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Commentaires de livres faits par BloodShed

Extraits de livres par BloodShed

Commentaires de livres appréciés par BloodShed

Extraits de livres appréciés par BloodShed

Je me tourne vers Samuel.
-Quant à toi, la prochaine fois que tu voudras tenter une petite expérience, j'aimerais bien être mise au courant! Ça m'évitera de bouillir de colère toute la journée.
Encore une fois, il rit. Son rire grave résonne dans la cuisine, ce qui provoque l'hilarité des garçons. Les bras croisés, je les fixe tour à tour comme si j'avais affaire à des enfants insolents. Ce qui ne les calmes pas franchement. Ce fou rire général finit par détendre l'atmosphère et parvient à m'arracher un sourire. Ils ont l'air tellement heureux et ... idiots! Ils finissent par reprendre leur sérieux et s'essuient les yeux. Puis Samuel se lève.
-Assez discuté comme ça! Il est temps de partir!
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Chacun d'eux portait un énorme badge jaune représentant un avion de dessin animé surmonté de l'inscription " Je suis un enfant non accompagné. Veillez sur moi, SVP!"
-Tu veux boire quelque chose? demanda une hôtesse.
- Un Coca, s'il vous-plaît.
- Tu ne porte pas ton badge ?
-Je n'en ai pas besoin. J'ai presque 12 ans.
Sans prêter attention à sa réponse, la femme agrafa un badge géant à sa veste de survêtement. C'était la chose la plus humiliante qu'elle ait jamais portée.
- Et que je ne te reprenne pas à le retirer, jeune fille. Tout le monde doit respecter les règles, dans cette avion.
Kerry comprit aussitôt que c'était le type même de la femme obtuse et autoritaire avec laquelle il était inutile de discuter.
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Elle était nez à nez avec une magnifique grenouille d'argent, aux yeux en pierres précieuses.
Charmée par la créature délicatement sculptée, elle repéra la carte et la saisit. Elle était persuadée d'y trouver le nom de son agent, avec ses félicitations pour avoir obtenu le prix Newbury.
- "De la part d'un amoureux des grenouilles" ? lut-elle, tout à fait décontenancée.
En se relevant, elle retourna la carte et parcourut le message qui y était inscrit.
-"Appelez-moi. 555-9436."
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Avril, dernière décade. Les vergers sont en fête. Les arbres fruitiers ont revêtu leurs robes de mariées. Abeilles et bourdons se délectent de nectar parfumé. Explosion de couleurs sur les branches et dans la prairie, floraison éphémère et grouillante de vie...
L'aménagement du terrier est au cœur des préoccupations de nos mustélidés. Terrassiers de leur état, le creusement, le consolidation des galeries et le changement de litière demandent un investissement considérable. Les plus motivés sont sollicités pour y prendre part.
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Extrait de la préface de Georges Bischoff

L'histoire du loup est celle d'un éternel retour, sur le refrain «Promenons-nous dans les bois». «Loup, y es-tu ? Que fais-tu ?» C'est une histoire à histoires, qui parle de l'ordre du monde, de la nature et de la liberté, de la culture et de l'état sauvage et, pour ainsi dire, l'un des meilleurs raccourcis de l'imaginaire des hommes.
Son héros est un fauve de proximité, aussi furtif que familier : Canis lupus, un négatif du chien domestique, son cousin éloigné, et, en même temps, le plus anthropomorphe des prédateurs du règne animal. Le seul de nos latitudes, depuis que l'ours a perdu son titre royal - «un roi déchu», selon Michel Pastoureau -, et s'est reconverti en teddy bear avec manteau de peluche, et que le renard triomphe à la ville comme à la chaire.
Les rôles ont été distribués depuis longtemps. Cette triade, aux relents duméziliens, s'est fixée à l'époque romane, avec le Roman de Renart et l'abondante postérité qui l'a suivie, et notamment sa version allemande, Reinecke Fuchs, composée en Alsace par Heinrich der Glichezaere, au XIIe siècle. De son côté, le loup Ysengrin - l'équivalent de «tête de fer», au sens figuré - n'est-il pas l'archétype du looser chimérique et misérable, plus dangereux, virtuellement, par sa bêtise que par ses crocs, et, finalement trop humain pour être mauvais ?
La genèse de cette image mériterait de longs développements. Elle s'inscrit dans un «processus de civilisation» qui voit se former un monde plein, défriché, balisé, surveillé, et interdit aux hors-la-loi. Tenu à distance des villes et des villages, le loup n'est plus l'acteur d'un écosystème, mais identifié à un intrus. Un ennemi cyclique, qui produit des solidarités politiques : des battues, des fossés ou des pièges, qui sont autant de signes des libertés paysannes, une métaphore du mal, qui oscille entre l'enfer et la rédemption - avec le «frère Loup» de saint François d'Assise.
Cette polyvalence symbolique joue aussi bien dans le registre du christianisme que dans le spectre, plus étendu, de la mythologie païenne, y compris sous des formes éloignées, dégradées, perverties : quoi de commun entre un louveteau, un bon petit loup, un loulou, un grand méchant loup, un loup de mer, un loubard, un lupin, un lupanar, un loupé, un loup-garou ? Ce dernier est un tueur par vocation, et sa référence guerrière a été invoquée aux moments les plus noirs - Wolfschanze, Wehrwolf, nostalgies à croix gammée (y compris en Alsace) ; au contraire, le premier nommé est une figure de l'apprentissage, quand la meute devient famille pour survivre au lieu de se déchirer.
L'enquête de Thomas Pfeiffer arrive à point nommé. Longtemps, en effet, les animaux sauvages (ou domestiques) étaient exclus du sens de l'histoire et tenus pour des figurants : au mieux, producteurs d'anecdotes ou de trophées de chasse.
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date : 17-03-2014
Une matinée, alors que je n'avais pas pu fermer l’œil de la nuit, je décidai d'aller faire quelques pas en ville. Le ciel était plutôt gris, et les rues n'étaient absolument pas encombrées par la foule. Entrant dans une petite ruelle, j'entendis le claquement de mes chaussures se répercuter nonchalamment sur les murs qui m'entourait; cela eu pour effet de transporter mon esprit vers d'étranges. Le petite boutique qui se présenta devant moi devint alors une sorte d'échappatoire. J'y entrait sans même prendre le temps de définir ce que l'on serait susceptible de m'y proposer. Ce n'est qu'une fois à l'intérieur que j'eus la très agréable surprise de constater que le lieu était rempli de livres anciens. Sur de nombreuses étagères, placées de manière plutôt anarchique, se trouvaient un nombre indéfinissable d’œuvres littéraires; celles-ci vinrent perturber mes pensées et m'empêchèrent d'être maître de mon corps qui resta aussi immobile qu'une montagne. Je ne repris mes esprits que lorsque la propriétaire des lieux me salua.
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