent ennuyeux... Pas non plus très crédible, en plus. Plus de 400 pages pour une historiette qui aurait pu se raconter en grand maximum 200 pages, et qui, de plus, est mal construite, car pas mal de questions sont posées et peu de réponses apportées!

quand j'ai lu le résumé, il m'a donné envie de lire le livre mais au final, ce dernier n'est pas extrat. typique d'un arlequin classique bien que cela se passe dans une culture entraînante qu'est la culture japonaise. le début reprend un peu la même situation que le roman d'Arthur Golden donc c'est un peu énervant. et l'écriture est parfois trop crue, pas assez bien tournée car comme même! on est au japon, l'écriture poétique est la spécialité! une fin qui se rapproche trop également des mémoires d'une geisha avec l'okiya qui brule...bref un manque d'originalité et de tournure pour le déroulement de l'histoire.

se n'est réellement pas un bon livre... ennuyeux et les personnages son fade... rien a en tirer...

Un livre à lire en diagonale si on veut aller jusqu'au bout, il est trop lent...

Certains passages m'ont bien fait rire, mais je crois que ce n'était pourtant pas le but... ;)

L'univers des geishas m'a toujours fasciné et j'ai bien aimé en savoir plus même si je trouve cela dégradant pour les femmes de vendre leur virginités comme des bêtes!