"[...] Il me faut bien reconnaître, toutefois, que j'ai sans doute été trop habitué à l'aisance. Mais quoi, je n'y pouvais rien. C'était ainsi, tout simplement. Le retour à la réalité, lorsqu'il se produit, n'en est que plus rude."

Je savais les heures ainsi passées dans le seul but de provoquer le trouble des hommes, pour me permettre à moi de voir ou deviner cette nuque, dont j'imaginais le parfum, dont je devinais le goût, sur laquelle je rêvais de déposer mes lèvres pour y recueillir la douce et enivrante saveur des femmes.

Le lendemain matin, Liam frappa à la porte communicante.
-Entre, dis-je.
À son apparition, je me mis à rire. Il avait revêtu la parfaite réplique de la tenue d'Indiana Jones y compris son fameux chapeau.
-Tu veux me faire mourir de rire, c'est ça, Liam, dis-je entre deux hoquets.
-Un peu de respespect, je te prie. Je portais cette tenue bien avant la sortie de ce film, jeune dame. [...]
-Je t'avoue que je suis déçue, il te manque un petit quelque chose.
-Je t'assure que j'ai tout ce qu'il me faut[...]
-Le lasso, il te manque le lasso pour compléter ta parfaite panoplie d'aventurier.
Nous rîmes ensemble.

-C'est fou!

Lorenzo c'était frayé un chemin parmi la horde de touristes pour se planter devant Le Printemps de Botticelli, la toile qui attirait probablement le plus de pigeons. [...]

-Lorenzo!
-C'est fou comme cette nymphe te ressemble!

Et ce qui se produisait toutes les semaines se produisit encore cette fois-ci. Toute les petites vieilles se retournèrent dans ma direction, s'ensuivit un brouhaha général de gens qui essayaient de traduire ce que Lorenzo venait de quasi-hurler dans la salle.
Heureusement j'étais devenue coutumière de cette situation gênante, et je parvins à m'esquiver avant que l'une des mamas italiennes ne vienne me toucher les cheveux avec admiration.

-Je n'approuve pas les manipulations génétiques de l'homme. Soyez plus intelligents.

Intelligent ? Autant demander à un cheval de pondre un œuf!

-Vous avez intérêt à rester dans les vapes, grondais-je.

Puis, sans plus attendre, je déboutonnai son jean, défis sa fermeture Éclair et baissai le coté de son pantalon le plus possible. Malheureusement, cela ne suffisait pas pour voir la blessure en entier.
En revanche, j'en voyais assez pour comprendre que Declan ne portait pas de caleçon.

Mamma mia.

-Tu vas sacrément regretter ça, petite traînée, grogna-t-il.

J'avais toujours à un moment ou à un moment ou un autre. Et dire que j'ose me plaindre quand on m'appelle juste petite...

-Qu'est ce que tu as fais à tes cheveux?
-De la poussière, du gel et un peu de graisse de fusil.
-T'as jamais pensé à déposer ta recette?
-Non.

- Ecoute. Les garçons ne t'en veulent pas. En fait, ils ont adoré ton...style. Ils t'ont comparé à "la veuve noire".

- Celle qui tue ses amants?

- Idiote. Non, tu sais la rousse sexy dans "Avengers". Si ça, se n'est pas un compliment, railla Lansa.

MADEMOISELLE THOMPSON, disait le message en grandes majuscules impérieuses, JE VOUS PRIE D’EMPÊCHER VOTRE FÉLIN D'ENTRER DANS MA PROPRIÉTÉ. S'IL RECOMMENCE, JE LE MANGE.

- Très sérieusement, saviez-vous que les humains utilisent une infime partie de leur capacité intellectuelle? Informais-je.

- Cela ne m'étonne guère. Quoique pour toi, je veux bien faire une exeption, me dit mon compagnon en croisant mon regard noir posé sur lui.

- Hilarant!

- Qu'avez-vous fait de moi?
- Une arme! Dit-il sèchement
- Une arme? répétais-je, incrédule.
- L'alliance exige votre participation, expliqua-t-il d'une voix sèche.
- L'alliance?
- Nous menons une guerre contre ceux qui veulent l'anéantissement des hommes, précisa-t-il.

- Prend place sous la cascade, m'ordonna-t-il. [...]
Très bien maintenant, je veux que tu inverses le courant de l'eau. Fais qu'il soit ascendant et non descendant. Imagine qu'il s'élève dans les airs.
[...]
Des gouttelettes arrêtèrent leur course, comme suspendu dans les aires puis elles filèrent vers le ciel. La masse d'eau qui m'écrasait un peu plutôt s'allégea et fut entraînée par ce flot liquide qui s'élevait.
[...]
- Vous avez vu! M'extasiais-je en claquant de dents.

- C'est pour cela que je pense que tu seras capable de les convaincre. Qui d'autre qu'une humaine peut les convaincre en s'opposant de ce fait à ceux de son espèce? Sois toi même, Danielle, et tu leur prouveras par tes actes, par ton engagement, qu'ils peuvent te faire confiance, répliqua Meneldil.

- Fais-leurs surtout oublier que tu es humaine, si tu veux mon avis, précisa Nerwen.

- Très drôle...

Gael, lui était sous le choc. Un type ressemblant à un punk drogué était dans sa salle de bain... Qu'est ce qu'il fichait là?! Comment était- il entré?!

- Mais qu'est-ce que... Commença le trader au bord de l'apoplexie.

- Y'a plus de gel douche, dit le jeune homme en tendant un flacon vide au propriétaire des lieux.

Instinctivement, j'ai tourné la tête vers Stanislas. Il n'avait pas bougé, mais ses long cheveux noirs virvoltaient au-dessus de sa tête comme s'ils étaient happés par un trou d'air, ses yeux étaient luisants de colère et ses muscles tendus à l'extême. Je me suis dit qu'il allait nous faire un KAMEHAMEHA royal...

Une fois à l'abris des regards, Koran se dirgea vers son lit pour s'assoir sur le bord. Les avants-bras reposaient sur ses cuisses, il fixait le sol sans vraiment le voir.
Puis elle tomba... Suivie d'une autre...

- Si ce quelqu'un est la femme de votre vie, cela vaut la peine d'attendre, non ?
- Donc vous n'êtes pas célibataire!
- Pas dans mon coeur.
p227

- Il a l'air plutôt bien, dit-elle en reprenant place.
- Ah mais c'est un type très bien ! Même s'il lui arrive de m'emmerder du matin au soir !
- Je parlais de son état de santé!
p130

Derrière les carreaux, il devinait encore Lauren, ses gestes souples.
Elle s'était retirée sur la pointe du coeur.
p 244

Taranée:"J’essayais de t'appeler du bord de la piscine quand quelqu’un m'a pousser!"
Irma:"Je ne l'ai pas fais exprès! Je me suis tournée..."
Hay lin: "Ouai! Pour regarder un coup d’œil à ce triton!"
Irma" C'est faux Hay Lin! Je rêvassais! C'est différent!"


source: http://www.digibidi.com/comics/witch-saison-2-2-fin-dun-reve

Il me détailla de la tête aux pieds avec un désir non dissimulé.
-Quoi donc?
-Débarrasse-toi de Quinn. C'est à moi que tu appartiens dorénavant.

Une petite sirène s'ennuie car les enfants sont tous partis à la montagne . Elle décide d'aller les rejoindre , elle doit remonter le fleuve et cela est difficile pour en découvrir la source d'eau glacée . Mais le voyage se finit bien . Petit conte sur la différence .
source: AbeBooks.fr